Les participants aux 1res rencontres algéro-françaises de la santé ont appelé, avanthier à Alger, au renforcement de la coopération entre les intervenants nationaux et leurs partenaires français dans le domaine de l'industrie pharmaceutique. Les participants aux 1res rencontres algéro-françaises de la santé ont appelé, avanthier à Alger, au renforcement de la coopération entre les intervenants nationaux et leurs partenaires français dans le domaine de l'industrie pharmaceutique. Parmi les principales recommandations ayant sanctionné cette rencontre, les animateurs de l'atelier consacré au thème de l'industrie pharmaceutique ont ainsi insisté sur la nécessité de renforcer et d'encourager le développement de la coopération entre les intervenants des deux pays en charge de l'industrie pharmaceutique. Il s'agit notamment du partenariat entre l'Union nationale des opérateurs en pharmacies (Unop) et les Entreprises françaises de médicament (LEM). S'agissant des programmes d'exportation du médicament, les rédacteurs des recommandations ont mis l'accent sur l'impératif de leur élaboration au "moment opportun", de sorte à permettre au ministère de la Santé de garantir l'approvisionnement du marché national en produits pharmaceutiques. Il s'agit, à travers cette recommandation, de résoudre les contraintes liées aux questions logistiques liées à ce produit "vital", tout en allégeant la lourdeur des procédures administratives auprès du ministère de la Santé. Les participants ont, par ailleurs, préconisé la mise en place d'une réglementation "claire" s'agissant des compléments alimentaires (OTC), de même que s'agissant du statut du détenteur ou de l'exploitant de l'autorisation de mise sur le marché (AMM) du médicament issu de la biotechnologie. Les participants des deux pays ont, en outre, recommandé la nécessité de distinguer entre l'importateur, le distributeur et le producteur du médicament, tout en appelant à la révision de la réglementation qui autorisait, jusque-là, le producteur à assurer en même temps l'importation et la distribution de ce produit pharmaceutique, ou inversement. L'intérêt de cette mesure étant de parvenir à une meilleure organisation du marché du médicament et d'en assurer, par ailleurs, l'approvisionnement en ce produit. Il a également été préconisé, dans le même atelier, de veiller à la "bonne marche" du partenariat et de la coopération "technique" entre les deux partenaires, notamment pour certaines activités spécifiques. De même que "l'encadrement" de la production pharmaceutique algérienne, plus précisément dans le domaine de la formation à la qualité. Evoquant la question de "l'environnement économique" du médicament, les participants ont insisté sur la nécessité de parvenir à une tarification "fixe" de ce produit, de sorte à le prémunir des fluctuations du marché et au-delà, préserver le pouvoir d'achat du citoyen en même temps que la stabilité sociale et économique du pays. S'agissant de la e-santé, qui a également fait l'objet d'un atelier, les parties algérienne et française ont préconisé d'accorder la priorité aux données hospitalières à même de renforcer le projet de coopération bilatérale auquel elles aspirent. De même qu'il a été recommandé la constitution d'une commission d'orientation pour le suivi de ce projet, tout en favorisant la communication entre les deux partenaires "avant, pendant et après" sa mise en oeuvre. Les participants à l'atelier en question ont, en outre, suggéré la mise en place d'un "réseau de compétences" issues des deux pays et de favoriser la collaboration entre elles, et ce, pour l'intérêt des deux partenaires. Au terme de la lecture des recommandations, le directeur général de l'Agence nationale de gestion des réalisations et d'équipement des établissements de santé (Arees), Lazhar Bounafa, a exhorté, en sa qualité de co-organiseur de ces journées, les différents intervenants dans le domaine de la santé, aussi bien algériens que français, à améliorer l'esprit de "compétitivité" et d'"innovation", ainsi que l'exploitation des opportunités de développement de la médecine à, distance, considérée comme moyen innovant permettant d'accéder aux soins et de résoudre l'écueil de la distance géographique qui pénalise parfois les patients. Parmi les principales recommandations ayant sanctionné cette rencontre, les animateurs de l'atelier consacré au thème de l'industrie pharmaceutique ont ainsi insisté sur la nécessité de renforcer et d'encourager le développement de la coopération entre les intervenants des deux pays en charge de l'industrie pharmaceutique. Il s'agit notamment du partenariat entre l'Union nationale des opérateurs en pharmacies (Unop) et les Entreprises françaises de médicament (LEM). S'agissant des programmes d'exportation du médicament, les rédacteurs des recommandations ont mis l'accent sur l'impératif de leur élaboration au "moment opportun", de sorte à permettre au ministère de la Santé de garantir l'approvisionnement du marché national en produits pharmaceutiques. Il s'agit, à travers cette recommandation, de résoudre les contraintes liées aux questions logistiques liées à ce produit "vital", tout en allégeant la lourdeur des procédures administratives auprès du ministère de la Santé. Les participants ont, par ailleurs, préconisé la mise en place d'une réglementation "claire" s'agissant des compléments alimentaires (OTC), de même que s'agissant du statut du détenteur ou de l'exploitant de l'autorisation de mise sur le marché (AMM) du médicament issu de la biotechnologie. Les participants des deux pays ont, en outre, recommandé la nécessité de distinguer entre l'importateur, le distributeur et le producteur du médicament, tout en appelant à la révision de la réglementation qui autorisait, jusque-là, le producteur à assurer en même temps l'importation et la distribution de ce produit pharmaceutique, ou inversement. L'intérêt de cette mesure étant de parvenir à une meilleure organisation du marché du médicament et d'en assurer, par ailleurs, l'approvisionnement en ce produit. Il a également été préconisé, dans le même atelier, de veiller à la "bonne marche" du partenariat et de la coopération "technique" entre les deux partenaires, notamment pour certaines activités spécifiques. De même que "l'encadrement" de la production pharmaceutique algérienne, plus précisément dans le domaine de la formation à la qualité. Evoquant la question de "l'environnement économique" du médicament, les participants ont insisté sur la nécessité de parvenir à une tarification "fixe" de ce produit, de sorte à le prémunir des fluctuations du marché et au-delà, préserver le pouvoir d'achat du citoyen en même temps que la stabilité sociale et économique du pays. S'agissant de la e-santé, qui a également fait l'objet d'un atelier, les parties algérienne et française ont préconisé d'accorder la priorité aux données hospitalières à même de renforcer le projet de coopération bilatérale auquel elles aspirent. De même qu'il a été recommandé la constitution d'une commission d'orientation pour le suivi de ce projet, tout en favorisant la communication entre les deux partenaires "avant, pendant et après" sa mise en oeuvre. Les participants à l'atelier en question ont, en outre, suggéré la mise en place d'un "réseau de compétences" issues des deux pays et de favoriser la collaboration entre elles, et ce, pour l'intérêt des deux partenaires. Au terme de la lecture des recommandations, le directeur général de l'Agence nationale de gestion des réalisations et d'équipement des établissements de santé (Arees), Lazhar Bounafa, a exhorté, en sa qualité de co-organiseur de ces journées, les différents intervenants dans le domaine de la santé, aussi bien algériens que français, à améliorer l'esprit de "compétitivité" et d'"innovation", ainsi que l'exploitation des opportunités de développement de la médecine à, distance, considérée comme moyen innovant permettant d'accéder aux soins et de résoudre l'écueil de la distance géographique qui pénalise parfois les patients.