L'entretien, qui était prévu en début de soirée, s'est déroulé finalement juste avant le début des travaux du sommet du dialogue 5+5. L'entretien, qui était prévu en début de soirée, s'est déroulé finalement juste avant le début des travaux du sommet du dialogue 5+5. Les deux hommes d'Etat ont sans doute abordé la prochaine la visite du chef de l'Etat français en Algérie prévue pour la première quinzaine du mois de décembre, la coopération bilatérale et aussi la situation au Nord-Mali. Sur cette dernière question, les deux pays ont une approche bien divergente sur la manière de traiter cette problématique qui est bien complexe par ses retombées et ses conséquences sur l'ensemble des pays du Sahel. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est arrivé hier matin à La Valette (Malte) pour prendre part au 2ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement du dialogue des pays de la Méditerranée occidentale 5+5. Abdelmalek Sellal a été désigné par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour diriger la délégation algérienne aux travaux de ce sommet de deux jours, qui verra la participation de quatre autres pays de l'Union du Maghreb arabe (Tunisie, Maroc, Libye et Mauritanie) ainsi que de cinq autres de l'Union européenne (France, Italie, Espagne, Portugal et Malte. Outre Abdelmalek Sellal et le chef de l'Etat français, le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, le président tunisien, Moncef Marzouki, le Premier ministre marocain, Abdelilah Benkirane, et le Premier ministre portugais, Pedro Passos Coelho, participent à cette rencontre, ainsi que le président du Conseil des ministres italien, Mario Monti, et le Premier ministre espagnol, Mariano Rajoy. Des séances de travail auront lieu à l'Auberge de Castille et au Palais Verdala à La Valette. Le calendrier des événements comprend également un dîner offert par le président maltais George Abela. Dans une conférence de presse, M. Gonzi a qualifié le sommet d'"événement historique", qui permettra de se pencher sur de nouveaux domaines de coopération : l'éducation, l'environnement, l'énergie et les questions économiques et de rechercher une synergie avec l'Union pour la Méditerranée (UPM) et la Politique européenne de voisinage afin d'éviter une duplication des efforts. Ce dialogue vise à apporter de la valeur ajoutée aux autres groupements régionaux, notamment par sa nature informelle qui permet une discussion plus franche sur des questions d'intérêt et de préoccupation communs aux 10 pays partenaires, selon les autorités maltaises. Le sommet permettra d'aborder divers thèmes tels que la sécurité, la défense et la coopération économique et fera le point sur de nouveaux domaines de coopération comme l'éducation, l'environnement et l'énergie. Le sommet du groupe 5+5, qui est une enceinte de dialogue politique informel, vise à "redynamiser et promouvoir" la discussion entre ces dix Etats sur notamment la question «cruciale» de l'immigration clandestine. La rencontre ambitionne, d'autre part, d'introduire «la régularité et la prévisibilité» dans les réunions ministérielles et les conférences du Sommet organisées dans le cadre du forum. En tant qu'initiative pour la sécurité transméditerranéenne, l'objectif du dialogue 5+5 est d'instaurer une coopération plus étroite entre les cinq membres de l'UE et les cinq pays de l'Union du Maghreb arabe par le dialogue politique et en encourageant une meilleure gestion des ressources dans le but de renforcer l'indépendance régionale et le développement. Outre l'Algérie, quatre autres pays de l'Union du Maghreb arabe (Tunisie, Maroc, Libye et Mauritanie) et cinq pays de l'Union européenne (France, Italie, Espagne, Portugal et Malte) prennent part à cette rencontre au sommet. Les deux hommes d'Etat ont sans doute abordé la prochaine la visite du chef de l'Etat français en Algérie prévue pour la première quinzaine du mois de décembre, la coopération bilatérale et aussi la situation au Nord-Mali. Sur cette dernière question, les deux pays ont une approche bien divergente sur la manière de traiter cette problématique qui est bien complexe par ses retombées et ses conséquences sur l'ensemble des pays du Sahel. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est arrivé hier matin à La Valette (Malte) pour prendre part au 2ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement du dialogue des pays de la Méditerranée occidentale 5+5. Abdelmalek Sellal a été désigné par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour diriger la délégation algérienne aux travaux de ce sommet de deux jours, qui verra la participation de quatre autres pays de l'Union du Maghreb arabe (Tunisie, Maroc, Libye et Mauritanie) ainsi que de cinq autres de l'Union européenne (France, Italie, Espagne, Portugal et Malte. Outre Abdelmalek Sellal et le chef de l'Etat français, le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, le président tunisien, Moncef Marzouki, le Premier ministre marocain, Abdelilah Benkirane, et le Premier ministre portugais, Pedro Passos Coelho, participent à cette rencontre, ainsi que le président du Conseil des ministres italien, Mario Monti, et le Premier ministre espagnol, Mariano Rajoy. Des séances de travail auront lieu à l'Auberge de Castille et au Palais Verdala à La Valette. Le calendrier des événements comprend également un dîner offert par le président maltais George Abela. Dans une conférence de presse, M. Gonzi a qualifié le sommet d'"événement historique", qui permettra de se pencher sur de nouveaux domaines de coopération : l'éducation, l'environnement, l'énergie et les questions économiques et de rechercher une synergie avec l'Union pour la Méditerranée (UPM) et la Politique européenne de voisinage afin d'éviter une duplication des efforts. Ce dialogue vise à apporter de la valeur ajoutée aux autres groupements régionaux, notamment par sa nature informelle qui permet une discussion plus franche sur des questions d'intérêt et de préoccupation communs aux 10 pays partenaires, selon les autorités maltaises. Le sommet permettra d'aborder divers thèmes tels que la sécurité, la défense et la coopération économique et fera le point sur de nouveaux domaines de coopération comme l'éducation, l'environnement et l'énergie. Le sommet du groupe 5+5, qui est une enceinte de dialogue politique informel, vise à "redynamiser et promouvoir" la discussion entre ces dix Etats sur notamment la question «cruciale» de l'immigration clandestine. La rencontre ambitionne, d'autre part, d'introduire «la régularité et la prévisibilité» dans les réunions ministérielles et les conférences du Sommet organisées dans le cadre du forum. En tant qu'initiative pour la sécurité transméditerranéenne, l'objectif du dialogue 5+5 est d'instaurer une coopération plus étroite entre les cinq membres de l'UE et les cinq pays de l'Union du Maghreb arabe par le dialogue politique et en encourageant une meilleure gestion des ressources dans le but de renforcer l'indépendance régionale et le développement. Outre l'Algérie, quatre autres pays de l'Union du Maghreb arabe (Tunisie, Maroc, Libye et Mauritanie) et cinq pays de l'Union européenne (France, Italie, Espagne, Portugal et Malte) prennent part à cette rencontre au sommet.