Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra "n'a ni confirmé ni infirmé" l'existence de contacts entre l'Algérie et le général libyen Khalifa Haftar, a indiqué mardi à l'APS le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif. Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra "n'a ni confirmé ni infirmé" l'existence de contacts entre l'Algérie et le général libyen Khalifa Haftar, a indiqué mardi à l'APS le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif. Benali Cherif a réagi à certaines informations rapportées par la presse au sujet d'une déclaration attribuée à Lamamra dans laquelle il aurait affirmé que l'Algérie n'avait aucun contact avec le général libyen Khalifa Haftar. Il a précisé que le chef de la diplomatie algérienne, qui avait répondu aux questions des journalistes au sujet de la Libye, en marge de la séance d'ouverture de la 17e conférence ministérielle du Mouvement des nonalignés au niveau des hauts fonctionnaires, en rappelant le "strict" respect de l'Algérie du "principe de non-ingérence" dans les affaires intérieures des pays, "n'a ni confirmé, ni infirmé l'existence" de contacts entre l'Algérie et le général Haftar. Benali Cherif a soutenu que Ramtane Lamamra "s'est contenté de nuancer que les Etats ont recours, selon les contextes, à des approches et à des procédés aussi différents que diversifiés pour recueillir l'information et interagir en cohérence avec leurs principes et leurs intérêts". Benali Cherif a réagi à certaines informations rapportées par la presse au sujet d'une déclaration attribuée à Lamamra dans laquelle il aurait affirmé que l'Algérie n'avait aucun contact avec le général libyen Khalifa Haftar. Il a précisé que le chef de la diplomatie algérienne, qui avait répondu aux questions des journalistes au sujet de la Libye, en marge de la séance d'ouverture de la 17e conférence ministérielle du Mouvement des nonalignés au niveau des hauts fonctionnaires, en rappelant le "strict" respect de l'Algérie du "principe de non-ingérence" dans les affaires intérieures des pays, "n'a ni confirmé, ni infirmé l'existence" de contacts entre l'Algérie et le général Haftar. Benali Cherif a soutenu que Ramtane Lamamra "s'est contenté de nuancer que les Etats ont recours, selon les contextes, à des approches et à des procédés aussi différents que diversifiés pour recueillir l'information et interagir en cohérence avec leurs principes et leurs intérêts".