L'Onu assure prendre le temps d'analyser le rapport russe qui doit être également transmis à la France, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. L'Onu assure prendre le temps d'analyser le rapport russe qui doit être également transmis à la France, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Les Russes viennent de transmettre à l'Onu un rapport de 80 pages sur l'utilisation de gaz sarin par les rebelles syriens. Ce rapport qui tombe comme un cheveu dans la soupe met dans l'embarras les prétendus défenseurs de la veuve et de l'orphelin qui avaient mis en garde le pouvoir syrien contre une ligne rouge à ne pas franchir. Cette même ligne rouge aurait été donc bel et bienfranchie par leurs protégés, car il n'y a pas de raison, a priori, de mettre en doute ce rapport, du moins il serait aussi crédible que ceux fournis par la France et par les Etats-Unis précédemment. Moscou a, bien entendu, étayé son argumentation dans son rapport et assure avoir envoyé des experts sur place en Syrie. L'Onu assure prendre le temps d'analyser ce rapport qui doit être également transmis à la France, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Ce rapport n'a pas empêché l'Onu d'accepter l'invitation adressée par le gouvernement syrien à deux de ses hauts responsables à venir à Damas pour des discussions sur l'utilisation présumée d'armes chimiques. L'invitation était adressée à Ake Sellstrom, un scientifique suédois et à Angela Kane, la haute représentante de l'Onu pour le désarmement. En annonçant cette invitation, l'ambassadeur syrien à l'Onu, Bachar Jaafari, avait bien précisé que son gouvernement n'avait pas changé d'avis sur l'ampleur et la finalité de la mission d'enquête de l'Onu. La population se soulève contre les rebelles à Alep En Syrie, des manifestations ont été organisées mercredi 10 juillet à Alep. C'est une première, ces mouvements de contestation ne visent pas à dénoncer les agissements du régime mais plutôt ceux des rebelles qui contrôlent la majeure partie de la ville. En cause, le manque d'approvisionnent en nourriture. Les habitants d'Alep l'ont scandé haut et fort : les insurgés doivent lever leur siège. Depuis plusieurs mois, la grande métropole du Nord est coupée en deux. La rébellion en contrôle la partie Est, les forces de Bachar Al-Assad sont retranchées à l'Ouest dans l'autre moitié de la ville. Les habitants qui y vivent sont privés de nourriture. Rien n'entre et rien ne sort. Condamnés au même titre que les soldats de Bachar Al-Assad à subir le siège des troupes rebelles. Dans leur manifestation, ils ont contesté les choix stratégiques de la rébellion. Les Russes viennent de transmettre à l'Onu un rapport de 80 pages sur l'utilisation de gaz sarin par les rebelles syriens. Ce rapport qui tombe comme un cheveu dans la soupe met dans l'embarras les prétendus défenseurs de la veuve et de l'orphelin qui avaient mis en garde le pouvoir syrien contre une ligne rouge à ne pas franchir. Cette même ligne rouge aurait été donc bel et bienfranchie par leurs protégés, car il n'y a pas de raison, a priori, de mettre en doute ce rapport, du moins il serait aussi crédible que ceux fournis par la France et par les Etats-Unis précédemment. Moscou a, bien entendu, étayé son argumentation dans son rapport et assure avoir envoyé des experts sur place en Syrie. L'Onu assure prendre le temps d'analyser ce rapport qui doit être également transmis à la France, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Ce rapport n'a pas empêché l'Onu d'accepter l'invitation adressée par le gouvernement syrien à deux de ses hauts responsables à venir à Damas pour des discussions sur l'utilisation présumée d'armes chimiques. L'invitation était adressée à Ake Sellstrom, un scientifique suédois et à Angela Kane, la haute représentante de l'Onu pour le désarmement. En annonçant cette invitation, l'ambassadeur syrien à l'Onu, Bachar Jaafari, avait bien précisé que son gouvernement n'avait pas changé d'avis sur l'ampleur et la finalité de la mission d'enquête de l'Onu. La population se soulève contre les rebelles à Alep En Syrie, des manifestations ont été organisées mercredi 10 juillet à Alep. C'est une première, ces mouvements de contestation ne visent pas à dénoncer les agissements du régime mais plutôt ceux des rebelles qui contrôlent la majeure partie de la ville. En cause, le manque d'approvisionnent en nourriture. Les habitants d'Alep l'ont scandé haut et fort : les insurgés doivent lever leur siège. Depuis plusieurs mois, la grande métropole du Nord est coupée en deux. La rébellion en contrôle la partie Est, les forces de Bachar Al-Assad sont retranchées à l'Ouest dans l'autre moitié de la ville. Les habitants qui y vivent sont privés de nourriture. Rien n'entre et rien ne sort. Condamnés au même titre que les soldats de Bachar Al-Assad à subir le siège des troupes rebelles. Dans leur manifestation, ils ont contesté les choix stratégiques de la rébellion.