Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a pris part à plusieurs activités dans le cadre de sa participation aux réunions de printemps de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, qui se tiennent du 20 au 22 avril à Washington, et a rencontré également de hauts responsables du secteur économique du gouvernement américain. Djoudi a ainsi participé à la réunion qui a regroupé la directrice générale du FMI, Mme Christine Lagarde, avec les ministres des Finances et les gouverneurs de Banques centrales des pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA). Cette rencontre a permis à Mme Lagarde de prendre connaissance des points de vue des argentiers de cette région sur l'évolution dans leurs pays respectifs ainsi que les mesures supplémentaires que le FMI doit prendre pour répondre aux besoins de cette région, rapporte l'APS. Le ministre des Finances s'est également réuni avec la vice-présidente pour la région MENA auprès de la BM, Mme Inger Anderson, avec laquelle les discussions ont permis de passer en revue les développements récents de la situation économique et sociale en Algérie. Il a été aussi question des défis auxquels reste confronté le pays pour assurer une croissance inclusive génératrice d'emplois durables. La vice-présidente de la BM a tenu à féliciter l'Algérie pour les résultats économiques enregistrés et ce, en dépit de la conjoncture économique mondiale marquée par une reprise légère et fragile et a également salué les mesures prises dans le domaine social et en faveur de l'entreprise dont, notamment, les dispositifs pour l'emploi des jeunes. Dans ce sens, elle a affirmé que l'Algérie a pu assurer une stabilité sur le plan économique et financier. Sur le plan de la coopération, les deux parties ont fait part de leur satisfaction de voir les premiers accords d'Assistance technique remboursable (ATR) conclus sous la nouvelle forme de partenariat basé sur le transfert du savoir-faire, avec un certains nombre de secteurs comme l'agriculture, la solidarité, l'environnement ainsi qu'avec la Banque d'Algérie. La vice-présidente a réitéré l'intérêt de son institution pour accompagner l'Algérie dans des domaines où la BM peut apporter une valeur ajoutée. En ce qui concerne les élections législatives de mai prochain, elle a saisi l'occasion pour saluer les efforts consentis par l'Etat pour que ces élections se déroulent dans des conditions favorables et transparentes. Par ailleurs, M. Djoudi a assisté à la réunion du Comité financier et monétaire du FMI (CMFI) au cours duquel ont été abordées les questions liées aux marchés émergents et aux pays à revenu intermédiaire ainsi qu'à la conjoncture économique mondiale. Il a aussi pris part à la session introductive sur les prévisions économiques globales et les politiques initiées par le CMFI. Le ministre a assisté, en outre, à la réunion du Comité de développement du FMI et de la BM, qui s'est focalisée sur les questions d'ordre institutionnel et celles relatives au développement mondial, ainsi que les innovations du Groupe de la Banque mondiale visant à mobiliser le secteur privé pour impulser le développement. Djoudi aborde les questions financières et monétaires L'autre réunion à laquelle il a participé est celle du G24 qui est chargé de coordonner la position des pays en développement sur les questions monétaires et financières pour leur permettre d'aborder au préalable les points inscrits à l'ordre du jour des réunions de la BM et du FMI. Au cours de cette rencontre, les ministres ont mis l'accent sur les mesures à prendre pour consolider la reprise de l'économie mondiale, le rôle et la réforme des institutions financières internationales, les infrastructures et le développement durable. En marge de la réunion du FMI et de la BM, Karim Djoudi a eu une rencontre bilatérale avec le Président du fonds international pour le développement de l'agriculture (FIDA), Kanayo F. Nwanze, avec qui il s'est entretenu sur les nouveaux défis que l'institution, avec l'appui des pays membres, s'attelle à relever. Les réformes structurelles au sein du FIDA ainsi que sa nouvelle stratégie d'intervention au niveau des pays à revenus intermédiaires qui ne recourent plus aux emprunts auprès de cette institution ont été exposées. A cet effet, M. Djoudi a rappelé que l'Algérie a toujours appuyé et continuera à apporter son soutien au FIDA dans ses actions de lutte contre la pauvreté. Sur ce point, les modalités de renforcement de la coopération entre l'Algérie et le FIDA ont été également abordées. Par ailleurs, Djoudi a rencontré le ministre des Affaires économiques et des Finances d'Iran, Seyed Shamseddin Hosseini. Cette rencontre a permis d'aborder l'état d'avancement de la coopération économique et financière entre les deux pays ainsi que des possibilités de son renforcement. Au cours de son séjour dans la capitale fédérale américaine, Djoudi a pris part à la rencontre ministérielle américano-maghrébine tenue avec le sous-secrétaire d'Etat américain chargé des affaires économiques, de l'énergie et de l'agriculture, Robert Hormats, et le sous-secrétaire d'Etat adjoint américain chargé des affaires économiques, de l'énergie et du commerce, José Fernandez. Cette rencontre, qui s'inscrit dans le cadre de l'initiative du Nouveau partenariat Etats-Unis/Afrique du Nord (NAPEO) a eu pour objet de faire le point sur l'état d'avancement de cette initiative. Les discussions ont également porté sur le partenariat, le développement, la compétitivité et l'intégration régionale, ainsi que la problématique de l'insertion et de la création d'emplois des jeunes au niveau de la région et les mesures prises pour lutter contre le chômage. Au cours de cette rencontre,M. Djoudi a saisi cette opportunité pour rappeler que l'initiative doit s'inscrire dans une perspective de développement des PME qui constituent un vecteur de diversification de l'économie algérienne. Présentant les mesures prises par l'Algérie dans le domaine de l'emploi, il a mis l'accent sur la nécessité d'assurer l'adéquation entre le marché du travail et la formation. Il a également fait référence à la mise en place de nouvelles institutions de financement de l'économie et les mesures prises en direction des entreprises ainsi que les incitations à l'investissement. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a pris part à plusieurs activités dans le cadre de sa participation aux réunions de printemps de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, qui se tiennent du 20 au 22 avril à Washington, et a rencontré également de hauts responsables du secteur économique du gouvernement américain. Djoudi a ainsi participé à la réunion qui a regroupé la directrice générale du FMI, Mme Christine Lagarde, avec les ministres des Finances et les gouverneurs de Banques centrales des pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA). Cette rencontre a permis à Mme Lagarde de prendre connaissance des points de vue des argentiers de cette région sur l'évolution dans leurs pays respectifs ainsi que les mesures supplémentaires que le FMI doit prendre pour répondre aux besoins de cette région, rapporte l'APS. Le ministre des Finances s'est également réuni avec la vice-présidente pour la région MENA auprès de la BM, Mme Inger Anderson, avec laquelle les discussions ont permis de passer en revue les développements récents de la situation économique et sociale en Algérie. Il a été aussi question des défis auxquels reste confronté le pays pour assurer une croissance inclusive génératrice d'emplois durables. La vice-présidente de la BM a tenu à féliciter l'Algérie pour les résultats économiques enregistrés et ce, en dépit de la conjoncture économique mondiale marquée par une reprise légère et fragile et a également salué les mesures prises dans le domaine social et en faveur de l'entreprise dont, notamment, les dispositifs pour l'emploi des jeunes. Dans ce sens, elle a affirmé que l'Algérie a pu assurer une stabilité sur le plan économique et financier. Sur le plan de la coopération, les deux parties ont fait part de leur satisfaction de voir les premiers accords d'Assistance technique remboursable (ATR) conclus sous la nouvelle forme de partenariat basé sur le transfert du savoir-faire, avec un certains nombre de secteurs comme l'agriculture, la solidarité, l'environnement ainsi qu'avec la Banque d'Algérie. La vice-présidente a réitéré l'intérêt de son institution pour accompagner l'Algérie dans des domaines où la BM peut apporter une valeur ajoutée. En ce qui concerne les élections législatives de mai prochain, elle a saisi l'occasion pour saluer les efforts consentis par l'Etat pour que ces élections se déroulent dans des conditions favorables et transparentes. Par ailleurs, M. Djoudi a assisté à la réunion du Comité financier et monétaire du FMI (CMFI) au cours duquel ont été abordées les questions liées aux marchés émergents et aux pays à revenu intermédiaire ainsi qu'à la conjoncture économique mondiale. Il a aussi pris part à la session introductive sur les prévisions économiques globales et les politiques initiées par le CMFI. Le ministre a assisté, en outre, à la réunion du Comité de développement du FMI et de la BM, qui s'est focalisée sur les questions d'ordre institutionnel et celles relatives au développement mondial, ainsi que les innovations du Groupe de la Banque mondiale visant à mobiliser le secteur privé pour impulser le développement. Djoudi aborde les questions financières et monétaires L'autre réunion à laquelle il a participé est celle du G24 qui est chargé de coordonner la position des pays en développement sur les questions monétaires et financières pour leur permettre d'aborder au préalable les points inscrits à l'ordre du jour des réunions de la BM et du FMI. Au cours de cette rencontre, les ministres ont mis l'accent sur les mesures à prendre pour consolider la reprise de l'économie mondiale, le rôle et la réforme des institutions financières internationales, les infrastructures et le développement durable. En marge de la réunion du FMI et de la BM, Karim Djoudi a eu une rencontre bilatérale avec le Président du fonds international pour le développement de l'agriculture (FIDA), Kanayo F. Nwanze, avec qui il s'est entretenu sur les nouveaux défis que l'institution, avec l'appui des pays membres, s'attelle à relever. Les réformes structurelles au sein du FIDA ainsi que sa nouvelle stratégie d'intervention au niveau des pays à revenus intermédiaires qui ne recourent plus aux emprunts auprès de cette institution ont été exposées. A cet effet, M. Djoudi a rappelé que l'Algérie a toujours appuyé et continuera à apporter son soutien au FIDA dans ses actions de lutte contre la pauvreté. Sur ce point, les modalités de renforcement de la coopération entre l'Algérie et le FIDA ont été également abordées. Par ailleurs, Djoudi a rencontré le ministre des Affaires économiques et des Finances d'Iran, Seyed Shamseddin Hosseini. Cette rencontre a permis d'aborder l'état d'avancement de la coopération économique et financière entre les deux pays ainsi que des possibilités de son renforcement. Au cours de son séjour dans la capitale fédérale américaine, Djoudi a pris part à la rencontre ministérielle américano-maghrébine tenue avec le sous-secrétaire d'Etat américain chargé des affaires économiques, de l'énergie et de l'agriculture, Robert Hormats, et le sous-secrétaire d'Etat adjoint américain chargé des affaires économiques, de l'énergie et du commerce, José Fernandez. Cette rencontre, qui s'inscrit dans le cadre de l'initiative du Nouveau partenariat Etats-Unis/Afrique du Nord (NAPEO) a eu pour objet de faire le point sur l'état d'avancement de cette initiative. Les discussions ont également porté sur le partenariat, le développement, la compétitivité et l'intégration régionale, ainsi que la problématique de l'insertion et de la création d'emplois des jeunes au niveau de la région et les mesures prises pour lutter contre le chômage. Au cours de cette rencontre,M. Djoudi a saisi cette opportunité pour rappeler que l'initiative doit s'inscrire dans une perspective de développement des PME qui constituent un vecteur de diversification de l'économie algérienne. Présentant les mesures prises par l'Algérie dans le domaine de l'emploi, il a mis l'accent sur la nécessité d'assurer l'adéquation entre le marché du travail et la formation. Il a également fait référence à la mise en place de nouvelles institutions de financement de l'économie et les mesures prises en direction des entreprises ainsi que les incitations à l'investissement.