Il est difficile de rapporter l'émotion du recueillement ressentie par les citoyens sur la dépouille de la défunte Warda El Djazairia tellement elle a été à son comble. Ce qui a marqué ce dernier adieu des Algériens à leur rose d'Algérie est sans aucun doute la présence des femmes venues pour rendre hommage à leur idole mais surtout pour la «remercier de l'image de la femme algérienne honorable qu'elle incarnait durant toute son existence», ne cessaient de clamer haut et fort ses fans qui lançaient à chaque fois des youyous. Il est difficile de rapporter l'émotion du recueillement ressentie par les citoyens sur la dépouille de la défunte Warda El Djazairia tellement elle a été à son comble. Ce qui a marqué ce dernier adieu des Algériens à leur rose d'Algérie est sans aucun doute la présence des femmes venues pour rendre hommage à leur idole mais surtout pour la «remercier de l'image de la femme algérienne honorable qu'elle incarnait durant toute son existence», ne cessaient de clamer haut et fort ses fans qui lançaient à chaque fois des youyous. Arrivés vers 9 heures du matin au Palais de la culture dominant les hauteurs d'Alger, apercevant l'une des baies les plus belles au monde, nous avons été étonnés de voir un regroupement immense à l'entintérieur de l'enceinte. Ce monde venu dès les premières heures d'un samedi, jour de repos, sont des Algériens, mais surtout des Algériennes, attendant passionnément pour rendre hommage à leur diva. Dès que les portes se sont ouvertes, un cercle, au féminin, s'est formé autour du cercueil de Warda El Djaziaria. Le cercueil de la défunte a été inondé de fleurs, témoignant de l'amour indélébile porté par ses concitoyens. Cet hommage rendu à la diva de la chanson algérienne est à l'image du parcours de la défunte. Plusieurs personnalités officielles, politiques et culturelles étaient présentes, aux côtés des ses deux enfants, Wada et Riadh, à l'instar du ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, du ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, de l'ambassadeur algérien en Roumanie, Hamraoui Habib Chawki, de Mustapha Chérif, ancien ambassadeur d'Algérie, de l'écrivain Amine Zaoui, du directeur de la Bibliothèque nationale, l'écrivain Azzedine Mihoubi ainsi que des personnalités politiques et artistiques étrangères à l'instar de l'ambassadeur palestinien en Algérie, de deux conseillers du roi marocain et de l'artiste Mouhcine El Djassimi. Plusieurs personnalités ont tenu en ce jour solennel à jeter un dernier regard à celle qui a représenté l'Algérie et son amour à travers des chants inoubliables. La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, avait les larmes au yeux, et la gorge nouée ; elle a lu une déclaration touchante en revenant sur le parcours de Warda El Djazairia. «L'Algérie entière ploie de chagrin avec la disparition de Warda El Djaziaria avec une profonde tristesse», déclare de prime abord la ministre. Avant d'ajouter : «Depuis l'aube de la Révolution jusqu'au dernier souffle de la défunte dont le cœur battait au rythme de l'amour de la nation, le nom de Warda El Djazairia, sa vie et son parcours artistique ont été associés à l'épopée de l'Algérie avec ses espoirs, ses souffrances et joies. Warda, la fleur, était encore un bourgeon lorsqu'elle entonna, de sa voix suave, ses premières chansons patriotiques en France portant les cris de notre peuple en révolte pour sa liberté et son indépendance». La ministre de la Culture est revenue, à l'occasion, sur le parcours artistique international de la défunte en soulignant qu'il a été : «exceptionnel et d'un génie artistique sans égal qui l'a hissée aux cimes de la chanson arabe», grâce, dit-elle, «à des succès immortels qu'elle partage avec les plus grands musiciens et compositeurs tels Baligh Hamdi, Mohamed Abdelouahab, Riadh Essembati, Said Mekkaoui, Helmi Bekr, Ammar Echhari'i ou encore Mohamed Boulifa». A l'occasion de la célébration du 50ème anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, Warda se préparait à célébrer, comme toujours, cette fête anniversaire avec son peuple dans son pays, a-t-elle rappelé. Et à Mme Toumi de poursuivre : «Même si elle nous quitte, son âme chantera cette célébration comme elle aurait souhaité le faire, d'une voix douce, sur de belles compositions et des textes ciselés». Avant que le cops ne soit emmené pour son ultime voyage vers El Alia, la ministre de la Culture affirma : «Sa voix d'or restera gravée à jamais dans nos mémoires». Arrivés vers 9 heures du matin au Palais de la culture dominant les hauteurs d'Alger, apercevant l'une des baies les plus belles au monde, nous avons été étonnés de voir un regroupement immense à l'entintérieur de l'enceinte. Ce monde venu dès les premières heures d'un samedi, jour de repos, sont des Algériens, mais surtout des Algériennes, attendant passionnément pour rendre hommage à leur diva. Dès que les portes se sont ouvertes, un cercle, au féminin, s'est formé autour du cercueil de Warda El Djaziaria. Le cercueil de la défunte a été inondé de fleurs, témoignant de l'amour indélébile porté par ses concitoyens. Cet hommage rendu à la diva de la chanson algérienne est à l'image du parcours de la défunte. Plusieurs personnalités officielles, politiques et culturelles étaient présentes, aux côtés des ses deux enfants, Wada et Riadh, à l'instar du ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, du ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, de l'ambassadeur algérien en Roumanie, Hamraoui Habib Chawki, de Mustapha Chérif, ancien ambassadeur d'Algérie, de l'écrivain Amine Zaoui, du directeur de la Bibliothèque nationale, l'écrivain Azzedine Mihoubi ainsi que des personnalités politiques et artistiques étrangères à l'instar de l'ambassadeur palestinien en Algérie, de deux conseillers du roi marocain et de l'artiste Mouhcine El Djassimi. Plusieurs personnalités ont tenu en ce jour solennel à jeter un dernier regard à celle qui a représenté l'Algérie et son amour à travers des chants inoubliables. La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, avait les larmes au yeux, et la gorge nouée ; elle a lu une déclaration touchante en revenant sur le parcours de Warda El Djazairia. «L'Algérie entière ploie de chagrin avec la disparition de Warda El Djaziaria avec une profonde tristesse», déclare de prime abord la ministre. Avant d'ajouter : «Depuis l'aube de la Révolution jusqu'au dernier souffle de la défunte dont le cœur battait au rythme de l'amour de la nation, le nom de Warda El Djazairia, sa vie et son parcours artistique ont été associés à l'épopée de l'Algérie avec ses espoirs, ses souffrances et joies. Warda, la fleur, était encore un bourgeon lorsqu'elle entonna, de sa voix suave, ses premières chansons patriotiques en France portant les cris de notre peuple en révolte pour sa liberté et son indépendance». La ministre de la Culture est revenue, à l'occasion, sur le parcours artistique international de la défunte en soulignant qu'il a été : «exceptionnel et d'un génie artistique sans égal qui l'a hissée aux cimes de la chanson arabe», grâce, dit-elle, «à des succès immortels qu'elle partage avec les plus grands musiciens et compositeurs tels Baligh Hamdi, Mohamed Abdelouahab, Riadh Essembati, Said Mekkaoui, Helmi Bekr, Ammar Echhari'i ou encore Mohamed Boulifa». A l'occasion de la célébration du 50ème anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, Warda se préparait à célébrer, comme toujours, cette fête anniversaire avec son peuple dans son pays, a-t-elle rappelé. Et à Mme Toumi de poursuivre : «Même si elle nous quitte, son âme chantera cette célébration comme elle aurait souhaité le faire, d'une voix douce, sur de belles compositions et des textes ciselés». Avant que le cops ne soit emmené pour son ultime voyage vers El Alia, la ministre de la Culture affirma : «Sa voix d'or restera gravée à jamais dans nos mémoires».