Plus de 20 millions de tonnes de marchandises ont été manutentionnées au port de Béjaïa durant l'année 2013, en évolution de 1,76 % par rapport à l'exercice 2012, siège d'un trafic de 19,9 millions de tonnes, indique mardi dernier un bilan de l'entreprise portuaire de la wilaya. Plus de 20 millions de tonnes de marchandises ont été manutentionnées au port de Béjaïa durant l'année 2013, en évolution de 1,76 % par rapport à l'exercice 2012, siège d'un trafic de 19,9 millions de tonnes, indique mardi dernier un bilan de l'entreprise portuaire de la wilaya. Cette hausse a été principalement le fait des importations, en croissance de 7,59 %, a-t-on souligné, expliquant que les exportations ont connu un tassement de 4,49 %, induit notamment par la baisse du flux d'hydrocarbures expédiés à l'étranger, en régression de 7,08% et de celui des oléagineux (-34,4%). En fait toute la nomenclature, relative au trafic des vrac solides, établie à 3,7 millions de tonnes, a augmenté, entraînée par la croissance des importations de soja, passant de 565.000 tonnes en 2012 à 868.000 tonnes en 2013, ou encore celle du sucre qui a atteint un volume de 1,47 millions de tonnes, consolidées, par ailleurs, par la crue de nombre de produits alimentaires et de matériaux de construction, à l'instar du ciment (+ 96,14 %) et des produits chimiques (+8,63%), a-t-on relevé dans le bilan de l'Entreprise portuaire de Béjaïa (EPB). Dans ce bilan, seules les exportations d'hydrocarbures bruts ont marqué un léger recul passant de 8,7 millions de tonnes en 2012 à 8,091 millions en 2013, dont la décrue, toutefois, pour l'activité du port a été en partie compensée par les importations de produits raffinés. Seul bémol à ce tableau, le trafic passager du port, qui, encore une fois, a plongé, en n'enregistrant que 9.864 passagers, soit une baisse de 4.964 sujets comparativement à 2012. Et le cas vaut aussi pour les véhicules en transit, dont les débarquements ont régressé de 35,56 %. La raison est liée, en partie, aux travaux engagés sur les quais, ou en rapport avec l'entame du projet de réalisation de la nouvelle gare maritime, dont la poursuite augure d'un fort ralentissement de cette activité, florissante par le passé. En 2007, à titre illustratif, plus de 46.000 voyageurs, y ont transité. Cette hausse a été principalement le fait des importations, en croissance de 7,59 %, a-t-on souligné, expliquant que les exportations ont connu un tassement de 4,49 %, induit notamment par la baisse du flux d'hydrocarbures expédiés à l'étranger, en régression de 7,08% et de celui des oléagineux (-34,4%). En fait toute la nomenclature, relative au trafic des vrac solides, établie à 3,7 millions de tonnes, a augmenté, entraînée par la croissance des importations de soja, passant de 565.000 tonnes en 2012 à 868.000 tonnes en 2013, ou encore celle du sucre qui a atteint un volume de 1,47 millions de tonnes, consolidées, par ailleurs, par la crue de nombre de produits alimentaires et de matériaux de construction, à l'instar du ciment (+ 96,14 %) et des produits chimiques (+8,63%), a-t-on relevé dans le bilan de l'Entreprise portuaire de Béjaïa (EPB). Dans ce bilan, seules les exportations d'hydrocarbures bruts ont marqué un léger recul passant de 8,7 millions de tonnes en 2012 à 8,091 millions en 2013, dont la décrue, toutefois, pour l'activité du port a été en partie compensée par les importations de produits raffinés. Seul bémol à ce tableau, le trafic passager du port, qui, encore une fois, a plongé, en n'enregistrant que 9.864 passagers, soit une baisse de 4.964 sujets comparativement à 2012. Et le cas vaut aussi pour les véhicules en transit, dont les débarquements ont régressé de 35,56 %. La raison est liée, en partie, aux travaux engagés sur les quais, ou en rapport avec l'entame du projet de réalisation de la nouvelle gare maritime, dont la poursuite augure d'un fort ralentissement de cette activité, florissante par le passé. En 2007, à titre illustratif, plus de 46.000 voyageurs, y ont transité.