L'Algérie est "profondément" investie dans son processus de développement humain et accorde une "grande importance" au développement durable, a affirmé hier le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed Seghir Babès. L'Algérie est "profondément" investie dans son processus de développement humain et accorde une "grande importance" au développement durable, a affirmé hier le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed Seghir Babès. ,Nous avons assez largement anticipé et posé les premières pierres, ce qui indique que l'Algérie est profondément investie dans son processus de développement humain", a affirmé M. Babès dans une brève allocution à l'ouverture d'un symposium international sur le développement humain. L'Algérie accorde également "une grande importance" au développement durable visant une exploitation rationnelle des ressources naturelles et la préservation de ces dernières aux générations à venir, a-t-il précisé. Concernant l'ordre du jour du symposium intitulé : "Développement humain et société du bien-être à l'aune de l'agenda post-2015", M. Babès a expliqué qu'il comportera notamment un débat autour de l'opportunité de renouveler la conception de ce genre de développement. "Le Cnes (...) prend l'initiative de débattre de l'opportunité de renouveler la conception du développement humain à l'occasion d'un partage d'expériences avec d'autres pays" participants, a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse conjointe avec la coordinatrice résidente du système des Nations unies en Algérie, Cristina Amaral. Organisée par le Cnes en collaboration avec le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), la rencontre constitue, par ailleurs, une occasion pour s'interroger sur les voies et moyens permettant aux pays, qui accusent un important retard dans la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), de se hisser au niveau des objectifs du développement durable. L'amélioration de la situation du développement humain en Afrique et notamment dans des régions comme le Sahel sera, a-t-il dit, au centre de ce débat qui s'étale sur deux jours. Au plan international, M. Babès a indiqué que le développement humain et le développement durable figuraient parmi les questions prioritaires qui seront débattues lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies. Outre les délégations du Cnes, des représentants des experts du Bureau du rapport sur le développement humain (Hdro) et des diverses institutions du Système des Nations unies ayant vocation à intervenir dans l'élaboration des indices du développement humain, prendront part au symposium. La rencontre est axée, notamment, sur "le questionnement des indices du point de vue de leur pertinence au regard des efforts réels dédiés par les Etats et les sociétés, au service des avancées en matière de développement humain", précisent les organisateurs. ,Nous avons assez largement anticipé et posé les premières pierres, ce qui indique que l'Algérie est profondément investie dans son processus de développement humain", a affirmé M. Babès dans une brève allocution à l'ouverture d'un symposium international sur le développement humain. L'Algérie accorde également "une grande importance" au développement durable visant une exploitation rationnelle des ressources naturelles et la préservation de ces dernières aux générations à venir, a-t-il précisé. Concernant l'ordre du jour du symposium intitulé : "Développement humain et société du bien-être à l'aune de l'agenda post-2015", M. Babès a expliqué qu'il comportera notamment un débat autour de l'opportunité de renouveler la conception de ce genre de développement. "Le Cnes (...) prend l'initiative de débattre de l'opportunité de renouveler la conception du développement humain à l'occasion d'un partage d'expériences avec d'autres pays" participants, a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse conjointe avec la coordinatrice résidente du système des Nations unies en Algérie, Cristina Amaral. Organisée par le Cnes en collaboration avec le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), la rencontre constitue, par ailleurs, une occasion pour s'interroger sur les voies et moyens permettant aux pays, qui accusent un important retard dans la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), de se hisser au niveau des objectifs du développement durable. L'amélioration de la situation du développement humain en Afrique et notamment dans des régions comme le Sahel sera, a-t-il dit, au centre de ce débat qui s'étale sur deux jours. Au plan international, M. Babès a indiqué que le développement humain et le développement durable figuraient parmi les questions prioritaires qui seront débattues lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies. Outre les délégations du Cnes, des représentants des experts du Bureau du rapport sur le développement humain (Hdro) et des diverses institutions du Système des Nations unies ayant vocation à intervenir dans l'élaboration des indices du développement humain, prendront part au symposium. La rencontre est axée, notamment, sur "le questionnement des indices du point de vue de leur pertinence au regard des efforts réels dédiés par les Etats et les sociétés, au service des avancées en matière de développement humain", précisent les organisateurs.