Le nombre de projets créés par des femmes, à Constantine, dans le cadre du dispositif de la Caisse nationale d'assurance chômage (CNAC), demeure "loin des attentes", a estimé une représentante de cette Caisse. Le nombre de projets créés par des femmes, à Constantine, dans le cadre du dispositif de la Caisse nationale d'assurance chômage (CNAC), demeure "loin des attentes", a estimé une représentante de cette Caisse. S'exprimant lors des travaux d'une conférence sur la promotion et l'intégration de la femme dans le monde d'emploi, organisée samedi par l'Union nationale des femmes algériennes (UNFA), Mme Assia Boudraâ, chargée d'études à la CNAC, a précisé dans ce contexte que 200 projets seulement ont été créés par des femmes à Constantine, depuis la mise en œuvrer de ce dispositif en 2005. Un chiffre qui reste "bien en deçà des prévisions", a-t-elle ajouté. Elle a souligné que sur 1.731 femmes ayant manifesté le souhait de créer une activité, 477 seulement ont déposé des dossiers. Le "manque d'esprit d'initiative" et une "appréhension vis-à-vis des banques", constituent les principaux facteurs entravant l'implication de la femme dans la vie socioéconomique, selon cette responsable. La mise en valeur du rôle de la femme algérienne dans le développement économique, la valorisation des efforts de l'Etat en faveur de la promotion de la femme à travers les différents dispositifs de formation, de soutien et d'accompagnement, afin de les intégrer dans les activités économiques locales et régionales, ainsi que l'écoute des préoccupations, des attentes et des contraintes des jeunes filles, notamment celles au foyer et en milieu rural, sont les objectifs de cette journée d'étude, tenue au centre culturel Ibn-Badis, à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la femme. Melle Nadia Loudjertni, secrétaire générale du bureau de Constantine de l'UNFA, a souligné, de son côté, la nécessité de conjuguer les efforts de tous afin que la femme, notamment rurale, soit plus active et s'intègre dans la vie socioéconomique. "Les statistiques dont nous disposons attestent que 15 %, soit 1,4 million, sur les 9 millions travailleurs en Algérie, sont des femmes, ce qui est loin d'être négligeable" a-t-elle estimé. Des représentantes des différents dispositifs de soutien à l'emploi, présents à cette rencontre, ont rappelé les mécanismes mis en place par l'Etat en vue de permettre aux femmes de participer activement au développement et de créer leurs entreprises. Elles se sont notamment félicitées du fait que les lois du pays "consacrent l'égalité des chances entre hommes et femmes en ce qui concerne l'octroi des crédits". Lors de cette manifestation de sensibilisation sur l'emploi de la femme, le volet relatif à l'information et la communication n'a pas été omis, un accent particulier ayant été mis sur la nécessité de tirer profit des nouveaux supports, notamment l'Internet et les radios locales, afin de sensibiliser davantage les femmes autour de la nécessité d'une implication plus marquée dans la vie socioéconomique. S'exprimant lors des travaux d'une conférence sur la promotion et l'intégration de la femme dans le monde d'emploi, organisée samedi par l'Union nationale des femmes algériennes (UNFA), Mme Assia Boudraâ, chargée d'études à la CNAC, a précisé dans ce contexte que 200 projets seulement ont été créés par des femmes à Constantine, depuis la mise en œuvrer de ce dispositif en 2005. Un chiffre qui reste "bien en deçà des prévisions", a-t-elle ajouté. Elle a souligné que sur 1.731 femmes ayant manifesté le souhait de créer une activité, 477 seulement ont déposé des dossiers. Le "manque d'esprit d'initiative" et une "appréhension vis-à-vis des banques", constituent les principaux facteurs entravant l'implication de la femme dans la vie socioéconomique, selon cette responsable. La mise en valeur du rôle de la femme algérienne dans le développement économique, la valorisation des efforts de l'Etat en faveur de la promotion de la femme à travers les différents dispositifs de formation, de soutien et d'accompagnement, afin de les intégrer dans les activités économiques locales et régionales, ainsi que l'écoute des préoccupations, des attentes et des contraintes des jeunes filles, notamment celles au foyer et en milieu rural, sont les objectifs de cette journée d'étude, tenue au centre culturel Ibn-Badis, à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la femme. Melle Nadia Loudjertni, secrétaire générale du bureau de Constantine de l'UNFA, a souligné, de son côté, la nécessité de conjuguer les efforts de tous afin que la femme, notamment rurale, soit plus active et s'intègre dans la vie socioéconomique. "Les statistiques dont nous disposons attestent que 15 %, soit 1,4 million, sur les 9 millions travailleurs en Algérie, sont des femmes, ce qui est loin d'être négligeable" a-t-elle estimé. Des représentantes des différents dispositifs de soutien à l'emploi, présents à cette rencontre, ont rappelé les mécanismes mis en place par l'Etat en vue de permettre aux femmes de participer activement au développement et de créer leurs entreprises. Elles se sont notamment félicitées du fait que les lois du pays "consacrent l'égalité des chances entre hommes et femmes en ce qui concerne l'octroi des crédits". Lors de cette manifestation de sensibilisation sur l'emploi de la femme, le volet relatif à l'information et la communication n'a pas été omis, un accent particulier ayant été mis sur la nécessité de tirer profit des nouveaux supports, notamment l'Internet et les radios locales, afin de sensibiliser davantage les femmes autour de la nécessité d'une implication plus marquée dans la vie socioéconomique.