L'exposition des toiles de la plasticienne Zahia Kaci, inaugurée samedi à la galerie d'art "Ahlem" (hôtel Hilton, Alger), propose un détour pictural par des sentiers où s'entrecroisent des émotions et sentiments de l'homme face aux choses de la vie. Les couleurs chaudes rappelant la terre ou encore le sable, d'autres plutôt vives, donnant l'impression de continuer un arc en ciel, se mêlent sous une lumière éclatante et forment un "paysage" de sentiments où nostalgie, tristesse, révolte, tendresse et chagrin, tentent, tout à la fois d'atteindre les cœurs des visiteurs. Roposant près d'une quarantaine de toiles, réalisées à l'huile sur toile et à l'acrylique sur papier, l'artiste-peintre, diplômée de l'Ecole nationale des beaux-arts d'Alger en 1968, a voulu retracer son parcours artistique, marqué par les différents évènements qu'elle a vécus et la situation qu'a traversé l'Algérie. L'exposition, qui se poursuivra jusqu'au 7 juillet, comprend sa première toile "La mer et l'enfant", réalisée en 1965 dans l'atelier de Mohamed Issiakhem, alors qu'elle était encore étudiante. Le visiteur peut y trouver aussi des thèmes d'actualité et des sujets sociaux, comme la "harraga" ou la protection de l'environnement. Intitulée "Je dis, je raconte...", l'exposition se veut un partage des émotions, des états d'âme et des sentiments de la plasticienne qu'elle exprime par ses pinceaux et veut transmettre aux autres pour pouvoir respirer et se libérer de sa bulle, ainsi qu'elle le confie. Le vécu est sa principale source d'inspiration, qu'il soit d'ordre social, politique ou familial. Ce vécu est, selon elle, en grande partie douloureux, mais l'espoir doit être gardé, car la vie continue. C'est pour cette raison que ses peintures sont réalisées par des couleurs chaudes, comme le rouge ou le jaune, dans des tons éclatants, car l'éclat, pour elle, est mouvement et symbole d'espoir. L'exposition des toiles de la plasticienne Zahia Kaci, inaugurée samedi à la galerie d'art "Ahlem" (hôtel Hilton, Alger), propose un détour pictural par des sentiers où s'entrecroisent des émotions et sentiments de l'homme face aux choses de la vie. Les couleurs chaudes rappelant la terre ou encore le sable, d'autres plutôt vives, donnant l'impression de continuer un arc en ciel, se mêlent sous une lumière éclatante et forment un "paysage" de sentiments où nostalgie, tristesse, révolte, tendresse et chagrin, tentent, tout à la fois d'atteindre les cœurs des visiteurs. Roposant près d'une quarantaine de toiles, réalisées à l'huile sur toile et à l'acrylique sur papier, l'artiste-peintre, diplômée de l'Ecole nationale des beaux-arts d'Alger en 1968, a voulu retracer son parcours artistique, marqué par les différents évènements qu'elle a vécus et la situation qu'a traversé l'Algérie. L'exposition, qui se poursuivra jusqu'au 7 juillet, comprend sa première toile "La mer et l'enfant", réalisée en 1965 dans l'atelier de Mohamed Issiakhem, alors qu'elle était encore étudiante. Le visiteur peut y trouver aussi des thèmes d'actualité et des sujets sociaux, comme la "harraga" ou la protection de l'environnement. Intitulée "Je dis, je raconte...", l'exposition se veut un partage des émotions, des états d'âme et des sentiments de la plasticienne qu'elle exprime par ses pinceaux et veut transmettre aux autres pour pouvoir respirer et se libérer de sa bulle, ainsi qu'elle le confie. Le vécu est sa principale source d'inspiration, qu'il soit d'ordre social, politique ou familial. Ce vécu est, selon elle, en grande partie douloureux, mais l'espoir doit être gardé, car la vie continue. C'est pour cette raison que ses peintures sont réalisées par des couleurs chaudes, comme le rouge ou le jaune, dans des tons éclatants, car l'éclat, pour elle, est mouvement et symbole d'espoir.