Une bonne note et un bon classement pour l'Algérie en matière de développement humain ! « L'Algérie figure parmi les vingt pays les plus avancés en matière de développement humain » a en effet déclaré, hier à Alger, la coordinatrice-résidente du système des Nations unies en Algérie, Cristina Amaral lors d'une conférence de presse conjointe avec le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed Seghir Babès, à la veille de l'ouverture, prévu pour aujourd'hui, d'un symposium international sur le développement humain. Une bonne note et un bon classement pour l'Algérie en matière de développement humain ! « L'Algérie figure parmi les vingt pays les plus avancés en matière de développement humain » a en effet déclaré, hier à Alger, la coordinatrice-résidente du système des Nations unies en Algérie, Cristina Amaral lors d'une conférence de presse conjointe avec le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed Seghir Babès, à la veille de l'ouverture, prévu pour aujourd'hui, d'un symposium international sur le développement humain. La responsable de l'Onu, qui cite un rapport international rendu public en 2013, a salué les efforts de l'Algérie pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développemen. Mme Amaral a expliqué que le concept « Développement humain » signifie notamment la qualité de la distribution des richesses naturelles, l'accès des populations à l'éducation et la santé, ainsi que la parité entre les genres. Organisé par le Cnes en collaboration avec le programme des Nations unies pour le développement (Pnud), le symposium intitulé « Développement humain et société du bienêtre à l'aune de l'agenda post-2015 », verra la participation d'une « haute expertise » dans le domaine du développement humain, relevant notamment du bureau du Pnud de New York. Le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed Seghir Babès, qui préside les travaux, a indiqué que « le Cnes (...) prend l'initiative de débattre de l'opportunité de renouveler la conception du développement humain à l'occasion d'un partage d'expériences avec d'autres pays participants ». Les participants débattront des voies et moyens à même de permettre aux pays, qui accusent un important retard dans la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement, de se hisser au niveau des objectifs du développement durable. Le président du Cnes cite, dans ce cas, les pays du Sahel où sévit le phénomène du terrorisme. Pour Mohamed Seghir Babès « l'encouragement de l'épanouissement socio-économique des populations dans les pays affectés par le terrorisme permet de réduire considérablement ce fléau transfrontalier ». De son côté, Mme Amaral a fait savoir que l'Assemblée générale des Nations unies se penchera prochainement sur l'identification de nouveaux objectifs censés provoquer la même émulation que celle produite par les OMD. Selon Mme Amaral, « une étude onusienne a démontré que les conflits, les guerres et l'instabilité socio-économique, notamment les pays touchés par le "printemps arabe", engendrent un déclin des indices de développement humain ». Elle a tenu à préciser, dans ce sens, que le secrétaire général des Nations unies, Ban Kimoon , « n'a ménagé aucun effort pour le retour de la paix, notamment en Syrie ». Outre les délégations du Cnes, des représentants des experts du Bureau du rapport sur le développement humain (HDRO) et diverses institutions du Système des Nations unies, ayant vocation à intervenir dans l'élaboration des indices du développement humain, prendront part au symposium. Il sera axé, notamment, sur « Le questionnement des indices du point de vue de leur pertinence au regard des efforts réels dédiés par les Etats et les sociétés, au service des avancées en matière de développement humain », précisent le Cnes et le Pnud dans un communiqué conjoint. La responsable de l'Onu, qui cite un rapport international rendu public en 2013, a salué les efforts de l'Algérie pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développemen. Mme Amaral a expliqué que le concept « Développement humain » signifie notamment la qualité de la distribution des richesses naturelles, l'accès des populations à l'éducation et la santé, ainsi que la parité entre les genres. Organisé par le Cnes en collaboration avec le programme des Nations unies pour le développement (Pnud), le symposium intitulé « Développement humain et société du bienêtre à l'aune de l'agenda post-2015 », verra la participation d'une « haute expertise » dans le domaine du développement humain, relevant notamment du bureau du Pnud de New York. Le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed Seghir Babès, qui préside les travaux, a indiqué que « le Cnes (...) prend l'initiative de débattre de l'opportunité de renouveler la conception du développement humain à l'occasion d'un partage d'expériences avec d'autres pays participants ». Les participants débattront des voies et moyens à même de permettre aux pays, qui accusent un important retard dans la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement, de se hisser au niveau des objectifs du développement durable. Le président du Cnes cite, dans ce cas, les pays du Sahel où sévit le phénomène du terrorisme. Pour Mohamed Seghir Babès « l'encouragement de l'épanouissement socio-économique des populations dans les pays affectés par le terrorisme permet de réduire considérablement ce fléau transfrontalier ». De son côté, Mme Amaral a fait savoir que l'Assemblée générale des Nations unies se penchera prochainement sur l'identification de nouveaux objectifs censés provoquer la même émulation que celle produite par les OMD. Selon Mme Amaral, « une étude onusienne a démontré que les conflits, les guerres et l'instabilité socio-économique, notamment les pays touchés par le "printemps arabe", engendrent un déclin des indices de développement humain ». Elle a tenu à préciser, dans ce sens, que le secrétaire général des Nations unies, Ban Kimoon , « n'a ménagé aucun effort pour le retour de la paix, notamment en Syrie ». Outre les délégations du Cnes, des représentants des experts du Bureau du rapport sur le développement humain (HDRO) et diverses institutions du Système des Nations unies, ayant vocation à intervenir dans l'élaboration des indices du développement humain, prendront part au symposium. Il sera axé, notamment, sur « Le questionnement des indices du point de vue de leur pertinence au regard des efforts réels dédiés par les Etats et les sociétés, au service des avancées en matière de développement humain », précisent le Cnes et le Pnud dans un communiqué conjoint.