Le ministre des Finances, Karim Djoudi, qui a pris part à la réunion du G 24 à Washington, a mis l'accent sur la nécessité pour le FMI de retrouver son rôle d'observateur de la situation économique et d'alerte pour les crises potentielles, a indiqué vendredi un communiqué du ministère. M. Djoudi, qui a pris part à la réunion du groupe des 24 (G24) pour les questions monétaires et de développement dans le cadre de sa participation aux travaux des assemblées annuelles du groupe de la Banque Mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) qui se déroulent à Washington, a, également, insisté sur la problématique de "la déconnexion des marchés financiers avec les réalités économiques et les corrections qui ne sont pas opérées", précise le communiqué. Le ministre a aussi mis l'accent sur la problématique de "la transparence budgétaire et bancaire à l'effet de rétablir le lien entre les marchés et la croissance économique". Pour les pays émergents, il a constaté que malgré les performances réalisées en matière économique, les emplois créés dans ces pays demeurent insuffisants, soulignant la nécessité "d'optimiser les dispositifs de soutien à l'emploi". Lors de la réunion du G24, les ministres ont, notamment, insisté sur le fait que les pays développés "doivent lancer des actions coordonnées et concertées pour traiter la crise qui frappe l'économie mondiale", appelant, dans cette optique, à la mise en place de "plans crédibles" de rétablissement des déséquilibres globaux en parallèle avec une action coordonnée de soutien à la croissance. La nécessité d'un assainissement, qui doit intervenir "sans délai", du secteur bancaire et d'un renforcement des moyens de la Banque Mondiale et du FMI pour "répondre aux défis globaux de court, moyen et long termes» a été également relevée par les ministres. Constatant, en outre, que le monde s'oriente vers une économie et une croissance multipolaires, les participants à la réunion du G24 ont appelé à "reconnaître et conforter cette multipolarité" en favorisant la croissance dans les pays en voie de développement, notamment en Afrique, où le potentiel reste très important. M. Djoudi a, par ailleurs, passé en revue en marge de ces réunion, lors d'une rencontre avec le ministre iranien des Finances, l'évolution de la coopération économique bilatérale ainsi que les possibilités de son renforcement, notamment dans le domaine financier et bancaire. Gouverneur de l'Algérie auprès du Groupe de la BM, M. Djoudi prendra part aux réunions des assemblées annuelles d'automne du Groupe de la BM et du FMI. Il devra participer à la réunion du Comité de développement de la BM. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, qui a pris part à la réunion du G 24 à Washington, a mis l'accent sur la nécessité pour le FMI de retrouver son rôle d'observateur de la situation économique et d'alerte pour les crises potentielles, a indiqué vendredi un communiqué du ministère. M. Djoudi, qui a pris part à la réunion du groupe des 24 (G24) pour les questions monétaires et de développement dans le cadre de sa participation aux travaux des assemblées annuelles du groupe de la Banque Mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) qui se déroulent à Washington, a, également, insisté sur la problématique de "la déconnexion des marchés financiers avec les réalités économiques et les corrections qui ne sont pas opérées", précise le communiqué. Le ministre a aussi mis l'accent sur la problématique de "la transparence budgétaire et bancaire à l'effet de rétablir le lien entre les marchés et la croissance économique". Pour les pays émergents, il a constaté que malgré les performances réalisées en matière économique, les emplois créés dans ces pays demeurent insuffisants, soulignant la nécessité "d'optimiser les dispositifs de soutien à l'emploi". Lors de la réunion du G24, les ministres ont, notamment, insisté sur le fait que les pays développés "doivent lancer des actions coordonnées et concertées pour traiter la crise qui frappe l'économie mondiale", appelant, dans cette optique, à la mise en place de "plans crédibles" de rétablissement des déséquilibres globaux en parallèle avec une action coordonnée de soutien à la croissance. La nécessité d'un assainissement, qui doit intervenir "sans délai", du secteur bancaire et d'un renforcement des moyens de la Banque Mondiale et du FMI pour "répondre aux défis globaux de court, moyen et long termes» a été également relevée par les ministres. Constatant, en outre, que le monde s'oriente vers une économie et une croissance multipolaires, les participants à la réunion du G24 ont appelé à "reconnaître et conforter cette multipolarité" en favorisant la croissance dans les pays en voie de développement, notamment en Afrique, où le potentiel reste très important. M. Djoudi a, par ailleurs, passé en revue en marge de ces réunion, lors d'une rencontre avec le ministre iranien des Finances, l'évolution de la coopération économique bilatérale ainsi que les possibilités de son renforcement, notamment dans le domaine financier et bancaire. Gouverneur de l'Algérie auprès du Groupe de la BM, M. Djoudi prendra part aux réunions des assemblées annuelles d'automne du Groupe de la BM et du FMI. Il devra participer à la réunion du Comité de développement de la BM.