Cette nouvelle, qui semble être excellente pour l'alimentation en eau potable des ménages, l'est moins pour les agriculteurs. D'ailleurs, par plus tard qu'hier la wilaya de Béjaia à connu plusieurs heures de précipitation et elle est d'ailleurs coupée des communes du sud de la wilaya et des régions limitrophes, à savoir, Alger, Bouira et Tizi Ouzou. La RN12 est inondée au niveau du tronçon appelé "tunnel vert ", à El-Kseur. Cette nouvelle, qui semble être excellente pour l'alimentation en eau potable des ménages, l'est moins pour les agriculteurs. D'ailleurs, par plus tard qu'hier la wilaya de Béjaia à connu plusieurs heures de précipitation et elle est d'ailleurs coupée des communes du sud de la wilaya et des régions limitrophes, à savoir, Alger, Bouira et Tizi Ouzou. La RN12 est inondée au niveau du tronçon appelé "tunnel vert ", à El-Kseur. Durant les mois de janvier et février, les barrages sur le territoire national ont atteint leur niveau maximum. Les pluies diluviennes, qui se sont abattues sur la région depuis plus d'une semaine en sont la cause. En plus des eaux de pluies, le déversement du trop plein du réservoir de Tichy-Haft dans la daira de Seddouk a fait augmenter le volume d'eau dans oued- Soummam. Dans un communiqué rendu public, le ministère des Ressources en eau, annonce que le taux de remplissage des barrages en exploitation a atteint un niveau record à 84,75 % durant ce mois de février, suite à l'abondance des précipitations au cours de cette même période. Cette abondance a ainsi permis «aux barrages de rehausser leur taux de remplissage pour enregistrer un nouveau record jamais atteint auparavant", note le communiqué soulignant que les apports enregistrés à travers le territoire national durant ce mois ont dépassé les deux (2) milliards m3. « Cette aisance a porté le volume mobilisé dans les barrages à 5.803 millions m3, soit un taux de remplissage global de 84,75 %, représentant une exception pour des barrages à régularisation interannuelle », explique la même source. Pour la même période de l'année 2014, la réserve nationale était de 5.096 millions m3, c'est à dire un taux de remplissage de 74,43 %, alors qu'il était plus élevé en 2013 avec un taux de 77 %. Le volume de pluviométrie enregistré en ce mois de février "permet ainsi de qualifier cette année hydrologique d'exceptionnelle, ce qui va générer une situation nationale hydrique confortable", a-t-on ajouté. En outre, les eaux souterraines vont aussi bénéficier de cette bonne pluviométrie qui va participer "certainement à la réalimentation des nappes phréatiques". Par régions, les barrages de l'ouest du pays ont enregistré le niveau le plus élevé avec un taux de remplissage de 91 %, selon le ministère. Il a précisé, à ce titre, que les 17 barrages de la région du Chéliff disposent de réserves en eau atteignant 1.359 millions m3 avec un taux de remplissage de 79 %. Dans la région du Centre qui dispose de 12 barrages, les réserves en eau sont passées à 1.277 millions m3 pour un taux de remplissage de 82 %, alors qu'à l'est du pays, qui compte 23 barrages en exploitation, elles ont atteint 2.246 million m3, représentant un taux de remplissage d'environ 88 %. "A la faveur de ces dernières pluies, 23 barrages déversent, alors que 21 autres affichent un taux de remplissage dépassant 80 %", a encore indiqué le ministère. Pour ce qui est du barrage de Koudiat Medouar (Batna), il demeure le seul à ne pas jouir de ces averses, relève le bilan du ministère, précisant toutefois qu'avec les 60.000 m3 d'eau que reçoit ce barrage quotidiennement à partir du barrage de Béni Haroun via la ligne d'urgence, l'alimentation en eau potable des populations du couloir Batna-Khenchela est sécurisée en attendant la mise en service prochaine de la dernière tranche du projet de transfert de Béni-Haroun. Durant les mois de janvier et février, les barrages sur le territoire national ont atteint leur niveau maximum. Les pluies diluviennes, qui se sont abattues sur la région depuis plus d'une semaine en sont la cause. En plus des eaux de pluies, le déversement du trop plein du réservoir de Tichy-Haft dans la daira de Seddouk a fait augmenter le volume d'eau dans oued- Soummam. Dans un communiqué rendu public, le ministère des Ressources en eau, annonce que le taux de remplissage des barrages en exploitation a atteint un niveau record à 84,75 % durant ce mois de février, suite à l'abondance des précipitations au cours de cette même période. Cette abondance a ainsi permis «aux barrages de rehausser leur taux de remplissage pour enregistrer un nouveau record jamais atteint auparavant", note le communiqué soulignant que les apports enregistrés à travers le territoire national durant ce mois ont dépassé les deux (2) milliards m3. « Cette aisance a porté le volume mobilisé dans les barrages à 5.803 millions m3, soit un taux de remplissage global de 84,75 %, représentant une exception pour des barrages à régularisation interannuelle », explique la même source. Pour la même période de l'année 2014, la réserve nationale était de 5.096 millions m3, c'est à dire un taux de remplissage de 74,43 %, alors qu'il était plus élevé en 2013 avec un taux de 77 %. Le volume de pluviométrie enregistré en ce mois de février "permet ainsi de qualifier cette année hydrologique d'exceptionnelle, ce qui va générer une situation nationale hydrique confortable", a-t-on ajouté. En outre, les eaux souterraines vont aussi bénéficier de cette bonne pluviométrie qui va participer "certainement à la réalimentation des nappes phréatiques". Par régions, les barrages de l'ouest du pays ont enregistré le niveau le plus élevé avec un taux de remplissage de 91 %, selon le ministère. Il a précisé, à ce titre, que les 17 barrages de la région du Chéliff disposent de réserves en eau atteignant 1.359 millions m3 avec un taux de remplissage de 79 %. Dans la région du Centre qui dispose de 12 barrages, les réserves en eau sont passées à 1.277 millions m3 pour un taux de remplissage de 82 %, alors qu'à l'est du pays, qui compte 23 barrages en exploitation, elles ont atteint 2.246 million m3, représentant un taux de remplissage d'environ 88 %. "A la faveur de ces dernières pluies, 23 barrages déversent, alors que 21 autres affichent un taux de remplissage dépassant 80 %", a encore indiqué le ministère. Pour ce qui est du barrage de Koudiat Medouar (Batna), il demeure le seul à ne pas jouir de ces averses, relève le bilan du ministère, précisant toutefois qu'avec les 60.000 m3 d'eau que reçoit ce barrage quotidiennement à partir du barrage de Béni Haroun via la ligne d'urgence, l'alimentation en eau potable des populations du couloir Batna-Khenchela est sécurisée en attendant la mise en service prochaine de la dernière tranche du projet de transfert de Béni-Haroun.