Les vacances sont finies ! Elèves et parents d'élèves se mobilisent pour une rentrée scolaire effective. Pour certains, c'est la prise de connaissance des nouvelles notions à aborder, mais pour d'autres, l'achat des fournitures scolaires constitue un souci majeur. La préoccupation majeure des familles est en rapport avec les nombreuses dépenses générées par un tel événement, notamment en ce qui concerne l'achat des fournitures scolaires. Mais de l'autre côté, on ne l'entend pas de cette oreille. Les vacances sont finies ! Elèves et parents d'élèves se mobilisent pour une rentrée scolaire effective. Pour certains, c'est la prise de connaissance des nouvelles notions à aborder, mais pour d'autres, l'achat des fournitures scolaires constitue un souci majeur. La préoccupation majeure des familles est en rapport avec les nombreuses dépenses générées par un tel événement, notamment en ce qui concerne l'achat des fournitures scolaires. Mais de l'autre côté, on ne l'entend pas de cette oreille. Car pour eux la rentrée scolaire constitue un rendez-vous économique et commercial majeur. Partout, les marchés populaires, les magasins spécialisés, les places publiques et même les trottoirs sont investis par les revendeurs d'articles scolaires. Ils font déjà le plein. En fait, depuis déjà plusieurs semaines, les parents sont à la recherche des bonnes affaires, c'est-à-dire des fournitures scolaires à des prix abordables. Leur budget déjà miné par le Ramadhan et l'Aïd el-Fitr et la perspective de l'Aïd el-Adha, qui arrive au grand galop, la plupart des parents d'élèves se dirige tout naturellement vers les quartiers commerçants qui proposent une variété d'articles à la qualité et aux prix aussi variés et à la portée de toutes les bourses. Le marché de Bab El- Oued, précisément à la place des Trois-Horloges à Alger, s'anime aux couleurs de la rentrée scolaire. Difficile circulation ! Des cahiers de toutes marques, des livres, des sacs, des stylos, des couvertures et autres articles scolaires. C'est le menu qui attire l'attention des clients. On sent que la rentrée scolaire est là. "Moi j'ai trois (3) enfants qui vont tous à l'école. Je préfère donc venir ici pour m'approvisionner en fournitures car cela réduit les coûts", avance Sid-Ahmed. Un tour à travers les différentes artères de la ville, le constat est partout le même. Des stands de vente de fournitures un peu partout. Saloua, mère de deux enfants, après avoir fait le tour des étals, confesse que son souci est de s'assurer de la qualité. Ainsi, laisse-t-elle entendre : "Je m'assure de l'épaisseur des cahiers et de la visibilité des traits avant de les acheter parce que l'année dernière, les cahiers que j'ai acheté à mes enfants ce sont vite déchirés". Aïssa, père de famille, rencontré sur ces même lieux, affirme à son tour : "Je me procure déjà l'essentiel des fournitures scolaires avant que la liste dictée par les enseignants ne me parvienne". Les parents d'élèves ne sont pas les seuls dont le souci est de pourvoir des fournitures scolaires. Certains apprenants, pour soulager leurs parents, s'achètent eux-mêmes les uniformes grâce à leurs économies après des jobs de vacance. "Cette fois-ci, j'ai la chance de compter sur mes propres moyens pour m'offrir ce que je veux", avoue Nassim, élève en classe de terminale. "Tous mes enfants vont à l'école mais c'est après la rentrée des classes que je vais commencer petitement par acheter les fournitures", déplore un père de famille dont les moyens financiers seraient à la base de ce retard. Les prix des fournitures n'ont pourtant pas changé. Pour Mohand, revendeur de fournitures scolaires, "le marché s'anime comme chaque rentrée scolaire, mais les clients se plaignent et disent que c'est toujours cher. Les clients demandent avec insistance des rabais", a-t-il ajouté. Mais pour certains parents d'élèves, la rentrée scolaire rime aussi avec vêtements neufs, même si beaucoup d'entre eux ont soigneusement gardé les vêtements de l'Aïd el-Fitr. Ce qui génère d'autres dépenses. "On ne peut pas envoyer nos enfants à l'école avec de vieux vêtements. La rentrée c'est important, il faut que nos enfants soient présentables. Cela revient cher, mais on n'a pas le choix", indique une mère de famille. Après les fournitures scolaires, les parents d'élèves feront face aux dépenses concernant les manuels. Tous redoutent cet instant fatidique, espérant que, cette année, il n'y ait pas trop de nouveautés, donc de mauvaises surprises et des dépenses supplémentaires. Car pour eux la rentrée scolaire constitue un rendez-vous économique et commercial majeur. Partout, les marchés populaires, les magasins spécialisés, les places publiques et même les trottoirs sont investis par les revendeurs d'articles scolaires. Ils font déjà le plein. En fait, depuis déjà plusieurs semaines, les parents sont à la recherche des bonnes affaires, c'est-à-dire des fournitures scolaires à des prix abordables. Leur budget déjà miné par le Ramadhan et l'Aïd el-Fitr et la perspective de l'Aïd el-Adha, qui arrive au grand galop, la plupart des parents d'élèves se dirige tout naturellement vers les quartiers commerçants qui proposent une variété d'articles à la qualité et aux prix aussi variés et à la portée de toutes les bourses. Le marché de Bab El- Oued, précisément à la place des Trois-Horloges à Alger, s'anime aux couleurs de la rentrée scolaire. Difficile circulation ! Des cahiers de toutes marques, des livres, des sacs, des stylos, des couvertures et autres articles scolaires. C'est le menu qui attire l'attention des clients. On sent que la rentrée scolaire est là. "Moi j'ai trois (3) enfants qui vont tous à l'école. Je préfère donc venir ici pour m'approvisionner en fournitures car cela réduit les coûts", avance Sid-Ahmed. Un tour à travers les différentes artères de la ville, le constat est partout le même. Des stands de vente de fournitures un peu partout. Saloua, mère de deux enfants, après avoir fait le tour des étals, confesse que son souci est de s'assurer de la qualité. Ainsi, laisse-t-elle entendre : "Je m'assure de l'épaisseur des cahiers et de la visibilité des traits avant de les acheter parce que l'année dernière, les cahiers que j'ai acheté à mes enfants ce sont vite déchirés". Aïssa, père de famille, rencontré sur ces même lieux, affirme à son tour : "Je me procure déjà l'essentiel des fournitures scolaires avant que la liste dictée par les enseignants ne me parvienne". Les parents d'élèves ne sont pas les seuls dont le souci est de pourvoir des fournitures scolaires. Certains apprenants, pour soulager leurs parents, s'achètent eux-mêmes les uniformes grâce à leurs économies après des jobs de vacance. "Cette fois-ci, j'ai la chance de compter sur mes propres moyens pour m'offrir ce que je veux", avoue Nassim, élève en classe de terminale. "Tous mes enfants vont à l'école mais c'est après la rentrée des classes que je vais commencer petitement par acheter les fournitures", déplore un père de famille dont les moyens financiers seraient à la base de ce retard. Les prix des fournitures n'ont pourtant pas changé. Pour Mohand, revendeur de fournitures scolaires, "le marché s'anime comme chaque rentrée scolaire, mais les clients se plaignent et disent que c'est toujours cher. Les clients demandent avec insistance des rabais", a-t-il ajouté. Mais pour certains parents d'élèves, la rentrée scolaire rime aussi avec vêtements neufs, même si beaucoup d'entre eux ont soigneusement gardé les vêtements de l'Aïd el-Fitr. Ce qui génère d'autres dépenses. "On ne peut pas envoyer nos enfants à l'école avec de vieux vêtements. La rentrée c'est important, il faut que nos enfants soient présentables. Cela revient cher, mais on n'a pas le choix", indique une mère de famille. Après les fournitures scolaires, les parents d'élèves feront face aux dépenses concernant les manuels. Tous redoutent cet instant fatidique, espérant que, cette année, il n'y ait pas trop de nouveautés, donc de mauvaises surprises et des dépenses supplémentaires.