Le directeur de la Protection civile a annoncé la création de quatre nouvelles unités secondaires de la Protection civile qui seront réceptionnées "d'ici à la fin de l'année 2012" dans la wilaya de Souk-Ahras pour permettre des interventions "rapides et efficaces, a indiqué, dimanche dernier, le Directeur de la Protection civile. Le directeur de la Protection civile a annoncé la création de quatre nouvelles unités secondaires de la Protection civile qui seront réceptionnées "d'ici à la fin de l'année 2012" dans la wilaya de Souk-Ahras pour permettre des interventions "rapides et efficaces, a indiqué, dimanche dernier, le Directeur de la Protection civile. La réalisation de ces nouvelles infrastructures d'intervention a été inscrite dans le cadre du programme de développement des Hauts-Plateaux, a souligné le colonel Djamel-Eddine Ben Ghellab, précisant qu'il sera procédé "graduellement" à la mise en service de ces acquis qui viendront renforcer les capacités de la Protection civile dans cette wilaya. La mise en fonction de ces nouvelles infrastructures d'intervention "devra permettre davantage de rapprochement entre les citoyens et la Protection civile", a estimé le même responsable qui a fait part de l'importance de ces projets dans la prise en charge des citoyens lors des catastrophes pouvant surgir à n'importe quel moment (incendie ou accident de la route, notamment. Une fois réceptionnées, ces nouvelles unités secondaires d'intervention, en chantier dans les régions de Bir Bouhouche, Sidi Fredj, Oum Laâdaïm et Taoura, seront en mesure de décongestionner la pression sur les unités existantes, a expliqué le colonel Ben Ghellab, faisant état de la réception "dans le courant du mois de juin" de l'unité secondaire de Bir Bouhouche. Selon le même responsable, la mise en fonction de ces nouvelles infrastructures, qui viendront s'ajouter aux six unités secondaires et au poste avancé existants, devrait permettre une couverture à hauteur de 90% à l'échelle de la wilaya. Le même responsable a fait part de la prochaine réalisation de deux unités secondaires de la Protection civile dans les régions frontalières d'Ouled Idriss et Aïn Zana réputées pour leurs massifs forestiers denses. Le secteur de la Protection civile de la wilaya de Souk-Ahras ne possédait en 2003 que trois unités d'intervention, dont deux dépourvues des conditions de travail les plus élémentaires, a rappelé le même responsable. La réalisation de ces nouvelles infrastructures d'intervention a été inscrite dans le cadre du programme de développement des Hauts-Plateaux, a souligné le colonel Djamel-Eddine Ben Ghellab, précisant qu'il sera procédé "graduellement" à la mise en service de ces acquis qui viendront renforcer les capacités de la Protection civile dans cette wilaya. La mise en fonction de ces nouvelles infrastructures d'intervention "devra permettre davantage de rapprochement entre les citoyens et la Protection civile", a estimé le même responsable qui a fait part de l'importance de ces projets dans la prise en charge des citoyens lors des catastrophes pouvant surgir à n'importe quel moment (incendie ou accident de la route, notamment. Une fois réceptionnées, ces nouvelles unités secondaires d'intervention, en chantier dans les régions de Bir Bouhouche, Sidi Fredj, Oum Laâdaïm et Taoura, seront en mesure de décongestionner la pression sur les unités existantes, a expliqué le colonel Ben Ghellab, faisant état de la réception "dans le courant du mois de juin" de l'unité secondaire de Bir Bouhouche. Selon le même responsable, la mise en fonction de ces nouvelles infrastructures, qui viendront s'ajouter aux six unités secondaires et au poste avancé existants, devrait permettre une couverture à hauteur de 90% à l'échelle de la wilaya. Le même responsable a fait part de la prochaine réalisation de deux unités secondaires de la Protection civile dans les régions frontalières d'Ouled Idriss et Aïn Zana réputées pour leurs massifs forestiers denses. Le secteur de la Protection civile de la wilaya de Souk-Ahras ne possédait en 2003 que trois unités d'intervention, dont deux dépourvues des conditions de travail les plus élémentaires, a rappelé le même responsable.