Au moins neuf personnes ont été tuées et 24 blessées par une explosion à la bombe hier matin devant la Haute cour de New Delhi, en plein centre de la capitale indienne, a annoncé la police. "La bombe était apparemment placée dans une mallette près de la réception à l'une des principales portes du tribunal", a déclaré à la presse un commissaire de police, Dharmendra Kumar. Les abords de la Haute cour ont été bouclés par la police, tandis qu'une foule de curieux était massée à l'extérieur des cordons de sécurité. Le 13 juillet dernier, l'Inde avait été visée par un triple attentat, non revendiqué, qui avait fait 26 morts à Bombay. Il s'agissait de l'attaque la plus meurtrière qu'ait connue la mégapole économique indienne depuis l'attaque perpétrée par des militants islamistes en 2008, qui avait fait 166 morts. Selon l'agence Press Trust of India (PTI), l'explosion s'est produite vers 10H15 locales (04H45 GMT), au moment où plus d'une centaine de personnes faisait la queue pour obtenir l'autorisation d'entrer dans le complexe judiciaire. Libération Au moins neuf personnes ont été tuées et 24 blessées par une explosion à la bombe hier matin devant la Haute cour de New Delhi, en plein centre de la capitale indienne, a annoncé la police. "La bombe était apparemment placée dans une mallette près de la réception à l'une des principales portes du tribunal", a déclaré à la presse un commissaire de police, Dharmendra Kumar. Les abords de la Haute cour ont été bouclés par la police, tandis qu'une foule de curieux était massée à l'extérieur des cordons de sécurité. Le 13 juillet dernier, l'Inde avait été visée par un triple attentat, non revendiqué, qui avait fait 26 morts à Bombay. Il s'agissait de l'attaque la plus meurtrière qu'ait connue la mégapole économique indienne depuis l'attaque perpétrée par des militants islamistes en 2008, qui avait fait 166 morts. Selon l'agence Press Trust of India (PTI), l'explosion s'est produite vers 10H15 locales (04H45 GMT), au moment où plus d'une centaine de personnes faisait la queue pour obtenir l'autorisation d'entrer dans le complexe judiciaire. Libération