Les nombreux hôtes de la région se mêleront aux autochtones pour assister à cette fête religieuse, qui est aussi une occasion de réjouissances, permettant à des centaines de présents de se délecter des activités culturelles et folkloriques. Les nombreux hôtes de la région se mêleront aux autochtones pour assister à cette fête religieuse, qui est aussi une occasion de réjouissances, permettant à des centaines de présents de se délecter des activités culturelles et folkloriques. Les festivités du "S'boue" du Mawlid ennabaoui echarif (anniversaire de la naissance du prophète Mohamed QSSSL), ont débuté mardi passé en début de soirée dans la nouvelle circonscription administrative de Timimoun, à 220 km au nord d'Adrar, dans une ambiance de ferveur en présence de nombreux visiteurs venus de différents coins du pays. Les adeptes et disciples, issus des zaouïas des vieux ksour de Tebelkouza, Kaddour,Ouled Ayache et d'autres encore éparpillés à travers le territoire de Timimoun, convergeront, en procession, en cette première étape des festivités, vers le vieux ksar de Massine où se trouve la zaouïa de Sidi Ahmed Benyoucef. Ils auront à animer, sur place, des veillées religieuses, lire le Saint Coran, invoquer Allah pour qu'il accorde ses bénédictions et sa protection au peuple algérien, évoquer la Sirra ennabaouia (conduite du prophète QSSSL) et les hautes valeurs et préceptes de l'Islam et exécuter des madih (chants religieux), louanges à Dieu et à son messager Mohamed (QSSSL). Les nombreux hôtes de la région se mêleront aux autochtones pour assister à cette fête religieuse, qui est aussi une occasion de réjouissances, permettant à des centaines de présents de se délecter des activités culturelles et folkloriques animées jusqu'au crépuscule aux alentours de la zaouïa par des troupes locales et d'autres venues des régions environnantes. La région de "Djebel-S'boue", une importante halte de la manifestation La procession, encore plus dense de par la participation des différentes troupes et délégations des zaouïas issues du nord du territoire de Timimoun, devra s'ébranler mercredi soir, avec tout ce qu'elle comporte comme rituels religieux, du ksar de Massine pour faire une importante halte à "Djebel-S'boue" (le mont de la semaine ou semainier) dans la même région, jouxtant le théâtre de verdure de la ville de l'Oasis rouge. L'originalité et l'authenticité demeurent au centre de ces rituels qui donnent lieu, outre aux chants et danses exécutés par les troupes de baroud, elhadra et karkabou, aux rassemblements des délégations des zaouïas, brandissant chacune son emblème symbolisant leur appartenance à la zaouia qu'ils représentent, et qui renseigne sur le degré d'importance du Savoir et de l'érudition de chaque école reconnaissable par son étendard. Aux côtés des défilés, le public sera gratifié d'une kyrielle d'activités dont des fantasias, où les cavaliers issus des différentes régions rivalisent de prouesses pour mettre en relief le patrimoine national équestre du pays. S'étalant sur une durée déterminée de quelques heures, les cavaliers de retour au vieux ksar de Massine lâchent des salves de baroud jaillissant des tromblons traditionnels signant ainsi la clôture de cette halte et permettre à l'autre, El Hofra, d'accueillir les festivités. "El-Hofra" de la zaouïa de Sidi Hadj Belkacem, une halte très appréciée Du vieux ksar de Massine, les délégations convergent enfin vers le site appelé communément "El-Hofra" (le cratère), dans la zaouïa de Sid Hadj Belkacem, flanc sud de la ville de Timimoun, où la fête bat son plein. La tradition veut que les présents à la fête, outre les membres de la procession, s'élancent, dans une ambiance compétitive, vers le "lieu sacré" qu'est El Hofra, d'où fusent en toute ferveur les louanges à Allah et à son messager Mohamed, le Sceau des prophètes QSSSL, suivis de Madih et Tahlil (chants religieux). Les cérémonies officielles du "S'boue" se poursuivent par des chants et danses exécutées sous les sons harmonieux des Tambours et Bendir, ponctués par de stridents youyous poussés par des femmes et des salves de baroud. Cet évènement cultuel et culturel qui consacre la fraternité, la paix, l'amour et la concorde entre les fils de la société, se poursuivra jusqu'au coucher du soleil pour accomplir, en plein air, la prière du Maghreb et se dévouer au rituel de louanges à Dieu et aux implorations pour que vive l'Algérie dans la paix et la quiétude. Des festivités similaires ont également marqué la célébration du S'boue du Mawlid ennabaoui echarif au niveau du vieux ksar de la zaouïa de Kounta, flanc sud de la wilaya d'Adrar, qui accueille, en cette occasion, une large affluence des visiteurs venus partager le rituel religieux dans cette région. Les festivités du "S'boue" du Mawlid ennabaoui echarif (anniversaire de la naissance du prophète Mohamed QSSSL), ont débuté mardi passé en début de soirée dans la nouvelle circonscription administrative de Timimoun, à 220 km au nord d'Adrar, dans une ambiance de ferveur en présence de nombreux visiteurs venus de différents coins du pays. Les adeptes et disciples, issus des zaouïas des vieux ksour de Tebelkouza, Kaddour,Ouled Ayache et d'autres encore éparpillés à travers le territoire de Timimoun, convergeront, en procession, en cette première étape des festivités, vers le vieux ksar de Massine où se trouve la zaouïa de Sidi Ahmed Benyoucef. Ils auront à animer, sur place, des veillées religieuses, lire le Saint Coran, invoquer Allah pour qu'il accorde ses bénédictions et sa protection au peuple algérien, évoquer la Sirra ennabaouia (conduite du prophète QSSSL) et les hautes valeurs et préceptes de l'Islam et exécuter des madih (chants religieux), louanges à Dieu et à son messager Mohamed (QSSSL). Les nombreux hôtes de la région se mêleront aux autochtones pour assister à cette fête religieuse, qui est aussi une occasion de réjouissances, permettant à des centaines de présents de se délecter des activités culturelles et folkloriques animées jusqu'au crépuscule aux alentours de la zaouïa par des troupes locales et d'autres venues des régions environnantes. La région de "Djebel-S'boue", une importante halte de la manifestation La procession, encore plus dense de par la participation des différentes troupes et délégations des zaouïas issues du nord du territoire de Timimoun, devra s'ébranler mercredi soir, avec tout ce qu'elle comporte comme rituels religieux, du ksar de Massine pour faire une importante halte à "Djebel-S'boue" (le mont de la semaine ou semainier) dans la même région, jouxtant le théâtre de verdure de la ville de l'Oasis rouge. L'originalité et l'authenticité demeurent au centre de ces rituels qui donnent lieu, outre aux chants et danses exécutés par les troupes de baroud, elhadra et karkabou, aux rassemblements des délégations des zaouïas, brandissant chacune son emblème symbolisant leur appartenance à la zaouia qu'ils représentent, et qui renseigne sur le degré d'importance du Savoir et de l'érudition de chaque école reconnaissable par son étendard. Aux côtés des défilés, le public sera gratifié d'une kyrielle d'activités dont des fantasias, où les cavaliers issus des différentes régions rivalisent de prouesses pour mettre en relief le patrimoine national équestre du pays. S'étalant sur une durée déterminée de quelques heures, les cavaliers de retour au vieux ksar de Massine lâchent des salves de baroud jaillissant des tromblons traditionnels signant ainsi la clôture de cette halte et permettre à l'autre, El Hofra, d'accueillir les festivités. "El-Hofra" de la zaouïa de Sidi Hadj Belkacem, une halte très appréciée Du vieux ksar de Massine, les délégations convergent enfin vers le site appelé communément "El-Hofra" (le cratère), dans la zaouïa de Sid Hadj Belkacem, flanc sud de la ville de Timimoun, où la fête bat son plein. La tradition veut que les présents à la fête, outre les membres de la procession, s'élancent, dans une ambiance compétitive, vers le "lieu sacré" qu'est El Hofra, d'où fusent en toute ferveur les louanges à Allah et à son messager Mohamed, le Sceau des prophètes QSSSL, suivis de Madih et Tahlil (chants religieux). Les cérémonies officielles du "S'boue" se poursuivent par des chants et danses exécutées sous les sons harmonieux des Tambours et Bendir, ponctués par de stridents youyous poussés par des femmes et des salves de baroud. Cet évènement cultuel et culturel qui consacre la fraternité, la paix, l'amour et la concorde entre les fils de la société, se poursuivra jusqu'au coucher du soleil pour accomplir, en plein air, la prière du Maghreb et se dévouer au rituel de louanges à Dieu et aux implorations pour que vive l'Algérie dans la paix et la quiétude. Des festivités similaires ont également marqué la célébration du S'boue du Mawlid ennabaoui echarif au niveau du vieux ksar de la zaouïa de Kounta, flanc sud de la wilaya d'Adrar, qui accueille, en cette occasion, une large affluence des visiteurs venus partager le rituel religieux dans cette région.