La Journée nationale de l'étudiant est célébrée cette année dans un contexte marqué par la constitutionnalisation des libertés académiques et de la liberté de recherche scientifique afin que l'université puisse participer pleinement à l'effort de développement durable du pays. La Journée nationale de l'étudiant est célébrée cette année dans un contexte marqué par la constitutionnalisation des libertés académiques et de la liberté de recherche scientifique afin que l'université puisse participer pleinement à l'effort de développement durable du pays. La promotion de la recherche scientifique et du développement des technologies a été érigée en priorité par l'Etat dans la perspective de réunir les conditions d'un développement durable et de diversifier l'économie nationale et mettre fin à sa dépendance aux hydrocarbures. A la faveur de la Constitution amendée en février 2016, qui a constitutionnalisé, dans son article 44, les libertés académiques et la liberté de la recherche scientifique, un Conseil national de la recherche scientifique et des technologies a été créé. L'article 207 de la Loi fondamentale stipule que le Conseil a pour mission, notamment, de "promouvoir la recherche nationale dans les domaines de l'innovation technologique et scientifique et de proposer les mesures permettant le développement des capacités nationales de recherchedéveloppement". Sa mission consiste également à "évaluer l'efficience des dispositifs nationaux de valorisation des résultats de la recherche au profit de l'économie nationale dans le cadre du développement durable". L'institution de ce Conseil fait suite à l'installation en novembre 2015 de l'Académie des sciences et des technologies d'Algérie (Asta). L'Asta est composée de 46 membres fondateurs (noyau constitutif), dont 11 femmes et 6 membres issus de la communauté algérienne établie à l'étranger, sélectionnés par un jury international. A terme, elle atteindra un total de 200 membres. L'Académie englobe 9 spécialités, dont les mathématiques, la chimie, la physique, les sciences médicales et les technologies de l'information. En tant que haute autorité scientifique du pays, l'Asta a pour mission de "concourir au développement des sciences et de leurs applications, de conseiller les autorités gouvernementales dans ce domaine vital et de servir d'interface avec les instances scientifiques internationales". Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait souligné que "l'Algérie, qui investit tant dans l'éducation et la formation de ses enfants que dans la recherche scientifique, attend des compétences nationales siégeant dans cette académie de faire avancer davantage encore le pays sur la voie des sciences et des technologies, véritables atouts d'un développement puissant dans tous les domaines". L'Algérie, qui ne disposait à l'indépendance que d'une seule université, en l'occurrence celle d'Alger, avec un effectif de 800 étudiants, est passée en 2016 à un nombre de 107 établissements universitaires accueillant près de 1,5 million d'étudiants. Quelque 100.000 nouvelles places pédagogiques et plus de 55.000 lits devraient être réceptionnés à la prochaine rentrée universitaire, selon le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. La promotion de la recherche scientifique et du développement des technologies a été érigée en priorité par l'Etat dans la perspective de réunir les conditions d'un développement durable et de diversifier l'économie nationale et mettre fin à sa dépendance aux hydrocarbures. A la faveur de la Constitution amendée en février 2016, qui a constitutionnalisé, dans son article 44, les libertés académiques et la liberté de la recherche scientifique, un Conseil national de la recherche scientifique et des technologies a été créé. L'article 207 de la Loi fondamentale stipule que le Conseil a pour mission, notamment, de "promouvoir la recherche nationale dans les domaines de l'innovation technologique et scientifique et de proposer les mesures permettant le développement des capacités nationales de recherchedéveloppement". Sa mission consiste également à "évaluer l'efficience des dispositifs nationaux de valorisation des résultats de la recherche au profit de l'économie nationale dans le cadre du développement durable". L'institution de ce Conseil fait suite à l'installation en novembre 2015 de l'Académie des sciences et des technologies d'Algérie (Asta). L'Asta est composée de 46 membres fondateurs (noyau constitutif), dont 11 femmes et 6 membres issus de la communauté algérienne établie à l'étranger, sélectionnés par un jury international. A terme, elle atteindra un total de 200 membres. L'Académie englobe 9 spécialités, dont les mathématiques, la chimie, la physique, les sciences médicales et les technologies de l'information. En tant que haute autorité scientifique du pays, l'Asta a pour mission de "concourir au développement des sciences et de leurs applications, de conseiller les autorités gouvernementales dans ce domaine vital et de servir d'interface avec les instances scientifiques internationales". Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait souligné que "l'Algérie, qui investit tant dans l'éducation et la formation de ses enfants que dans la recherche scientifique, attend des compétences nationales siégeant dans cette académie de faire avancer davantage encore le pays sur la voie des sciences et des technologies, véritables atouts d'un développement puissant dans tous les domaines". L'Algérie, qui ne disposait à l'indépendance que d'une seule université, en l'occurrence celle d'Alger, avec un effectif de 800 étudiants, est passée en 2016 à un nombre de 107 établissements universitaires accueillant près de 1,5 million d'étudiants. Quelque 100.000 nouvelles places pédagogiques et plus de 55.000 lits devraient être réceptionnés à la prochaine rentrée universitaire, selon le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.