Le président français, François Hollande, a souhaité, samedi, que les pourparlers de paix, engagés à Alger entre le gouvernement malien et les groupes politico-armés du nord du pays, "aboutissent rapidement", lors d'un entretien téléphonique avec son homologue malien Ibrahim Boubacar Keïta. Le président français, François Hollande, a souhaité, samedi, que les pourparlers de paix, engagés à Alger entre le gouvernement malien et les groupes politico-armés du nord du pays, "aboutissent rapidement", lors d'un entretien téléphonique avec son homologue malien Ibrahim Boubacar Keïta. Le chef de l'Etat français "a exprimé son souhait que ces discussions aboutissent rapidement, afin de permettre à l'Etat malien de se déployer dans l'ensemble du pays", a déclaré la présidence française dans un communiqué. Il s'agit aussi "de faciliter la réconciliation de tous les Maliens, dans le respect de l'unité et de la laïcité de cet Etat", poursuit la présidence. François Hollande "a exprimé au président malien son soutien pour les discussions organisées à Alger entre le gouvernement et les groupes armés présents au nord du Mali", ajoute le communiqué. Toujours selon la présidence française, les deux chefs d'Etat ont "exprimé leur solidarité dans la lutte contre le terrorisme" et "rappelé leur appréciation du travail effectué par la mission des Nations unies au Mali (Minusma) et les pays qui la composent". La deuxième phase du dialogue inclusif intermalien s'était ouverte le 1er septembre à Alger avec la participation notamment des délégations du gouvernement malien et celles des six mouvements politicomilitaires signataires de la feuille de route ainsi que des représentants de la société civile. La phase initiale du dialogue intermalien, qui avait eu lieu du 17 au 24 juillet à Alger, avait été couronnée par la signature de deux documents comportant "la feuille de route pour les négociations dans le cadre du processus d'Alger" et une "déclaration de cessation des hostilités" entre le gouvernement du Mali et six mouvements politico-militaires du nord de ce pays. Outre les représentants du gouvernement malien, les six mouvements signataires des deux documents sont le Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), la Coordinatio pour le peuple de l'Azawad (CPA), la Coordination des mouvements et fronts patriotiques de résistance (CMFPR), le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident). Le chef de l'Etat français "a exprimé son souhait que ces discussions aboutissent rapidement, afin de permettre à l'Etat malien de se déployer dans l'ensemble du pays", a déclaré la présidence française dans un communiqué. Il s'agit aussi "de faciliter la réconciliation de tous les Maliens, dans le respect de l'unité et de la laïcité de cet Etat", poursuit la présidence. François Hollande "a exprimé au président malien son soutien pour les discussions organisées à Alger entre le gouvernement et les groupes armés présents au nord du Mali", ajoute le communiqué. Toujours selon la présidence française, les deux chefs d'Etat ont "exprimé leur solidarité dans la lutte contre le terrorisme" et "rappelé leur appréciation du travail effectué par la mission des Nations unies au Mali (Minusma) et les pays qui la composent". La deuxième phase du dialogue inclusif intermalien s'était ouverte le 1er septembre à Alger avec la participation notamment des délégations du gouvernement malien et celles des six mouvements politicomilitaires signataires de la feuille de route ainsi que des représentants de la société civile. La phase initiale du dialogue intermalien, qui avait eu lieu du 17 au 24 juillet à Alger, avait été couronnée par la signature de deux documents comportant "la feuille de route pour les négociations dans le cadre du processus d'Alger" et une "déclaration de cessation des hostilités" entre le gouvernement du Mali et six mouvements politico-militaires du nord de ce pays. Outre les représentants du gouvernement malien, les six mouvements signataires des deux documents sont le Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), la Coordinatio pour le peuple de l'Azawad (CPA), la Coordination des mouvements et fronts patriotiques de résistance (CMFPR), le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident).