L'assassinat du député tunisien Mohamed Brahimi a suscité jeudi de larges protestations dans les milieux politiques en Tunisie, alors que la centrale syndicale a décrété une grève vendredi à travers l'ensemble du pays. L'assassinat du député tunisien Mohamed Brahimi a suscité jeudi de larges protestations dans les milieux politiques en Tunisie, alors que la centrale syndicale a décrété une grève vendredi à travers l'ensemble du pays. Dans un communiqué parvenu à l'APS, la présidence tunisienne a souligné que ce crime a été perpétré le jour de la célébration de la fête de la République et à l'heure où les contours du calendrier de la fin de la phase de transition ommencent à se dessiner. A travers l'assassinat de Mohamed Brahimi, les auteurs ont voulu porter un coup à la démocratie et faire plonger le pays dans la spirale de la violence, a indiqué la présidence tunisienne dans son communiqué. L'Union générale tunisienne du travail (UGTT) a, de son côté, décrété une grève générale pour vendredi sur tout le territoire tunisien suite à cet "acte ignoble". Pour sa part le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, a mis en garde contre les tentatives de transposer le scénario égyptien en Tunisie et de pousser les Tunisiens à s'entretuer. "Le fait de désigner Ennahdha comme responsable de ce crime procède d'un plan prémédité", a-t-il indiqué. Le président du mouvement Nidaa Tounes, Beji Caid Essebsi, a, quant à lui, qualifié de "grande tragédie" l'assassinat de l'opposant Mohamed Brahmi. Selon lui, la Tunisie est entrée dans une phase d'élimination physique pour faire douter des politiques suivies par certains partis. Le Parti des travailleurs a pour sa part, imputé la responsabilité de ce meurtre à la coalition au pouvoir qui, selon lui, continue à protéger les auteurs de l'assassinat de Chokri Belaïd, un opposant tué également par balles le 6 février devant son domicile, et de ce fait, encourage la violence et le terrorisme intellectuel et politique dans le but de rester au pouvoir. Le parti a appelé toutes les forces politiques, sociales et civiles à l'union pour préserver la sécurité du pays. Plusieurs villes tunisiennes ont été le théâtre de mouvements de protestation à la suite de l'assassinat du député Mohamed Brahimi. Certains manifestants ont scandé des slogans appelant à la dissolution de l'Assemblée constituante. Dans un communiqué parvenu à l'APS, la présidence tunisienne a souligné que ce crime a été perpétré le jour de la célébration de la fête de la République et à l'heure où les contours du calendrier de la fin de la phase de transition ommencent à se dessiner. A travers l'assassinat de Mohamed Brahimi, les auteurs ont voulu porter un coup à la démocratie et faire plonger le pays dans la spirale de la violence, a indiqué la présidence tunisienne dans son communiqué. L'Union générale tunisienne du travail (UGTT) a, de son côté, décrété une grève générale pour vendredi sur tout le territoire tunisien suite à cet "acte ignoble". Pour sa part le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, a mis en garde contre les tentatives de transposer le scénario égyptien en Tunisie et de pousser les Tunisiens à s'entretuer. "Le fait de désigner Ennahdha comme responsable de ce crime procède d'un plan prémédité", a-t-il indiqué. Le président du mouvement Nidaa Tounes, Beji Caid Essebsi, a, quant à lui, qualifié de "grande tragédie" l'assassinat de l'opposant Mohamed Brahmi. Selon lui, la Tunisie est entrée dans une phase d'élimination physique pour faire douter des politiques suivies par certains partis. Le Parti des travailleurs a pour sa part, imputé la responsabilité de ce meurtre à la coalition au pouvoir qui, selon lui, continue à protéger les auteurs de l'assassinat de Chokri Belaïd, un opposant tué également par balles le 6 février devant son domicile, et de ce fait, encourage la violence et le terrorisme intellectuel et politique dans le but de rester au pouvoir. Le parti a appelé toutes les forces politiques, sociales et civiles à l'union pour préserver la sécurité du pays. Plusieurs villes tunisiennes ont été le théâtre de mouvements de protestation à la suite de l'assassinat du député Mohamed Brahimi. Certains manifestants ont scandé des slogans appelant à la dissolution de l'Assemblée constituante.