Le mauvais temps, qui sévit dans la majorité des régions du pays, a eu de fâcheuses conséquences sur l'éducation nationale. Les élèves n'ont pu rejoindre les bancs des écoles pour cause de conditions climatiques exécrables. Plusieurs wilayas du pays ont été en effet touchées de plein fouet par cette vague de froid exceptionnelle. Selon des sources syndicales, une dizaine de wilayas au moins est concernée par cette situation. Les cours sont ainsi suspendus totalement ou partiellement dans les wilayas de Tizi-Ouzou, Béjaïa, Médéa, Tissemsilt, Batna, Khenchela, Jijel, Oum El-Bouaghi, Sétif et Constantine. Cette situation, il va sans dire, a causé plein de soucis au ministère de l'Education nationale. Boubekeur Benbouzid est en effet dans une situation peu enviable tant cela risque d'engendrer pas mal de problèmes avec l'ensemble de la famille de l'éducation nationale, a commencer bien évidemment avec les élèves en classes d'examens. L'on pense notamment à ceux concernés par l'examen du baccalauréat. Il est certain que les élèves des classes de terminale, qui se sont déjà manifestés les dernières semaines pour contraindre le ministre à fixer le seuil des cours pour l'examen du baccalauréat, vont revenir de nouveau à la charge car cette situation a engendré de nouveaux retards et les programmes ne peuvent être terminés à temps. Les syndicats de l'éducation nationale proposent, en vue de limiter autant que faire se peut les dégâts, de raccourcir la durée des vacances de printemps. «Le ministère de l'Education doit trouver des solutions à ce problème. Pour nous, cependant, au lieu de quinze jours de vacances on propose juste une semaine car il faut consacrer l'autre semaine aux cours de rattrapage», nous a indiqué Messaoud Amraoui, le chargé de la communication au sein de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF). Pour notre interlocuteur, joint hier, «si cette proposition est retenue, nous souhaitons aussi que les enseignants puissent bénéficier d'une compensation financière». En termes plus clairs, les enseignants n'assureront pas les cours de rattrapage gratuitement. C'est pratiquement la même position défendue par le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest). Messaoud Boudiba, le chargé de la communication, considère en effet «qu'il faut juste une semaine de vacances au lieu de quinze jours. C'est la seule solution en vue de pouvoir rattraper un tant soit peu les retards enregistrés dans l'enseignement des programmes, même si même avec cette solution l'on ne peut tout rattraper». Boudiba, de plus, n'exclut pas la montée au créneau des élèves des classes de terminale qui vont, encore une fois, exiger que l'on fixe un nouveau seuil pour les programmes sur lesquels porteront les epreuves du baccalauréat. Pour rappel, et suite aux grèves des élèves des classes de terminale, le ministère de l'Education nationale a été amené à fixer la date du 30 avril comme seuil. Donc, tous les programmes dispensés avant cette date seront concernés par l'examen du baccalauréat qui aura lieu le 3 juin. Or, avec ces nouveaux retards dus aux intempéries, il est plus que certain que les élèves vont de nouveau demander de fixer un autre seuil. C'est dire que Boubekeur Benbouzid fait de nouveau face à un véritable casse-tête. Le mauvais temps, qui sévit dans la majorité des régions du pays, a eu de fâcheuses conséquences sur l'éducation nationale. Les élèves n'ont pu rejoindre les bancs des écoles pour cause de conditions climatiques exécrables. Plusieurs wilayas du pays ont été en effet touchées de plein fouet par cette vague de froid exceptionnelle. Selon des sources syndicales, une dizaine de wilayas au moins est concernée par cette situation. Les cours sont ainsi suspendus totalement ou partiellement dans les wilayas de Tizi-Ouzou, Béjaïa, Médéa, Tissemsilt, Batna, Khenchela, Jijel, Oum El-Bouaghi, Sétif et Constantine. Cette situation, il va sans dire, a causé plein de soucis au ministère de l'Education nationale. Boubekeur Benbouzid est en effet dans une situation peu enviable tant cela risque d'engendrer pas mal de problèmes avec l'ensemble de la famille de l'éducation nationale, a commencer bien évidemment avec les élèves en classes d'examens. L'on pense notamment à ceux concernés par l'examen du baccalauréat. Il est certain que les élèves des classes de terminale, qui se sont déjà manifestés les dernières semaines pour contraindre le ministre à fixer le seuil des cours pour l'examen du baccalauréat, vont revenir de nouveau à la charge car cette situation a engendré de nouveaux retards et les programmes ne peuvent être terminés à temps. Les syndicats de l'éducation nationale proposent, en vue de limiter autant que faire se peut les dégâts, de raccourcir la durée des vacances de printemps. «Le ministère de l'Education doit trouver des solutions à ce problème. Pour nous, cependant, au lieu de quinze jours de vacances on propose juste une semaine car il faut consacrer l'autre semaine aux cours de rattrapage», nous a indiqué Messaoud Amraoui, le chargé de la communication au sein de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF). Pour notre interlocuteur, joint hier, «si cette proposition est retenue, nous souhaitons aussi que les enseignants puissent bénéficier d'une compensation financière». En termes plus clairs, les enseignants n'assureront pas les cours de rattrapage gratuitement. C'est pratiquement la même position défendue par le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest). Messaoud Boudiba, le chargé de la communication, considère en effet «qu'il faut juste une semaine de vacances au lieu de quinze jours. C'est la seule solution en vue de pouvoir rattraper un tant soit peu les retards enregistrés dans l'enseignement des programmes, même si même avec cette solution l'on ne peut tout rattraper». Boudiba, de plus, n'exclut pas la montée au créneau des élèves des classes de terminale qui vont, encore une fois, exiger que l'on fixe un nouveau seuil pour les programmes sur lesquels porteront les epreuves du baccalauréat. Pour rappel, et suite aux grèves des élèves des classes de terminale, le ministère de l'Education nationale a été amené à fixer la date du 30 avril comme seuil. Donc, tous les programmes dispensés avant cette date seront concernés par l'examen du baccalauréat qui aura lieu le 3 juin. Or, avec ces nouveaux retards dus aux intempéries, il est plus que certain que les élèves vont de nouveau demander de fixer un autre seuil. C'est dire que Boubekeur Benbouzid fait de nouveau face à un véritable casse-tête.