Vahid Halilhodzic voit l'assurance naître et les changements fleurir sur le jeu des Verts. Un peu plus de deux mois après sa prise de fonction à la tête de la sélection algérienne, le nouvel entraîneur des Verts a vite apporté sa touche personnelle. En effet, la spirale négative que traverse l'équipe depuis un certain temps semble bel et bien terminée avec cette méritoire victoire de deux buts à zéro contre la République centrafricaine. Vahid Halilhodzic voit l'assurance naître et les changements fleurir sur le jeu des Verts. Un peu plus de deux mois après sa prise de fonction à la tête de la sélection algérienne, le nouvel entraîneur des Verts a vite apporté sa touche personnelle. En effet, la spirale négative que traverse l'équipe depuis un certain temps semble bel et bien terminée avec cette méritoire victoire de deux buts à zéro contre la République centrafricaine. Après l'ère de Rabah Saâdane, achevée en apothéose par une participation au Mondial sud-africain, suivie de Abdelhak Benchikha qui, rappelons-le, n'a pas pu aller jusqu'au bout de son contrat en raison de ses mauvais résultats, la nomination du Bosnien, Vahid Halilhodzic à la tête des Fennecs fut accueilli avec bienveillance et beaucoup d'espoir. Le nouveau patron de l'équipe algérienne voulait remettre l'équipe sur le droit chemin. Dans son premier discours, M Halilhodzic a affiché une franche volonté de changement tout en annonçant la rupture définitive avec l'ère de ses prédécesseurs. «Il faut aller chercher la victoire. Les joueurs doivent exercer un pressing plus haut. Le football moderne, c'est d'attaquer en bloc et défendre en bloc» De bonnes phrases, riches en promesses, et qui auguraient des jours meilleurs pour cette équipe algérienne prononcés par l'entraîneur national au cours de son dernier point de presse à Alger. Depuis son installation à la tête de la sélection algérienne, le coach national insiste beaucoup sur le jeu plus offensif et séduisant. Il y a quelque chose qui s'est mis en route depuis son arrivée. Pour l'instant, et après deux matches, un nul à l'extérieur (Tanzanie 1-1) et une victoire à domicile, la plupart des techniciens algériens confirment qu'ils sentent que quelque chose se construit au fil du temps. Lors de cette ultime journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations, l'équipe algérienne a tenté de construire son jeu à partir de derrière, mais elle manquait encore de confiance. En tous cas, l'exploit face à la République centrafricaine va sans aucun doute transformer l'état d'esprit des joueurs. L'équipe doit, toutefois, garder la tête sur les épaules et éviter de penser au travail accompli car ce n'est que le début d'une nouvelle histoire sous la houlette du Bosnien Vahid Halilhodzic. Le résultat final, l'équipe a montré un visage meilleur par rapport aux précédents matches mêms si la pelouse du 5-Juillet est bonne pour n'importe quoi sauf pour un match de football. Un résultat qui traduit comme il se doit le bon travail effectué par le coach, notamment sur le plan tactique, où beaucoup de choses ont été constatées. L'Algérie, qui avait un problème en attaque, commence petit à petit à retrouver le chemin des filets, et ce, grâce à la bonne volonté des joueurs qui ont appliqué à la lettre les consignes du coach. C'est vrai que le parcours de l'équipe nationale dans cette joute continentale n'est pas satisfaisant, mais un petit changement a été constaté avec l'arrivé de Halilhodzic qui pousse ses joueurs à s'aventurer plus en avant. Mais ce n'est pas fini, il ne faut surtout pas s'enflammer, les joueurs doivent désormais retrousser leur manche en prévision des prochaines échéances internationales. Après l'ère de Rabah Saâdane, achevée en apothéose par une participation au Mondial sud-africain, suivie de Abdelhak Benchikha qui, rappelons-le, n'a pas pu aller jusqu'au bout de son contrat en raison de ses mauvais résultats, la nomination du Bosnien, Vahid Halilhodzic à la tête des Fennecs fut accueilli avec bienveillance et beaucoup d'espoir. Le nouveau patron de l'équipe algérienne voulait remettre l'équipe sur le droit chemin. Dans son premier discours, M Halilhodzic a affiché une franche volonté de changement tout en annonçant la rupture définitive avec l'ère de ses prédécesseurs. «Il faut aller chercher la victoire. Les joueurs doivent exercer un pressing plus haut. Le football moderne, c'est d'attaquer en bloc et défendre en bloc» De bonnes phrases, riches en promesses, et qui auguraient des jours meilleurs pour cette équipe algérienne prononcés par l'entraîneur national au cours de son dernier point de presse à Alger. Depuis son installation à la tête de la sélection algérienne, le coach national insiste beaucoup sur le jeu plus offensif et séduisant. Il y a quelque chose qui s'est mis en route depuis son arrivée. Pour l'instant, et après deux matches, un nul à l'extérieur (Tanzanie 1-1) et une victoire à domicile, la plupart des techniciens algériens confirment qu'ils sentent que quelque chose se construit au fil du temps. Lors de cette ultime journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations, l'équipe algérienne a tenté de construire son jeu à partir de derrière, mais elle manquait encore de confiance. En tous cas, l'exploit face à la République centrafricaine va sans aucun doute transformer l'état d'esprit des joueurs. L'équipe doit, toutefois, garder la tête sur les épaules et éviter de penser au travail accompli car ce n'est que le début d'une nouvelle histoire sous la houlette du Bosnien Vahid Halilhodzic. Le résultat final, l'équipe a montré un visage meilleur par rapport aux précédents matches mêms si la pelouse du 5-Juillet est bonne pour n'importe quoi sauf pour un match de football. Un résultat qui traduit comme il se doit le bon travail effectué par le coach, notamment sur le plan tactique, où beaucoup de choses ont été constatées. L'Algérie, qui avait un problème en attaque, commence petit à petit à retrouver le chemin des filets, et ce, grâce à la bonne volonté des joueurs qui ont appliqué à la lettre les consignes du coach. C'est vrai que le parcours de l'équipe nationale dans cette joute continentale n'est pas satisfaisant, mais un petit changement a été constaté avec l'arrivé de Halilhodzic qui pousse ses joueurs à s'aventurer plus en avant. Mais ce n'est pas fini, il ne faut surtout pas s'enflammer, les joueurs doivent désormais retrousser leur manche en prévision des prochaines échéances internationales.
