L'armée iranienne a annoncé hier que le commandant en chef adjoint du groupe rebelle kurde du Parti pour une vie libre du Kurdistan (PJAK) avait été tué samedi, au moment où des opérations militaires étaient menées dans la zone frontalière avec le Kurdistan irakien. Selon un communiqué des Gardiens de la révolution iraniens, il s'agit de "Majid Kavian, alias Samakhou Saraldan, commandant en chef adjoint du groupe terroriste PJAK", tué samedi. L'armée iranienne n'a pas donné de précision sur les circonstances de de la mort de ce chef rebelle kurde. Le communiqué affirme que Majid Kavian était "engagé dans des opérations terroristes en territoire iranien depuis 2003". L'Iran a lancé en juillet une série d'opérations de son côté de la frontière mais également en territoire kurde irakien. Selon les autorités, plusieurs dizaines de membres du PJAK ont été tués et plusieurs bases détruites, dont trois en territoire irakien. Baghdad avait sommé en juillet l'Iran de cesser ses bombardempoursuivraientents, mais les Gardiens de la révolution ont affirmé que les opérations contre le PJAK se jusqu'à ce que l'Irak déploie des forces le long de la frontière commune pour empêcher l'infiltration de rebelles. Le PJAK lié au mouvement indépendantiste armé kurde de Turquie PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan), est régulièrement impliqué dans des affrontements armés avec les forces iraniennes, selon Téhéran. Egypte Reprise du procès de Hosni Moubarak Le procès du président égyptien déchu Hosni Moubarak, accusé de "corruption" et de "meurtre de manifestants" lors de la révolte populaire de janvier et février derniers, a repris hier au Caire, ont rapporté des médias. C'est la quatrième audience du procès de Moubarak. La dernière séance s'est déroulée lundi, marquée par des accrochages entre des partisans et des adversaires de l'ancien président, ainsi qu'entre manifestants et policiers. L'ex-chef de l'Etat égyptien, a plaidé non coupable lors de sa première audience le 3 août dernier. Cette nouvelle audience, contrairement aux deux précédentes, n'est pas retransmise en direct à la télévision. Chassé du pouvoir le 11 février sous la pression de la rue, l'ancien chef de l'Etat égyptien, 83 ans, qui souffrirait de problèmes cardiaques, est notamment accusé de corruption ainsi que de la mort de manifestants au cours de la révolte contre son régime en janvier et février derniers. Ce mouvement avait fait près de 850 morts, selon un bilan donné par les médias. L'armée iranienne a annoncé hier que le commandant en chef adjoint du groupe rebelle kurde du Parti pour une vie libre du Kurdistan (PJAK) avait été tué samedi, au moment où des opérations militaires étaient menées dans la zone frontalière avec le Kurdistan irakien. Selon un communiqué des Gardiens de la révolution iraniens, il s'agit de "Majid Kavian, alias Samakhou Saraldan, commandant en chef adjoint du groupe terroriste PJAK", tué samedi. L'armée iranienne n'a pas donné de précision sur les circonstances de de la mort de ce chef rebelle kurde. Le communiqué affirme que Majid Kavian était "engagé dans des opérations terroristes en territoire iranien depuis 2003". L'Iran a lancé en juillet une série d'opérations de son côté de la frontière mais également en territoire kurde irakien. Selon les autorités, plusieurs dizaines de membres du PJAK ont été tués et plusieurs bases détruites, dont trois en territoire irakien. Baghdad avait sommé en juillet l'Iran de cesser ses bombardempoursuivraientents, mais les Gardiens de la révolution ont affirmé que les opérations contre le PJAK se jusqu'à ce que l'Irak déploie des forces le long de la frontière commune pour empêcher l'infiltration de rebelles. Le PJAK lié au mouvement indépendantiste armé kurde de Turquie PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan), est régulièrement impliqué dans des affrontements armés avec les forces iraniennes, selon Téhéran. Egypte Reprise du procès de Hosni Moubarak Le procès du président égyptien déchu Hosni Moubarak, accusé de "corruption" et de "meurtre de manifestants" lors de la révolte populaire de janvier et février derniers, a repris hier au Caire, ont rapporté des médias. C'est la quatrième audience du procès de Moubarak. La dernière séance s'est déroulée lundi, marquée par des accrochages entre des partisans et des adversaires de l'ancien président, ainsi qu'entre manifestants et policiers. L'ex-chef de l'Etat égyptien, a plaidé non coupable lors de sa première audience le 3 août dernier. Cette nouvelle audience, contrairement aux deux précédentes, n'est pas retransmise en direct à la télévision. Chassé du pouvoir le 11 février sous la pression de la rue, l'ancien chef de l'Etat égyptien, 83 ans, qui souffrirait de problèmes cardiaques, est notamment accusé de corruption ainsi que de la mort de manifestants au cours de la révolte contre son régime en janvier et février derniers. Ce mouvement avait fait près de 850 morts, selon un bilan donné par les médias.