La nécessité d'ouvrir des unités de traitement de la douleur dans tous les hôpitaux du pays, a été soulignée à Alger par le professeur Nadia Fellah, chef de service d'anesthésie et de réanimation au CHU Lamine- Debaghine (ex-Maillot) à Bab El-Oued. La nécessité d'ouvrir des unités de traitement de la douleur dans tous les hôpitaux du pays, a été soulignée à Alger par le professeur Nadia Fellah, chef de service d'anesthésie et de réanimation au CHU Lamine- Debaghine (ex-Maillot) à Bab El-Oued. Intervenant lors d'une rencontre sur la prise en charge de la douleur, la spécialiste a indiqué qu'il n'existe actuellement que quatre unités de ce genre. Il s'agit, a-t-elle rappelé, des centres Pierre et Marie Curie (CPMC-CHU Mustapha - Alger), de Bab El-Oued et les unités des hôpitaux d'Oran et de Batna. Elle a appelé, dans ce sens, à l'ouverture de ce genre de centre pour alléger les souffrances des malades. De son côté, le professeur Gérard Mec, spécialiste en neurologie en France, est revenu sur les deux types de douleur. Il s'agit, a-t-il précisé, de la douleur aiguë qui nécessite le transfert du patient à l'hôpital, et la douleur due aux maladies chroniques comme le diabète et l'arthrose. Mme Fellah a estimé, par ailleurs, que la formation dans les facultés de médecine algérienne n'accorde pas suffisamment d'importance au traitement de la douleur, ajoutant que les connaissances dans ce domaine sont acquises seulement à travers la participation de médecins dans les séminaires. Elle a appelé à l'introduction de cette matière dans le cursus des études médicales pour assurer une meilleure prise en charge de la douleur chez les patients. Le médecin généraliste doit avoir, a-telle insisté, des notions dans le domaine de traitement de la douleur, car il est la première destination du malade. Intervenant lors d'une rencontre sur la prise en charge de la douleur, la spécialiste a indiqué qu'il n'existe actuellement que quatre unités de ce genre. Il s'agit, a-t-elle rappelé, des centres Pierre et Marie Curie (CPMC-CHU Mustapha - Alger), de Bab El-Oued et les unités des hôpitaux d'Oran et de Batna. Elle a appelé, dans ce sens, à l'ouverture de ce genre de centre pour alléger les souffrances des malades. De son côté, le professeur Gérard Mec, spécialiste en neurologie en France, est revenu sur les deux types de douleur. Il s'agit, a-t-il précisé, de la douleur aiguë qui nécessite le transfert du patient à l'hôpital, et la douleur due aux maladies chroniques comme le diabète et l'arthrose. Mme Fellah a estimé, par ailleurs, que la formation dans les facultés de médecine algérienne n'accorde pas suffisamment d'importance au traitement de la douleur, ajoutant que les connaissances dans ce domaine sont acquises seulement à travers la participation de médecins dans les séminaires. Elle a appelé à l'introduction de cette matière dans le cursus des études médicales pour assurer une meilleure prise en charge de la douleur chez les patients. Le médecin généraliste doit avoir, a-telle insisté, des notions dans le domaine de traitement de la douleur, car il est la première destination du malade.