«La première voiture algérienne sortira de l'usine en 2015 dans le cadre d'un accord de coopération et de partenariat algéro-français signé avec la firme automobile Renault. Les négociations tirent à leur fin. Il reste deux à trois réunions pour finaliser le projet de réalisation en Algérie d'une usine de construction de véhicules de tourisme» a déclaré, hier, Mohamed Benmeradi, ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, en marge des travaux des premières Assises nationales du commerce ouvertes au Palais des Nations. Mais ce ne sera pas le seul opérateur économique étranger de l'automobile à investir, dit-il, dans ce secteur en Algérie, dans un cadre de partenariat gagant-gagnant. L'Algérie veut, en effet, lancer une industrie automobile avec des capacités d'intégration pouvant atteindre les 50 % au bout de cinq ans, explique le ministre. Faut-il rappeler que l'Algérie a fait état d'une contre-proposition sur la production de 100.000 véhicules de gammes variées, et d'une liste de 50 entreprises de sous-traitance algérienne. Ainsi, le projet Renault génèrera des milliers d'emploi pour les jeunes et favorisera la coopération et la collaboration avec les PME algériennes des différents métiers. «Le dossier Renault avance bien», rassure en tout cas le ministre. Les négociations sont aussi avancées avec la firme allemande Volkswagen, selon le ministre, qui annonce le départ d'une délégation algérienne en Allemagne pour négocier d'autres points à l'ordre du jour afin de pouvoir tisser ce deuxième partenariat dans la filière auto. Le projet de construction d'automobile avec les Sud-Coréens est également en cours de négociations, selon le ministre qui favorise ainsi la diversification des opérateurs économiques internationaux désireux d'investir en Algérie dans ce secteur porteur. Faut-il rappeler que les constructeurs chinois sont aussi intéressés par la réalisation d'usines de construction de véhicules en Algérie. Ainsi l'option de la filière algérienne d'automobile n'est plus une vue de l'esprit mais bien un projet concret dont les contours économiques sont en voie de parachèvement avant d'entamer le lancement de l'opération sur le terrain, dans quelques mois. Les Sud-Coréens sont également présents dans plusieurs autres secteurs d'activités économiques, à l'instar de l'électronique, l'informatique, la construction, etc. Il est question de construire 150.000 véhicules par la firme Renault durant le processus de production qui démarrera, en principe, dans quatre années. «La première voiture algérienne sortira de l'usine en 2015 dans le cadre d'un accord de coopération et de partenariat algéro-français signé avec la firme automobile Renault. Les négociations tirent à leur fin. Il reste deux à trois réunions pour finaliser le projet de réalisation en Algérie d'une usine de construction de véhicules de tourisme» a déclaré, hier, Mohamed Benmeradi, ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, en marge des travaux des premières Assises nationales du commerce ouvertes au Palais des Nations. Mais ce ne sera pas le seul opérateur économique étranger de l'automobile à investir, dit-il, dans ce secteur en Algérie, dans un cadre de partenariat gagant-gagnant. L'Algérie veut, en effet, lancer une industrie automobile avec des capacités d'intégration pouvant atteindre les 50 % au bout de cinq ans, explique le ministre. Faut-il rappeler que l'Algérie a fait état d'une contre-proposition sur la production de 100.000 véhicules de gammes variées, et d'une liste de 50 entreprises de sous-traitance algérienne. Ainsi, le projet Renault génèrera des milliers d'emploi pour les jeunes et favorisera la coopération et la collaboration avec les PME algériennes des différents métiers. «Le dossier Renault avance bien», rassure en tout cas le ministre. Les négociations sont aussi avancées avec la firme allemande Volkswagen, selon le ministre, qui annonce le départ d'une délégation algérienne en Allemagne pour négocier d'autres points à l'ordre du jour afin de pouvoir tisser ce deuxième partenariat dans la filière auto. Le projet de construction d'automobile avec les Sud-Coréens est également en cours de négociations, selon le ministre qui favorise ainsi la diversification des opérateurs économiques internationaux désireux d'investir en Algérie dans ce secteur porteur. Faut-il rappeler que les constructeurs chinois sont aussi intéressés par la réalisation d'usines de construction de véhicules en Algérie. Ainsi l'option de la filière algérienne d'automobile n'est plus une vue de l'esprit mais bien un projet concret dont les contours économiques sont en voie de parachèvement avant d'entamer le lancement de l'opération sur le terrain, dans quelques mois. Les Sud-Coréens sont également présents dans plusieurs autres secteurs d'activités économiques, à l'instar de l'électronique, l'informatique, la construction, etc. Il est question de construire 150.000 véhicules par la firme Renault durant le processus de production qui démarrera, en principe, dans quatre années.