L'écart entre les sexes dans l'éducation est tel, au niveau mondial, que plus de 100 millions de jeunes femmes des pays à faible revenu et à revenu moyen inférieur sont incapables de lire une phrase, a indiqué lundi le Rapport mondial de suivi sur l'Education pour tous de l'Unesco qui prévient que la moitié des 31 millions de filles non scolarisées n'iront jamais à l'école en raison de cet écart. L'écart entre les sexes dans l'éducation est tel, au niveau mondial, que plus de 100 millions de jeunes femmes des pays à faible revenu et à revenu moyen inférieur sont incapables de lire une phrase, a indiqué lundi le Rapport mondial de suivi sur l'Education pour tous de l'Unesco qui prévient que la moitié des 31 millions de filles non scolarisées n'iront jamais à l'école en raison de cet écart. Lancé à l'occasion de la Journée internationale de la femme en partenariat avec l'Initiative des Nations Unies en faveur de l'éducation des filles (UNGEI), ces conclusions du rapport appellent à placer l'équité au "premier rang" des nouveaux objectifs mondiaux du développement après 2015, pour que chaque enfant bénéficie d'un accès égal à un apprentissage de qualité. Parmi les pays à faible revenu, ils n'étaient que 20 % à avoir réalisé la parité entre garçons et filles dans le primaire, 10 % à l'avoir atteinte dans le premier cycle du secondaire et 8 % dans le second cycle du secondaire, selon ce rapport. Les filles vivant dans les Etats arabes sont "particulièrement désavantagées" puisque la proportion de filles parmi les non-scolarisés y est de 60 %, contre 57 % en Asie du Sud et de l'Ouest et 54 % en Afrique subsaharienne, a-t-on également constaté. Au vu des tendances actuelles, d'ici à 2015, 70 % seulement des pays auront atteint la parité dans l'enseignement primaire, et 56 % dans le premier cycle de l'enseignement secondaire, a déploré l'Unesco. "Il est tout simplement intolérable que les filles soient laissées pour compte. L'éducation est l'un des moyens les plus puissants pour permettre aux filles pauvres d'accéder à un avenir meilleur et d'échapper au cercle vicieux de la pauvreté", a déclaré la directrice générale de l'Unesco, Mme Irina Bokova, en préambule à ce rapport qui appelle les gouvernements à "en finir avec cette disparité choquante et garantir l'égalité d'accès à l'éducation". Pour remettre les filles sur la bonne voie, le rapport recommande alors que l'éducation des filles doit figurer au premier rang des nouveaux objectifs de l'éducation après 2015. L'Unesco préconise aussi dans son rapport que les programmes scolaires soient inclusifs. "Les enseignants ne pourront surmonter efficacement les obstacles à l'apprentissage que s'ils sont soutenus par des programmes adaptés et inclusifs, accordant toute l'attention nécessaire aux besoins des filles menacées par l'échec scolaire". Lancé à l'occasion de la Journée internationale de la femme en partenariat avec l'Initiative des Nations Unies en faveur de l'éducation des filles (UNGEI), ces conclusions du rapport appellent à placer l'équité au "premier rang" des nouveaux objectifs mondiaux du développement après 2015, pour que chaque enfant bénéficie d'un accès égal à un apprentissage de qualité. Parmi les pays à faible revenu, ils n'étaient que 20 % à avoir réalisé la parité entre garçons et filles dans le primaire, 10 % à l'avoir atteinte dans le premier cycle du secondaire et 8 % dans le second cycle du secondaire, selon ce rapport. Les filles vivant dans les Etats arabes sont "particulièrement désavantagées" puisque la proportion de filles parmi les non-scolarisés y est de 60 %, contre 57 % en Asie du Sud et de l'Ouest et 54 % en Afrique subsaharienne, a-t-on également constaté. Au vu des tendances actuelles, d'ici à 2015, 70 % seulement des pays auront atteint la parité dans l'enseignement primaire, et 56 % dans le premier cycle de l'enseignement secondaire, a déploré l'Unesco. "Il est tout simplement intolérable que les filles soient laissées pour compte. L'éducation est l'un des moyens les plus puissants pour permettre aux filles pauvres d'accéder à un avenir meilleur et d'échapper au cercle vicieux de la pauvreté", a déclaré la directrice générale de l'Unesco, Mme Irina Bokova, en préambule à ce rapport qui appelle les gouvernements à "en finir avec cette disparité choquante et garantir l'égalité d'accès à l'éducation". Pour remettre les filles sur la bonne voie, le rapport recommande alors que l'éducation des filles doit figurer au premier rang des nouveaux objectifs de l'éducation après 2015. L'Unesco préconise aussi dans son rapport que les programmes scolaires soient inclusifs. "Les enseignants ne pourront surmonter efficacement les obstacles à l'apprentissage que s'ils sont soutenus par des programmes adaptés et inclusifs, accordant toute l'attention nécessaire aux besoins des filles menacées par l'échec scolaire".