Les analyses minutieuses d'une enquête sur l'attractivité de l'Afrique en matière d'afflux d'investissements directs étrangers (IDE), menée par le bureau d'études et conseils Ernest & Young qui travaille en Algérie avec les institutions publiques d'Etat pour l'auscultation de l'économie algérienne, montent que l'Algérie se trouve parmi les dix premiers pays africains où le climat d'affaires est important, donc attirant les IDE. Les analyses minutieuses d'une enquête sur l'attractivité de l'Afrique en matière d'afflux d'investissements directs étrangers (IDE), menée par le bureau d'études et conseils Ernest & Young qui travaille en Algérie avec les institutions publiques d'Etat pour l'auscultation de l'économie algérienne, montent que l'Algérie se trouve parmi les dix premiers pays africains où le climat d'affaires est important, donc attirant les IDE. Les analystes estiment que le continent africain est en passe de devenir une destination émergente des investissements directs étrangers, pourvu que la stabilité politique et la paix sociale prévalent dans certains pays où il existe de forts potentiels économiques et industriels et de réelles opportunités d'investissements pour les hommes d'affaires occidentaux, notamment européens. Ainsi, les experts de Ernest & Young estiment que des réformes profondes pour soutenir la croissance en Afrique sont indispensables. Ils indiquent, à ce propos, que «la croissance africaine des dix dernières années a été portée par un processus de réformes économiques et réglementaires à long terme, engagé sur une grande partie du continent depuis la fin de la guerre froide. Ce processus s'est caractérisé par la maîtrise de l'inflation, la réduction de la dette extérieure et des déficits budgétaires, la privatisation des entreprises publiques, le renforcement des systèmes réglementaires et juridiques et l'ouverture de nombreuses économies africaines au commerce international». Ils sont arrivés à la conclusion que «l'analyse des projets montre que les réussites en matière d'investissement sont réparties sur tout le continent. Dix pays africains ont attiré 70 % des nouveaux projets d'IDE en Afrique entre 2003 et 2010 (Afrique du Sud, Egypte, Maroc, Algérie, Tunisie, Nigéria, Angola, Kenya, Libye, Ghana)». En effet, pour ce qui est des pays maghrébins, le montant de projets annoncés en termes d'IDE, pour l'Algérie, par exemple, au même titre que le Maroc, a diminué de 60 à 80% au premier semestre 2010, selon un document publié récemment par le site économique ANIMA-MIPO. Cependant, globalement, les pays du Maghreb ont enregistré une hausse de 29% en nombre d'annonces d'IDE, toutefois une chute de 20% est perceptible concernant des montants au premier semestre 2010 par rapport à l'année 2009. En fait, on totalise au total 1,7 milliard d'euros durant les six premiers mois de l'année 2010, c'est à dire un chiffre historiquement bas lorsqu'on le compare au montant annuel moyen depuis 2003 dont le montant est de l'ordre de près de 9 milliards d'euros, suivant les statistiques fournies par ANIMA-MIPO. Selon le site économique «Starafrica» «les investisseurs étrangers, et notamment ceux en provenance des pays émergents, voient pour l'Afrique d'énormes opportunités de croissance à long terme, comme le montre la première enquête sur l'attractivité de l'Afrique, réalisée par Ernst & Young. Cette dernière se base sur deux critères : le premier, quantitatif, mesure les investissements effectués en Afrique au cours des dix dernières années. Le second est une enquête qualitative menée auprès de plus de 562 dirigeants du monde sur leurs stratégies d'investissement et les régions qui en bénéficieront au cours des 10 prochaines années». Les analystes estiment que le continent africain est en passe de devenir une destination émergente des investissements directs étrangers, pourvu que la stabilité politique et la paix sociale prévalent dans certains pays où il existe de forts potentiels économiques et industriels et de réelles opportunités d'investissements pour les hommes d'affaires occidentaux, notamment européens. Ainsi, les experts de Ernest & Young estiment que des réformes profondes pour soutenir la croissance en Afrique sont indispensables. Ils indiquent, à ce propos, que «la croissance africaine des dix dernières années a été portée par un processus de réformes économiques et réglementaires à long terme, engagé sur une grande partie du continent depuis la fin de la guerre froide. Ce processus s'est caractérisé par la maîtrise de l'inflation, la réduction de la dette extérieure et des déficits budgétaires, la privatisation des entreprises publiques, le renforcement des systèmes réglementaires et juridiques et l'ouverture de nombreuses économies africaines au commerce international». Ils sont arrivés à la conclusion que «l'analyse des projets montre que les réussites en matière d'investissement sont réparties sur tout le continent. Dix pays africains ont attiré 70 % des nouveaux projets d'IDE en Afrique entre 2003 et 2010 (Afrique du Sud, Egypte, Maroc, Algérie, Tunisie, Nigéria, Angola, Kenya, Libye, Ghana)». En effet, pour ce qui est des pays maghrébins, le montant de projets annoncés en termes d'IDE, pour l'Algérie, par exemple, au même titre que le Maroc, a diminué de 60 à 80% au premier semestre 2010, selon un document publié récemment par le site économique ANIMA-MIPO. Cependant, globalement, les pays du Maghreb ont enregistré une hausse de 29% en nombre d'annonces d'IDE, toutefois une chute de 20% est perceptible concernant des montants au premier semestre 2010 par rapport à l'année 2009. En fait, on totalise au total 1,7 milliard d'euros durant les six premiers mois de l'année 2010, c'est à dire un chiffre historiquement bas lorsqu'on le compare au montant annuel moyen depuis 2003 dont le montant est de l'ordre de près de 9 milliards d'euros, suivant les statistiques fournies par ANIMA-MIPO. Selon le site économique «Starafrica» «les investisseurs étrangers, et notamment ceux en provenance des pays émergents, voient pour l'Afrique d'énormes opportunités de croissance à long terme, comme le montre la première enquête sur l'attractivité de l'Afrique, réalisée par Ernst & Young. Cette dernière se base sur deux critères : le premier, quantitatif, mesure les investissements effectués en Afrique au cours des dix dernières années. Le second est une enquête qualitative menée auprès de plus de 562 dirigeants du monde sur leurs stratégies d'investissement et les régions qui en bénéficieront au cours des 10 prochaines années».