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L'entraîneur ne sait plus à quel saint se vouer
Ligue 1 : la question des deux licences continue à animer les débats
Publié dans Le Midi Libre le 16 - 03 - 2016

La question de la limitation des licences à deux seulement pour les entraîneurs pendant la même saison continue à animer les débats des spécialistes en la matière.
La question de la limitation des licences à deux seulement pour les entraîneurs pendant la même saison continue à animer les débats des spécialistes en la matière.
Après le cas de Aziz Abbès, qui s'est engagé avec le CA Bordj Bou- Arréridj sans licence, voilà Kamel Mouassa qui devait signer, hier, à la JS Kabylie jusqu'à la fin de la saison mais sans licence d'entraîneur. Les débats sur la question de la limitation des licences pour les entraîneurs. Kamel Mouassa, qui a puisé ses deux licences cette saison avec l'ASMO et le MC El Eulma, ne peut pas signer de contrat en tant qu'entraîneur à la JS Kabylie. Mouassa a été installé en tant que coordinateur en attendant de trouver une solution.
Ce qui va lui permettre de diriger son équipe lors de ses matchs en championnat. Cette situation a vite fait le tour de l'horizon et les specialistes en la matière étaient tous unanimes à refuser cette décision prise par la fédération et qui, selon-eux, ne change rien dans le football algérien.
Ces derniers considèrent que l'entraîneur reste toujours la victime alors qu'il n'est pas souvent responsable de son départ, puisque à la moindre pression du public, l'entraîneur est remercié. Le cas de l'entraîneur Meziane Ighil a été limogé par le Mouloudia suite à la pression des supporters.
Les résultats du club n'étaient pas décevants, mais les inconditionnels ne voulaient pas de lui. Face à l'agitation des inconditionnels, les responsables du club ne trouvent aucune autre solution que de mettre fin aux fonctions de leurs entraîneurs pour calmer les esprits.
À travers cette décision de limiter les licences à deux seulement chaque saison, les responsables du football algérien veulent diminuer les va-et- vient des entraîneurs ce qui permettra de retrouver une certaine stabilité. Mais les concernés montent au créneau et refusent catégoriquement cette décision. Pour eux, même le club doit être soumis à la même règle pour se partager les responsabilités et surtout la pression. Mais la réalité du terrain est toute autre.
C'est toujours l'entraîneur qui travaille avec la peur au ventre et c'est lui qui constitue l'éternelle cible des présidents de clubs. Mis à part un où deux clubs qui ont conservé leurs entraîneurs depuis l'entame de cette saison, tout le monde a changé au moins une fois le staff technique. Les entraîneurs ne savent plus à quel saint se vouer.
Après le cas de Aziz Abbès, qui s'est engagé avec le CA Bordj Bou- Arréridj sans licence, voilà Kamel Mouassa qui devait signer, hier, à la JS Kabylie jusqu'à la fin de la saison mais sans licence d'entraîneur. Les débats sur la question de la limitation des licences pour les entraîneurs. Kamel Mouassa, qui a puisé ses deux licences cette saison avec l'ASMO et le MC El Eulma, ne peut pas signer de contrat en tant qu'entraîneur à la JS Kabylie. Mouassa a été installé en tant que coordinateur en attendant de trouver une solution.
Ce qui va lui permettre de diriger son équipe lors de ses matchs en championnat. Cette situation a vite fait le tour de l'horizon et les specialistes en la matière étaient tous unanimes à refuser cette décision prise par la fédération et qui, selon-eux, ne change rien dans le football algérien.
Ces derniers considèrent que l'entraîneur reste toujours la victime alors qu'il n'est pas souvent responsable de son départ, puisque à la moindre pression du public, l'entraîneur est remercié. Le cas de l'entraîneur Meziane Ighil a été limogé par le Mouloudia suite à la pression des supporters.
Les résultats du club n'étaient pas décevants, mais les inconditionnels ne voulaient pas de lui. Face à l'agitation des inconditionnels, les responsables du club ne trouvent aucune autre solution que de mettre fin aux fonctions de leurs entraîneurs pour calmer les esprits.
À travers cette décision de limiter les licences à deux seulement chaque saison, les responsables du football algérien veulent diminuer les va-et- vient des entraîneurs ce qui permettra de retrouver une certaine stabilité. Mais les concernés montent au créneau et refusent catégoriquement cette décision. Pour eux, même le club doit être soumis à la même règle pour se partager les responsabilités et surtout la pression. Mais la réalité du terrain est toute autre.
C'est toujours l'entraîneur qui travaille avec la peur au ventre et c'est lui qui constitue l'éternelle cible des présidents de clubs. Mis à part un où deux clubs qui ont conservé leurs entraîneurs depuis l'entame de cette saison, tout le monde a changé au moins une fois le staff technique. Les entraîneurs ne savent plus à quel saint se vouer.


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