Les "évènements du 11 Décembre 1960 ont raffermi les liens entre le peuple algérien et sa Révolution", a souligné le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, relevant que les manifestations organisées à l'occasion ont été un soulèvement populaire contre le colonialisme et sa politique destructrice. Les "évènements du 11 Décembre 1960 ont raffermi les liens entre le peuple algérien et sa Révolution", a souligné le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, relevant que les manifestations organisées à l'occasion ont été un soulèvement populaire contre le colonialisme et sa politique destructrice. Ces "évènements étaient une preuve tangible de l'adhésion de la population à la lutte pour l'indépendance et son soutien au FLN", a indiqué Zitouni qui donnait le coup d'envoi du Festival national de la poésie populaire et du chant bédoui organisé dans le sillage de la commémoration du 55e anniversaire des événements du 11 Décembre 1960. Il a, dans ce cadre, rendu hommage aux hommes, aux femmes et aux enfants qui avaient, à l'époque, investi la rue pour exprimer fermement leur attachement aux valeurs de Novembre 54, bravant les forces coloniales qui leur faisaient barrage. "En dépit des moyens utilisés par le colonisateur français pour étouffer toute velléité de rébellion, le peuple s'est levé tel un seul homme pour signifier son refus au colonialisme et crier haut et fort son attachement à recouvrer sa liberté", a-t-il soutenu. Notant que la génération de Novembre 54 s'est forgée à l'école du nationalisme qui comptait d'illustres moudjahidine, il a invité la jeunesse à "s'imprégner des idéaux de ses prédécesseurs pour relever les défis de l'ère contemporaine". Il a estimé que la reconquête par l'Algérie de sa place sur la scène régionale et internationale ainsi que les efforts entrepris pour l'amélioration de l'aspect socio-économique du citoyen constituent autant d'indices révélateurs des progrès accomplis par le pays. "Si les martyrs se sont sacrifiés, c'est assurément pour que le peuple vive dans la liberté et la prospérité", a affirmé le ministre, faisant remarquer que "le devoir de fidélité envers nos glorieux prédécesseurs exige de tout un chacun de contribuer pleinement au développement du pays". Auparavant, le ministre des Moudjahidine s'était rendu au Musée communal du moudjahid de Aïn-Defla, offrant notamment un certain nombre d'ouvrages édités par son département. Il a, à cette occasion, invité les responsables du musée d'en faire un établissement de culture et d'histoire "ambulant" afin de faire prendre connaissance, notamment aux populations des zones reculées de la wilaya, des sacrifices consentis pour le recouvrement de l'indépendance. Au centre de torture Gambo situé à la cité du Chahid- Kouadri-Belkacem dans la banlieue d'Aïn-Defla, Zitouni a suivi un exposé sur le projet d'aménagement de cet endroit comportant, notamment, la réalisation d'un camp de jeunes et la restauration des vestiges où les moudjahidine étaient torturés. "La restauration du centre de torture permettra aux futurs visiteurs du camp de jeunes de prendre connaissance des atrocités commises par le colonisateur et de se rendre compte que la liberté a été recouvrée au prix de grands sacrifices", a affirmé Zitouni. Tenant à faire un témoignage sur les barbaries commises par le colonisateur français, le moudjahid Kahlouche Moussa, dit "Gouraye", a affirmé avoir fait sortir du camp un détenu (Rachdi Moussa) qui allait être exécuté en l'enveloppant dans un grand sachet au milieu d'un troupeau de moutons. A la cité Hadj-Sadok, le ministre a procédé à la baptisation de la place publique du nom du martyr Abdesslam Boualem (1929-1959) et quelques centaines de mètres plus loin, une nouvelle cité du nom du martyr Belahcène Mohamed. A la fin de la première journée du Festival national de la poésie populaire et du chant bédoui, des hommages ont été rendus à des moudjahidine et à des veuves de martyrs de même que des récompenses ont été offertes aux établissements scolaires qui se sont distingués sur le plan sportif. Ces "évènements étaient une preuve tangible de l'adhésion de la population à la lutte pour l'indépendance et son soutien au FLN", a indiqué Zitouni qui donnait le coup d'envoi du Festival national de la poésie populaire et du chant bédoui organisé dans le sillage de la commémoration du 55e anniversaire des événements du 11 Décembre 1960. Il a, dans ce cadre, rendu hommage aux hommes, aux femmes et aux enfants qui avaient, à l'époque, investi la rue pour exprimer fermement leur attachement aux valeurs de Novembre 54, bravant les forces coloniales qui leur faisaient barrage. "En dépit des moyens utilisés par le colonisateur français pour étouffer toute velléité de rébellion, le peuple s'est levé tel un seul homme pour signifier son refus au colonialisme et crier haut et fort son attachement à recouvrer sa liberté", a-t-il soutenu. Notant que la génération de Novembre 54 s'est forgée à l'école du nationalisme qui comptait d'illustres moudjahidine, il a invité la jeunesse à "s'imprégner des idéaux de ses prédécesseurs pour relever les défis de l'ère contemporaine". Il a estimé que la reconquête par l'Algérie de sa place sur la scène régionale et internationale ainsi que les efforts entrepris pour l'amélioration de l'aspect socio-économique du citoyen constituent autant d'indices révélateurs des progrès accomplis par le pays. "Si les martyrs se sont sacrifiés, c'est assurément pour que le peuple vive dans la liberté et la prospérité", a affirmé le ministre, faisant remarquer que "le devoir de fidélité envers nos glorieux prédécesseurs exige de tout un chacun de contribuer pleinement au développement du pays". Auparavant, le ministre des Moudjahidine s'était rendu au Musée communal du moudjahid de Aïn-Defla, offrant notamment un certain nombre d'ouvrages édités par son département. Il a, à cette occasion, invité les responsables du musée d'en faire un établissement de culture et d'histoire "ambulant" afin de faire prendre connaissance, notamment aux populations des zones reculées de la wilaya, des sacrifices consentis pour le recouvrement de l'indépendance. Au centre de torture Gambo situé à la cité du Chahid- Kouadri-Belkacem dans la banlieue d'Aïn-Defla, Zitouni a suivi un exposé sur le projet d'aménagement de cet endroit comportant, notamment, la réalisation d'un camp de jeunes et la restauration des vestiges où les moudjahidine étaient torturés. "La restauration du centre de torture permettra aux futurs visiteurs du camp de jeunes de prendre connaissance des atrocités commises par le colonisateur et de se rendre compte que la liberté a été recouvrée au prix de grands sacrifices", a affirmé Zitouni. Tenant à faire un témoignage sur les barbaries commises par le colonisateur français, le moudjahid Kahlouche Moussa, dit "Gouraye", a affirmé avoir fait sortir du camp un détenu (Rachdi Moussa) qui allait être exécuté en l'enveloppant dans un grand sachet au milieu d'un troupeau de moutons. A la cité Hadj-Sadok, le ministre a procédé à la baptisation de la place publique du nom du martyr Abdesslam Boualem (1929-1959) et quelques centaines de mètres plus loin, une nouvelle cité du nom du martyr Belahcène Mohamed. A la fin de la première journée du Festival national de la poésie populaire et du chant bédoui, des hommages ont été rendus à des moudjahidine et à des veuves de martyrs de même que des récompenses ont été offertes aux établissements scolaires qui se sont distingués sur le plan sportif.