Les projets inscrits dans le cadre du programme du développement du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, «vont se renforcer» avec le nouveau gouvernement par «une plus grande dynamisation», a déclaré mercredi à Alger, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Les projets inscrits dans le cadre du programme du développement du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, «vont se renforcer» avec le nouveau gouvernement par «une plus grande dynamisation», a déclaré mercredi à Alger, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. «Les projets vont continuer à se renforcer avec le nouveau gouvernement, cela va être une continuité avec une plus grande dynamisation. C‘est un gouvernement homogène, chacun prendra ses responsabilités pour mener à terme l‘ensemble du programme du président de la République. Voilà les objectifs qu‘on s‘est donné», a indiqué M. Sellal à la presse en marge de la 13ème rencontre de l‘Association internationale des Conseils économiques et sociaux et des Institutions assimilées (AICESIS). Il a fait savoir que «beaucoup de ministres ont de l‘expérience et vont faire bouger les choses au niveau de la santé et l‘agriculture notamment», précisant que «ce sont des hommes de terrain». «Nous accordons une priorité fondamentale à l‘agriculture et au développement industriel», a-t-il souligné par ailleurs, citant l‘exemple du secteur de l‘industrie en précisant que «ce n‘est plus un ministère de l‘Industrie mais c‘est un ministère du développement industriel». Il a encore relevé que "c‘est pour la première fois qu‘il y a un ministre en charge de la réforme du service public», ce qui démontre, selon lui, que «les engagements pris pour mettre le service public à la disposition du citoyen sont maintenant clairs, nets et précis». Dans ce sens, Sellal a fortement critiqué les démarches administratives qui sont la cause de la corruption. Sellal a souligné, jeudi à Alger, que la persistance des souffrances du citoyen face à l‘administration a favorisé l‘émergence de «niches de corruption». Dans son allocution lors de la cérémonie d‘installation de Mohamed El Ghazi, ministre auprès du Premier ministre chargé de la Réforme du service public, M. Sellal a estimé que la réussite de l‘Etat dans ses missions était «tributaire de la facilitation des conditions de vie du citoyen dans son environnement», notamment l‘administration qui continue de poser des problèmes au citoyen. «En dépit des mesures adoptées pour alléger les procédures administratives nous n‘avons pas encore atteint l‘objectif escompté», a-t-il dit soulignant que cette situation a favorisé l‘émergence de «niches de corruption» dont la lutte exige la «transparence dans l‘action» comme unique remède. La création de ce nouveau ministère chargé de réformer le service public traduit «l‘intérêt majeur» qu‘accorde le gouvernement à l‘amélioration de la relation entre le citoyen et l‘administration. «Cette mission requiert de l‘intelligence, de l‘expérience et de la volonté», a-t-il affirmé. Pour le Premier ministre, "il est inconcevable, en 2013, de continuer de gérer l‘administration avec des procédés archaïques dans un pays comme l‘Algérie qui dispose pourtant d‘importantes ressources humaines et financières". Il a ajouté que l‘obstination de l‘administration à s‘imposer de la sorte est «une erreur». A ce propos, il a cité plusieurs exemples concernant notamment la multitude de documents demandés aux citoyens pour la constitution d‘un dossier relatif à un projet donné ou au permis de conduire ou encore pour passer un concours. «Certes, la mission n‘est pas facile mais il est impératif d‘alléger ces procédures au profit du citoyen", a-t-il insisté. «Les projets vont continuer à se renforcer avec le nouveau gouvernement, cela va être une continuité avec une plus grande dynamisation. C‘est un gouvernement homogène, chacun prendra ses responsabilités pour mener à terme l‘ensemble du programme du président de la République. Voilà les objectifs qu‘on s‘est donné», a indiqué M. Sellal à la presse en marge de la 13ème rencontre de l‘Association internationale des Conseils économiques et sociaux et des Institutions assimilées (AICESIS). Il a fait savoir que «beaucoup de ministres ont de l‘expérience et vont faire bouger les choses au niveau de la santé et l‘agriculture notamment», précisant que «ce sont des hommes de terrain». «Nous accordons une priorité fondamentale à l‘agriculture et au développement industriel», a-t-il souligné par ailleurs, citant l‘exemple du secteur de l‘industrie en précisant que «ce n‘est plus un ministère de l‘Industrie mais c‘est un ministère du développement industriel». Il a encore relevé que "c‘est pour la première fois qu‘il y a un ministre en charge de la réforme du service public», ce qui démontre, selon lui, que «les engagements pris pour mettre le service public à la disposition du citoyen sont maintenant clairs, nets et précis». Dans ce sens, Sellal a fortement critiqué les démarches administratives qui sont la cause de la corruption. Sellal a souligné, jeudi à Alger, que la persistance des souffrances du citoyen face à l‘administration a favorisé l‘émergence de «niches de corruption». Dans son allocution lors de la cérémonie d‘installation de Mohamed El Ghazi, ministre auprès du Premier ministre chargé de la Réforme du service public, M. Sellal a estimé que la réussite de l‘Etat dans ses missions était «tributaire de la facilitation des conditions de vie du citoyen dans son environnement», notamment l‘administration qui continue de poser des problèmes au citoyen. «En dépit des mesures adoptées pour alléger les procédures administratives nous n‘avons pas encore atteint l‘objectif escompté», a-t-il dit soulignant que cette situation a favorisé l‘émergence de «niches de corruption» dont la lutte exige la «transparence dans l‘action» comme unique remède. La création de ce nouveau ministère chargé de réformer le service public traduit «l‘intérêt majeur» qu‘accorde le gouvernement à l‘amélioration de la relation entre le citoyen et l‘administration. «Cette mission requiert de l‘intelligence, de l‘expérience et de la volonté», a-t-il affirmé. Pour le Premier ministre, "il est inconcevable, en 2013, de continuer de gérer l‘administration avec des procédés archaïques dans un pays comme l‘Algérie qui dispose pourtant d‘importantes ressources humaines et financières". Il a ajouté que l‘obstination de l‘administration à s‘imposer de la sorte est «une erreur». A ce propos, il a cité plusieurs exemples concernant notamment la multitude de documents demandés aux citoyens pour la constitution d‘un dossier relatif à un projet donné ou au permis de conduire ou encore pour passer un concours. «Certes, la mission n‘est pas facile mais il est impératif d‘alléger ces procédures au profit du citoyen", a-t-il insisté.