Certains hôpitaux ont besoin d'un lifting sur tous les plans pour éviter leur fermeture. Gestion et conditions de travail insoutenables, c'est ce qui ressort des commission chargées par le ministère de la Santé d'inspecter ces structures à travers le territoire national. Certains hôpitaux ont besoin d'un lifting sur tous les plans pour éviter leur fermeture. Gestion et conditions de travail insoutenables, c'est ce qui ressort des commission chargées par le ministère de la Santé d'inspecter ces structures à travers le territoire national. L'état de certains hôpitaux nécessite une « intervention rapide » pour éviter leur fermeture, a déclaré jeudi à Alger le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf. Celui-ci a souligné en marge de la signature d'un mémorandum entre le ministère de la Santé et les laboratoires Sanofi que les inspections effectuées par les cadres de son ministère au cours de la semaine écoulée à travers 15 hôpitaux du pays ont révélé que l'état dans lequel se présentent certains des établissements visités nécessite une « intervention rapide, sinon ils seront fermés ». Le ministre a ajouté dans ce contexte que ses cadres lui ont affirmé, à travers les rapports qui lui ont été soumis, que d'autres hôpitaux sont « relativement en situation excellente, en dépit des quelques insuffisances qui peuvent être corrigées», regrettant, toutefois, « l'état déplorable » dans lequel se trouvent d'autres hôpitaux. Le premier responsable du secteur de la santé avait chargé, la semaine dernière, les cadres centraux du ministère de procéder à une opération « d'évaluation rigoureuse » pour identifier les problèmes majeurs, avant la mise au point d'une feuille de route qui sera annoncée, la semaine prochaine, au cours d'une réunion avec les responsables du secteur, a indiqué le ministre. Les problèmes auxquels est confronté le secteur relèvent principalement de la « gestion », a indiqué Boudiaf affirmant qu'il œuvrait avec les cadres du secteur à créer un changement en un temps record, les moyens humains et matériels pour ce faire étant disponibles. Il faut rappeler que pour remédier aux problèmes de la mauvaise gestion des structures de santé, le département de la santé nationale a fait appel aux Américains. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et la compagnie américaine General Electric, travaillent sur un « partenariat stratégique » pour y arriver, avait annooncé le ministère mardi dernier. D'ailleurs et dans le cadre du partenariat, un groupe d'experts de GE mène actuellement une opération d'audit concernant le fonctionnement des urgences médicochirurgicales en Algérie. Dans le même contexte, les deux parties ont convenu selon le ministère à ce que GE mène, à ses frais, une opération pilote de mise à niveau et de réorganisation du management sur la base des normes internationales d'un service d'UMC au niveau d'un établissement à définir rapidement. Après l'évaluation de cette opération pilote, les deux parties entameront les discussions pour asseoir un « partenariat stratégique » entre le MSPRH et GE pour moderniser le management des plus importants services UMC du pays. Il est attendu de ce partenariat qu'il permette, dans des délais rapides, un changement radical de l'image des urgences médico-chirurgicales qui constituent « la vitrine du système national de santé et déterminent pour une large part la perception qu'a le citoyen du secteur de la santé ». L'état de certains hôpitaux nécessite une « intervention rapide » pour éviter leur fermeture, a déclaré jeudi à Alger le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf. Celui-ci a souligné en marge de la signature d'un mémorandum entre le ministère de la Santé et les laboratoires Sanofi que les inspections effectuées par les cadres de son ministère au cours de la semaine écoulée à travers 15 hôpitaux du pays ont révélé que l'état dans lequel se présentent certains des établissements visités nécessite une « intervention rapide, sinon ils seront fermés ». Le ministre a ajouté dans ce contexte que ses cadres lui ont affirmé, à travers les rapports qui lui ont été soumis, que d'autres hôpitaux sont « relativement en situation excellente, en dépit des quelques insuffisances qui peuvent être corrigées», regrettant, toutefois, « l'état déplorable » dans lequel se trouvent d'autres hôpitaux. Le premier responsable du secteur de la santé avait chargé, la semaine dernière, les cadres centraux du ministère de procéder à une opération « d'évaluation rigoureuse » pour identifier les problèmes majeurs, avant la mise au point d'une feuille de route qui sera annoncée, la semaine prochaine, au cours d'une réunion avec les responsables du secteur, a indiqué le ministre. Les problèmes auxquels est confronté le secteur relèvent principalement de la « gestion », a indiqué Boudiaf affirmant qu'il œuvrait avec les cadres du secteur à créer un changement en un temps record, les moyens humains et matériels pour ce faire étant disponibles. Il faut rappeler que pour remédier aux problèmes de la mauvaise gestion des structures de santé, le département de la santé nationale a fait appel aux Américains. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et la compagnie américaine General Electric, travaillent sur un « partenariat stratégique » pour y arriver, avait annooncé le ministère mardi dernier. D'ailleurs et dans le cadre du partenariat, un groupe d'experts de GE mène actuellement une opération d'audit concernant le fonctionnement des urgences médicochirurgicales en Algérie. Dans le même contexte, les deux parties ont convenu selon le ministère à ce que GE mène, à ses frais, une opération pilote de mise à niveau et de réorganisation du management sur la base des normes internationales d'un service d'UMC au niveau d'un établissement à définir rapidement. Après l'évaluation de cette opération pilote, les deux parties entameront les discussions pour asseoir un « partenariat stratégique » entre le MSPRH et GE pour moderniser le management des plus importants services UMC du pays. Il est attendu de ce partenariat qu'il permette, dans des délais rapides, un changement radical de l'image des urgences médico-chirurgicales qui constituent « la vitrine du système national de santé et déterminent pour une large part la perception qu'a le citoyen du secteur de la santé ».