Rien ne va plus dans la sphère économique des Etats-Unis qui continue à enregistrer une avalanche de mauvaises nouvelles faisant augmenter la pression qui pèse fortement sur le président Barack Obama à l'approche des élections présidentielles. Selon le dernier rapport du département du Travail, non seulement l'économie américaine a créé zéro emploi en août, mais les données des mois de juillet et juin ont été révisées en forte baisse avec des créations d'emplois de 85.000 et 20.000 respectivement, contre 117.000 et 46.000 aux précédentes estimations. Le taux de chômage n'a pas changé d'un iota en restant collé à 9,1 % de la population active avec des pertes d'emploi dans les secteurs notamment manufacturier et de construction. Aucune éclaircie ne semble augurer une solide relance économique, et ce de l'aveu même de la Maison-Blanche: les services de la présidence américaine ont, en effet, revu en baisse les prévisions de croissance pour 2011. Alors qu'elle tablait, il y a quelques mois, sur une croissance de 2,6% en 2011, la Maison-Blanche s'attend désormais à une croissance de l'ordre de 1,7 %. Elle se montre, également, pessimiste pour la croissance du PIB en 2012 qu'elle estime à 2,6 % contre une prévision précédente de 3,3 %. Le seul indicateur économique pour lequel elle prédit un relatif «bon point» est celui du déficit budgétaire pour l'exercice 2011 qui devrait passer de 1.645 milliards de dollars (près de 11% du PIB) à 1.316 milliards de dollars (8,8 % du PIB). Cette révision à la baisse est imputable, notamment ,aux coupes budgétaires qui ont accompagné l'accord entre républicains et démocrates, en août dernier, sur le relèvement du plafond de la dette américaine. En conséquence de ces sombres chiffres, Wall Street a perdu, vendredi, tous les gains engrangés en début de cette semaine, émettant le doute sur la solidité de la reprise de l'économie américaine. Mais un malheur vient rarement seul : l'agence fédérale qui supervise le marché des prêts hypothécaires compte engager des poursuites judiciaires contre de grandes banques pour leur rôle dans la titrisation de crédits hypothécaires, telles Goldman Sachs, Bank of America et JP Morgan Chase. Cette autorité fédérale reprocherait à ces groupes bancaires d'avoir trompé les clients sur la qualité des prêts hypothécaires (subprimes) vendus pendant la bulle immobilière avant qu'elle n'éclate à la fin 2008. Par ailleurs, la Banque centrale américaine a annoncé qu'elle envisageait de faire payer une amende à la banque Goldman Sachs pour des pratiques douteuses d'une de ses filiales. Rien ne va plus dans la sphère économique des Etats-Unis qui continue à enregistrer une avalanche de mauvaises nouvelles faisant augmenter la pression qui pèse fortement sur le président Barack Obama à l'approche des élections présidentielles. Selon le dernier rapport du département du Travail, non seulement l'économie américaine a créé zéro emploi en août, mais les données des mois de juillet et juin ont été révisées en forte baisse avec des créations d'emplois de 85.000 et 20.000 respectivement, contre 117.000 et 46.000 aux précédentes estimations. Le taux de chômage n'a pas changé d'un iota en restant collé à 9,1 % de la population active avec des pertes d'emploi dans les secteurs notamment manufacturier et de construction. Aucune éclaircie ne semble augurer une solide relance économique, et ce de l'aveu même de la Maison-Blanche: les services de la présidence américaine ont, en effet, revu en baisse les prévisions de croissance pour 2011. Alors qu'elle tablait, il y a quelques mois, sur une croissance de 2,6% en 2011, la Maison-Blanche s'attend désormais à une croissance de l'ordre de 1,7 %. Elle se montre, également, pessimiste pour la croissance du PIB en 2012 qu'elle estime à 2,6 % contre une prévision précédente de 3,3 %. Le seul indicateur économique pour lequel elle prédit un relatif «bon point» est celui du déficit budgétaire pour l'exercice 2011 qui devrait passer de 1.645 milliards de dollars (près de 11% du PIB) à 1.316 milliards de dollars (8,8 % du PIB). Cette révision à la baisse est imputable, notamment ,aux coupes budgétaires qui ont accompagné l'accord entre républicains et démocrates, en août dernier, sur le relèvement du plafond de la dette américaine. En conséquence de ces sombres chiffres, Wall Street a perdu, vendredi, tous les gains engrangés en début de cette semaine, émettant le doute sur la solidité de la reprise de l'économie américaine. Mais un malheur vient rarement seul : l'agence fédérale qui supervise le marché des prêts hypothécaires compte engager des poursuites judiciaires contre de grandes banques pour leur rôle dans la titrisation de crédits hypothécaires, telles Goldman Sachs, Bank of America et JP Morgan Chase. Cette autorité fédérale reprocherait à ces groupes bancaires d'avoir trompé les clients sur la qualité des prêts hypothécaires (subprimes) vendus pendant la bulle immobilière avant qu'elle n'éclate à la fin 2008. Par ailleurs, la Banque centrale américaine a annoncé qu'elle envisageait de faire payer une amende à la banque Goldman Sachs pour des pratiques douteuses d'une de ses filiales.