La bonne gestion du budget alloué à la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe" est "primordiale", a indiqué mardi à Constantine la ministre de la Culture, Nadia Labidi. Invitée du forum du quotidien An- Nasr, la ministre a insisté sur le fait que le "respect du budget alloué à la manifestation et la traçabilité des enveloppes financières attribuées sont impératifs". La bonne gestion du budget alloué à la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe" est "primordiale", a indiqué mardi à Constantine la ministre de la Culture, Nadia Labidi. Invitée du forum du quotidien An- Nasr, la ministre a insisté sur le fait que le "respect du budget alloué à la manifestation et la traçabilité des enveloppes financières attribuées sont impératifs". Affirmant "comprendre les inquiétudes de certains" concernant le volet financier de l'événement, Mme Labidi a affirmé que "toute la transparence entoure la gestion de cette grande manifestation", avant de souligner que des leçons tirées de la gestion des événements "Alger, capitale 2007 de la culture arabe" et "Tlemcen, capitale 2011 de la culture islamique" ont été retenues. Elle a ajouté que son département, qui "accompagnera et protégera ses cadres et les responsables chargés du volet financier, dispose des mécanismes nécessaires à la bonne gestion et à la supervision des actions entreprises". Des efforts "colossaux ont été déployés par les autorités locales pour être au rendez-vous", a encore souligné la ministre, relevant que "l'année culturelle de Constantine sera aussi celle de l'inauguration d'édifices relevant non seulement de la culture mais aussi d'autres secteurs". Pour Mme Labidi, le programme imposant attribué à la wilaya de Constantine en matière d'infrastructures, dans le cadre de cet événement culturel, sera aussi "une référence" lorsqu'il s'agira d'équiper d'autres wilayas à l'occasion d'autres événements. A une question relative au "retard" observé dans la concrétisation des projets liés à la restauration du patrimoine matériel à Constantine, la ministre a indiqué que la restauration du patrimoine est un "acte délicat qui diffère des autres projets et qui impose une meilleure organisation". Elle a évoqué, dans ce cadre, "l'adaptation du code des marchés de manière à assurer la continuité des chantiers de restauration et à répondre aux imprévus qui, souvent, freinent l'avancement de ce type de travaux". Une école de chorégraphie sera créée à Constantine pour perpétuer le patrimoine lié à la danse dans la région est du pays, a indiqué Nadia Labidi. La ministre qui a assisté, à la nouvelle salle de spectacles, à une partie des répétitions de la grande opérette L'épopée de Constantine, programmée pour l'ouverture de la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe", a souligné que cette école qui sera le "prolongement de la salle du Zénith dans un souci de rentabilisation de l'infrastructure culturelle phare de la ville de Constantine". Elle a précisé, à ce propos, que les autorités locales se sont engagées à débloquer un budget pour la réalisation de cette école qui sera mitoyenne de la salle de spectacles, à la cité Zouaghi-Slimane, sur les hauteurs de Constantine. Mme Labidi a appelé à "profiter du savoirfaire des compétences avérées dans le patrimoine culturel" pour poser les premiers jalons d'un espace de formation destiné à promouvoir la créativité artistique et à préserver une partie de la mémoire collective. Affirmant "comprendre les inquiétudes de certains" concernant le volet financier de l'événement, Mme Labidi a affirmé que "toute la transparence entoure la gestion de cette grande manifestation", avant de souligner que des leçons tirées de la gestion des événements "Alger, capitale 2007 de la culture arabe" et "Tlemcen, capitale 2011 de la culture islamique" ont été retenues. Elle a ajouté que son département, qui "accompagnera et protégera ses cadres et les responsables chargés du volet financier, dispose des mécanismes nécessaires à la bonne gestion et à la supervision des actions entreprises". Des efforts "colossaux ont été déployés par les autorités locales pour être au rendez-vous", a encore souligné la ministre, relevant que "l'année culturelle de Constantine sera aussi celle de l'inauguration d'édifices relevant non seulement de la culture mais aussi d'autres secteurs". Pour Mme Labidi, le programme imposant attribué à la wilaya de Constantine en matière d'infrastructures, dans le cadre de cet événement culturel, sera aussi "une référence" lorsqu'il s'agira d'équiper d'autres wilayas à l'occasion d'autres événements. A une question relative au "retard" observé dans la concrétisation des projets liés à la restauration du patrimoine matériel à Constantine, la ministre a indiqué que la restauration du patrimoine est un "acte délicat qui diffère des autres projets et qui impose une meilleure organisation". Elle a évoqué, dans ce cadre, "l'adaptation du code des marchés de manière à assurer la continuité des chantiers de restauration et à répondre aux imprévus qui, souvent, freinent l'avancement de ce type de travaux". Une école de chorégraphie sera créée à Constantine pour perpétuer le patrimoine lié à la danse dans la région est du pays, a indiqué Nadia Labidi. La ministre qui a assisté, à la nouvelle salle de spectacles, à une partie des répétitions de la grande opérette L'épopée de Constantine, programmée pour l'ouverture de la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe", a souligné que cette école qui sera le "prolongement de la salle du Zénith dans un souci de rentabilisation de l'infrastructure culturelle phare de la ville de Constantine". Elle a précisé, à ce propos, que les autorités locales se sont engagées à débloquer un budget pour la réalisation de cette école qui sera mitoyenne de la salle de spectacles, à la cité Zouaghi-Slimane, sur les hauteurs de Constantine. Mme Labidi a appelé à "profiter du savoirfaire des compétences avérées dans le patrimoine culturel" pour poser les premiers jalons d'un espace de formation destiné à promouvoir la créativité artistique et à préserver une partie de la mémoire collective.