C'est aujourd'hui que débuteront, à Alger, les travaux de la cinquième session du Comité bilatéral algéro-britannique. Cette rencontre permettra de procéder à une évaluation des relations entre les deux pays et échanger des points de vue sur les questions politiques régionales et internationales d'intérêt commun, selon le ministère des Affaires étrangères. La session sera co-présidée par Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, et Alistair Burt, ministre d'Etat britannique chargé de l'Afrique du Nord et du Moyen Orient. « Cette réunion, qui s'inscrit dans le cadre des consultations régulières entre les deux pays, permettra aux deux délégations de procéder à une évaluation de la coopération bilatérale et d'échanger leurs vues sur les questions politiques régionales et internationales d'intérêt commun », a souligné le MAE. Au terme d'une visite de travail de M. Burt à Alger le 11 novembre dernier, rappelle-t-on, M. Messahel avait fait état d'une convergence de vues « totale »entre l'Algérie et le Royaume-Uni sur la question de la lutte contre le terrorisme dans la région. « Nous avons exposé nos position et approche sur la voie que nous devons suivre, en tant que pays de la région, pour lutter contre le phénomène du terrorisme au Sahel, et quelle est la place de nos partenaires européens et autres dans ce qui peut être apporté comme moyens d'accompagnement pour les pays de la région dans la lutte antiterroriste », avait alors précisé le ministre. Pour sa part, M. Burt avait admis que le terrorisme constituait une « menace pour tout le monde » et affirmé, à cet effet, que son pays partageait l'avis de l'Algérie concernant la nécessité de criminaliser le paiement de rançons aux terroristes. Lors de la même occasion, ce responsable britannique avait salué les efforts que consent l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel. Il a, de ce fait, souligné l'importance « cruciale » des échanges de renseignements pour contrecarrer ce phénomène. Les entretiens de novembre dernier avaient permis, par ailleurs, de passer en revue les différents aspects de la coopération entre les deux pays, notamment dans les domaines de l'énergie, des industries hors hydrocarbures, de la culture, de l'éducation et de l'assistance technique. Les deux pays, a-t-on tenu à rappeler également, s'étaient mis d'accord pour travailler ensemble à la densification de la coopération algéro-britannique, mais aussi au renforcement de son cadre juridique. Principal cadre de consultations politiques entre l'Algérie et le Royaume Uni, le comité bilatéral avait été institué par un accord signé en 2006. M. B. C'est aujourd'hui que débuteront, à Alger, les travaux de la cinquième session du Comité bilatéral algéro-britannique. Cette rencontre permettra de procéder à une évaluation des relations entre les deux pays et échanger des points de vue sur les questions politiques régionales et internationales d'intérêt commun, selon le ministère des Affaires étrangères. La session sera co-présidée par Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, et Alistair Burt, ministre d'Etat britannique chargé de l'Afrique du Nord et du Moyen Orient. « Cette réunion, qui s'inscrit dans le cadre des consultations régulières entre les deux pays, permettra aux deux délégations de procéder à une évaluation de la coopération bilatérale et d'échanger leurs vues sur les questions politiques régionales et internationales d'intérêt commun », a souligné le MAE. Au terme d'une visite de travail de M. Burt à Alger le 11 novembre dernier, rappelle-t-on, M. Messahel avait fait état d'une convergence de vues « totale »entre l'Algérie et le Royaume-Uni sur la question de la lutte contre le terrorisme dans la région. « Nous avons exposé nos position et approche sur la voie que nous devons suivre, en tant que pays de la région, pour lutter contre le phénomène du terrorisme au Sahel, et quelle est la place de nos partenaires européens et autres dans ce qui peut être apporté comme moyens d'accompagnement pour les pays de la région dans la lutte antiterroriste », avait alors précisé le ministre. Pour sa part, M. Burt avait admis que le terrorisme constituait une « menace pour tout le monde » et affirmé, à cet effet, que son pays partageait l'avis de l'Algérie concernant la nécessité de criminaliser le paiement de rançons aux terroristes. Lors de la même occasion, ce responsable britannique avait salué les efforts que consent l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel. Il a, de ce fait, souligné l'importance « cruciale » des échanges de renseignements pour contrecarrer ce phénomène. Les entretiens de novembre dernier avaient permis, par ailleurs, de passer en revue les différents aspects de la coopération entre les deux pays, notamment dans les domaines de l'énergie, des industries hors hydrocarbures, de la culture, de l'éducation et de l'assistance technique. Les deux pays, a-t-on tenu à rappeler également, s'étaient mis d'accord pour travailler ensemble à la densification de la coopération algéro-britannique, mais aussi au renforcement de son cadre juridique. Principal cadre de consultations politiques entre l'Algérie et le Royaume Uni, le comité bilatéral avait été institué par un accord signé en 2006. M. B.