La plupart des mammifères synthétisent leur propre vitamine C dans des quantités variables, en fonction des stress subis, qui équivaudrait, en tenant compte de la masse corporelle, de 10 à 20 grammes par jour pour un humain adulte de corpulence moyenne. La plupart des mammifères synthétisent leur propre vitamine C dans des quantités variables, en fonction des stress subis, qui équivaudrait, en tenant compte de la masse corporelle, de 10 à 20 grammes par jour pour un humain adulte de corpulence moyenne. La médecine orthomoléculaire se base sur le principe que tous les animaux anthropomorphes, y compris les humains, ne synthétisent pas l'enzyme L-gulono-lactone-oxydase qui interviendrait dans la dernière étape d'une chaîne de réactions permettant de convertir le glucose en acide ascorbique. Parmi les autres mammifères ne synthétisant pas la vitamine C : le cochon d'Inde et la chauve-souris frugivore d'Inde. La médecine orthomoléculaire se propose de corriger ce déficit par l'apport de quantités comparables à celles synthétisées par les autres mammifères, à savoir plusieurs grammes par jour (quantité normalisée suivant la masse corporelle). L'extraction d'acide ascorbique dans de telles quantités à partir de sources naturelles serait fort coûteux. L'adoption d'un mode de nutrition similaire aux primates semble incompatible avec notre civilisation. Il convient, donc, d'utiliser l'acide ascorbique de synthèse. Bénénéfices cliniques et seuil d'efficacité de la vitamine C : La médecine orthomoléculaire établit le bénéfice de doses variables et suffisantes d'acide ascorbique dans de nombreuses situations médicales : - particulièrement lors des infections : les phagocytes utilisent de l'acide ascorbique prélevé dans le sang comme anti-oxydant pour se protéger, alors qu'ils attaquent les intrus à l'aide d'oxydants comme le péroxyde d'oxygène. - Lors de la convalescence suite à des brûlures: l'acide ascorbique est aussi nécessaire à la production de collagène. La rigueur scientifique exige, toutefois, des essais cliniques en double aveugle. La dose nécessaire à l'amélioration peut être variable : - Si quelques dizaines de mg empêchent le scorbut, la guérison d'une infection virale peut demander plusieurs dizaines de grammes par jour. Pour l'homme, la vitamine C n'étant pas supposée synthétisée, il est avancé que le corps l'alloue en priorité aux tâches les plus importantes. La vitamine C n'étant pas brevetée et peu profitable a pu être volontairement négligée par les groupes pharmaceutiques, préférant mettre l'accent sur des thérapies plus coûteuses, donc plus rentables. La médecine orthomoléculaire se base sur le principe que tous les animaux anthropomorphes, y compris les humains, ne synthétisent pas l'enzyme L-gulono-lactone-oxydase qui interviendrait dans la dernière étape d'une chaîne de réactions permettant de convertir le glucose en acide ascorbique. Parmi les autres mammifères ne synthétisant pas la vitamine C : le cochon d'Inde et la chauve-souris frugivore d'Inde. La médecine orthomoléculaire se propose de corriger ce déficit par l'apport de quantités comparables à celles synthétisées par les autres mammifères, à savoir plusieurs grammes par jour (quantité normalisée suivant la masse corporelle). L'extraction d'acide ascorbique dans de telles quantités à partir de sources naturelles serait fort coûteux. L'adoption d'un mode de nutrition similaire aux primates semble incompatible avec notre civilisation. Il convient, donc, d'utiliser l'acide ascorbique de synthèse. Bénénéfices cliniques et seuil d'efficacité de la vitamine C : La médecine orthomoléculaire établit le bénéfice de doses variables et suffisantes d'acide ascorbique dans de nombreuses situations médicales : - particulièrement lors des infections : les phagocytes utilisent de l'acide ascorbique prélevé dans le sang comme anti-oxydant pour se protéger, alors qu'ils attaquent les intrus à l'aide d'oxydants comme le péroxyde d'oxygène. - Lors de la convalescence suite à des brûlures: l'acide ascorbique est aussi nécessaire à la production de collagène. La rigueur scientifique exige, toutefois, des essais cliniques en double aveugle. La dose nécessaire à l'amélioration peut être variable : - Si quelques dizaines de mg empêchent le scorbut, la guérison d'une infection virale peut demander plusieurs dizaines de grammes par jour. Pour l'homme, la vitamine C n'étant pas supposée synthétisée, il est avancé que le corps l'alloue en priorité aux tâches les plus importantes. La vitamine C n'étant pas brevetée et peu profitable a pu être volontairement négligée par les groupes pharmaceutiques, préférant mettre l'accent sur des thérapies plus coûteuses, donc plus rentables.