Un nouveau centre d'interprétation, infrastructure culturelle et touristique, créé par le parc culturel de l'Ahaggar à Tamanrasset, offrant aux visiteurs une vision globale de l'histoire, des biens culturels et naturels et naturels du parc a été présenté vendredi à la presse, en attendant son inauguration. Un nouveau centre d'interprétation, infrastructure culturelle et touristique, créé par le parc culturel de l'Ahaggar à Tamanrasset, offrant aux visiteurs une vision globale de l'histoire, des biens culturels et naturels et naturels du parc a été présenté vendredi à la presse, en attendant son inauguration. Opérationnel depuis octobre 2013, mais toujours fermé aux visiteurs en attendant d'être inauguré officiellement, ce centre d'interprétation (un musée dont les fonctions se limitent à l'exposition) créé et géré par l'Office national du parc culturel de l'Ahaggar (ONPCA) a accueilli ses premiers visiteurs à la faveur du 5e Festival international d'Abalessa- Tin Hinan pour les arts de l'Ahaggar (FIATAA). Une visite de ce centre propose en premier lieu au public une meilleure compréhension des structures de l'Onpca et de ses missions avant de présenter une multitude d'informations sur l'Ahaggar. Dans un premier hall d'exposition des panneaux d'information issus de l'exposition Sahara réalise pour le Panaf 2009 renseignent sur la composante géologique de la région et son évolution à travers le temps en plus de fournir une vision global de l'évolution des populations de l'Ahaggar et de toute l'Afrique du nord depuis la préhistoire appuyée par l'exposition d'objets et d'outils préhistoriques. Dans ce centre l'art rupestres est également mis en avant avec des photos et des notices explicatives de l'évolution de ce dernier (gravure et peinture) pour en arriver jusqu'à l'apparition du Tifinagh. La faune et la flore spécifique à la région, dont la préservation est également du ressort du parc comme l'Amayas (guépard) qui revient peu à peu ces dernières années dans l'Ahaggar, sont aussi répertoriés et présentés dans un hall à part. Du côté du patrimoine matériel l'exposition propose également une découverte de l'artisanat local, les bijoux touaregs et leurs significations, les monuments funéraires touaregs ainsi qu'une maquette, des photos et notice du tombeau de Tin Hinan se trouvant 80 km plus loin à Abalessa. Pour le patrimoine immatériel, des explications sur plusieurs rituels, musiques, instruments, jeux populaires et fêtes religieuses sont fournies en plus de l'installation d'écrans pouvant diffuser des illustrations audiovisuelles. Quelques touristes informés de l'existence de ce centre ont regretté de ne pas y avoir accès alors que cette structure peut être "exploitée pour le tourisme surtout en cette période de fin d'année" pour se faire "une vision globale sur un parc impossible à visiter en entier" vu sa superficie de plus de 600.000 km2. Opérationnel depuis octobre 2013, mais toujours fermé aux visiteurs en attendant d'être inauguré officiellement, ce centre d'interprétation (un musée dont les fonctions se limitent à l'exposition) créé et géré par l'Office national du parc culturel de l'Ahaggar (ONPCA) a accueilli ses premiers visiteurs à la faveur du 5e Festival international d'Abalessa- Tin Hinan pour les arts de l'Ahaggar (FIATAA). Une visite de ce centre propose en premier lieu au public une meilleure compréhension des structures de l'Onpca et de ses missions avant de présenter une multitude d'informations sur l'Ahaggar. Dans un premier hall d'exposition des panneaux d'information issus de l'exposition Sahara réalise pour le Panaf 2009 renseignent sur la composante géologique de la région et son évolution à travers le temps en plus de fournir une vision global de l'évolution des populations de l'Ahaggar et de toute l'Afrique du nord depuis la préhistoire appuyée par l'exposition d'objets et d'outils préhistoriques. Dans ce centre l'art rupestres est également mis en avant avec des photos et des notices explicatives de l'évolution de ce dernier (gravure et peinture) pour en arriver jusqu'à l'apparition du Tifinagh. La faune et la flore spécifique à la région, dont la préservation est également du ressort du parc comme l'Amayas (guépard) qui revient peu à peu ces dernières années dans l'Ahaggar, sont aussi répertoriés et présentés dans un hall à part. Du côté du patrimoine matériel l'exposition propose également une découverte de l'artisanat local, les bijoux touaregs et leurs significations, les monuments funéraires touaregs ainsi qu'une maquette, des photos et notice du tombeau de Tin Hinan se trouvant 80 km plus loin à Abalessa. Pour le patrimoine immatériel, des explications sur plusieurs rituels, musiques, instruments, jeux populaires et fêtes religieuses sont fournies en plus de l'installation d'écrans pouvant diffuser des illustrations audiovisuelles. Quelques touristes informés de l'existence de ce centre ont regretté de ne pas y avoir accès alors que cette structure peut être "exploitée pour le tourisme surtout en cette période de fin d'année" pour se faire "une vision globale sur un parc impossible à visiter en entier" vu sa superficie de plus de 600.000 km2.