Le Rassemblement national démocratique (RND) sur les traces du Front de libération nationale (FLN) ? Tout porte à le croire ! Le Rassemblement national démocratique (RND) sur les traces du Front de libération nationale (FLN) ? Tout porte à le croire ! La reconfiguration de l'échiquier politique national est en marche. Après avoir vécu une crise interne qui a duré plus de huit mois, suite à la destitution de l'ex-secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, le vieux parti est parvenu, au forceps, à élire un nouveau patron, Amar Saïdani. La première étape de mise en ordre du parti est achevée sans grands dégâts. Les "adversaires" du nouveau patron du FLN ont déserté le champ de bataille. Il reste à "désigner" les membres du bureau politique du parti. Ce n'est pas une vue de l'esprit que de dire que Amar Tou, Abdelaziz Ziari, n'ont plus leur place au sein de cette instance suprême du FLN. Ils sont en disgrâce à partir du moment où ils se sont mis en tête de contester le choix de Amar Saïdani que des voix avaient pressenti à la direction du FLN. La composante du BP du FLN sera connue vers la fin ce mois. Amar Saïdani prend du recul pour soupeser les forces en présence pour former le nouveau BP. Les fidèles du Sg, ils ne sont pas nombreux dans l'ex-BP, garderont leur statut de membres de cette instance. Les 2/3 de cet organe "sauteront" et laisseront leur place à ceux qui entrent dans le "moule" que se fait Amar Saïdani du nouveau BP. Le même scénario se dessine pour le RND. Il est venu le temps pour la formation de l'ex-SG, Ahmed Ouyahia, de regagner le droit chemin. Yahia Guidoum et son groupe, le Mouvement pour la sauvegarde du RND, qui sont derrière l'éviction de l'ex-Sg, après avoir connu une "reconnaissance", semble ne plus avoir les faveurs. Les "fidèles" de Ahmed Ouyahia reprennent l'initiative et Abdelkader Bensalah, Sg par intérim, chargé de mener le bateau RND à bon port, c'est-à-dire jusqu'au congrès du parti, prévu pour la fin de l'année 2013, joue pour le moment à l'équilibriste. Un exercice qui risque de coûter gros au RND en termes de crédibilité et d'ancrage au sein des militants et sympathisants du parti. Ni pour les fidèles de Ouyahia, ni pour les "redresseurs" menés par Guidoum, Abdelkader Bensalah, devrait, tôt ou tard, prendre une position pour l'une ou l'autre partie. Il est prévu que la Commission nationale de préparation du congrès va se réunir, incessamment, pour examiner les projets de résolutions qui seront soumis au prochain congrès, dont la tenue est prévue en décembre. Les multiples réunions tenues par les deux ailes du RND n'ont pas fait avancer les choses d'un iota. Le problème qui divise le parti de l'ex-Sg et que revendique le Mouvement de sauvegarde du RND, la mise à l'écart des coordinateurs de wilayas contestés, qui sont proches, dit-on de Ahmed Ouyahia, est resté à l'état brut. Ce n'est pas pour autant que le RND restera sans chef pour longtemps. Le temps presse et d'ici quelques mois auront lieu les élections présidentielles. Une échéance qui veut que le RND soit fort. Tout autant que le FLN. La reconfiguration de l'échiquier politique national est en marche. Après avoir vécu une crise interne qui a duré plus de huit mois, suite à la destitution de l'ex-secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, le vieux parti est parvenu, au forceps, à élire un nouveau patron, Amar Saïdani. La première étape de mise en ordre du parti est achevée sans grands dégâts. Les "adversaires" du nouveau patron du FLN ont déserté le champ de bataille. Il reste à "désigner" les membres du bureau politique du parti. Ce n'est pas une vue de l'esprit que de dire que Amar Tou, Abdelaziz Ziari, n'ont plus leur place au sein de cette instance suprême du FLN. Ils sont en disgrâce à partir du moment où ils se sont mis en tête de contester le choix de Amar Saïdani que des voix avaient pressenti à la direction du FLN. La composante du BP du FLN sera connue vers la fin ce mois. Amar Saïdani prend du recul pour soupeser les forces en présence pour former le nouveau BP. Les fidèles du Sg, ils ne sont pas nombreux dans l'ex-BP, garderont leur statut de membres de cette instance. Les 2/3 de cet organe "sauteront" et laisseront leur place à ceux qui entrent dans le "moule" que se fait Amar Saïdani du nouveau BP. Le même scénario se dessine pour le RND. Il est venu le temps pour la formation de l'ex-SG, Ahmed Ouyahia, de regagner le droit chemin. Yahia Guidoum et son groupe, le Mouvement pour la sauvegarde du RND, qui sont derrière l'éviction de l'ex-Sg, après avoir connu une "reconnaissance", semble ne plus avoir les faveurs. Les "fidèles" de Ahmed Ouyahia reprennent l'initiative et Abdelkader Bensalah, Sg par intérim, chargé de mener le bateau RND à bon port, c'est-à-dire jusqu'au congrès du parti, prévu pour la fin de l'année 2013, joue pour le moment à l'équilibriste. Un exercice qui risque de coûter gros au RND en termes de crédibilité et d'ancrage au sein des militants et sympathisants du parti. Ni pour les fidèles de Ouyahia, ni pour les "redresseurs" menés par Guidoum, Abdelkader Bensalah, devrait, tôt ou tard, prendre une position pour l'une ou l'autre partie. Il est prévu que la Commission nationale de préparation du congrès va se réunir, incessamment, pour examiner les projets de résolutions qui seront soumis au prochain congrès, dont la tenue est prévue en décembre. Les multiples réunions tenues par les deux ailes du RND n'ont pas fait avancer les choses d'un iota. Le problème qui divise le parti de l'ex-Sg et que revendique le Mouvement de sauvegarde du RND, la mise à l'écart des coordinateurs de wilayas contestés, qui sont proches, dit-on de Ahmed Ouyahia, est resté à l'état brut. Ce n'est pas pour autant que le RND restera sans chef pour longtemps. Le temps presse et d'ici quelques mois auront lieu les élections présidentielles. Une échéance qui veut que le RND soit fort. Tout autant que le FLN.