Si l'on se réfère aux données fournies par le ministre de l'Intérieur, Noureddine Bedoui, près de la moitié des candidats à la députation, soit 5.260 sur 12.591, n'ont même pas le Baccalauréat. Si l'on se réfère aux données fournies par le ministre de l'Intérieur, Noureddine Bedoui, près de la moitié des candidats à la députation, soit 5.260 sur 12.591, n'ont même pas le Baccalauréat. Pire, 342 d'entre eux n'ont même pas le niveau moyen et 1.099 autres n'ont pas décroché leur Brevet d'enseignement moyen. On notera également que plus d'un quart des candidats à la députation, soit 3,819 personnes ont effectué des études secondaires, mais n'ont pas décroché le Bac. Il faut dire que les données présentées par le ministre de l'Intérieur ont fait resurgir des inquiétudes maintes fois exprimées. Le manque d'instruction de ces députés potentiels peut constituer un obstacle au bon fonctionnement d'une APN souffrant déjà d'une capacité d'action très limité. Il y a eu par le passé des cas où des députés étaient incapables d'intervenir sur des projets de loi proposés par l'exécutif en raison de leur complexité. Ils les ont votés sans pour autant mesurer leur impact. Mais contrairement aux déclarations de Bedoui, le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, a de son côté affirmé que 70 % des candidats des listes de sa formation politique étaient des universitaires, soulignant que toutes les têtes de liste de son parti étaient des "militants du FLN". "Nous n'avons exclu aucun candidat parmi ceux ayant présenté des dossiers de candidature au nom du parti estimés à 6.294 dossiers", a précisé le SG du FLN lors d'une conférence de presse animée à l'issue de sa rencontre avec l'ambassadeur allemand, Michael Zenner. Il a indiqué dans ce sens que "462 candidats ont été choisis en fonction de critères objectifs dont l'adhésion au programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika et le niveau universitaire", faisant remarquer que "70 % des candidats sont des diplômés universitaires outre l'ancienneté au sein du parti". "Toutes les têtes de listes du parti, y compris celle d'Alger, représentée par Sid Ahmed Ferroukhi, sont des militants du parti", a soutenu M. Ould Abbès, ajoutant que "toutes les tentatives visant à inscrire certains personnes sur les listes du parti du FLN parmi ceux qui planifiaient de semer l'anarchie ont été vouées à l'échec". Ould Abbès a soutenu en sa qualité de SG du parti, "qu'aucun candidat ne lui a été imposé et qu'aucune personne n'est intervenue dans l'élaboration des listes en dehors de la commission des candidatures". Le SG du parti du FLN a indiqué par ailleurs que son parti a renouvelé sa confiance en 74 députés sur 217 et choisi 183 femmes candidates outre 37 secrétaires de mouhafada sur 41 et 6 membres du bureau politique. A une question sur le destin des candidats du parti qui se sont inscrits sur les listes d'autres partis, M. Ould Abbès a souligné : "Toutes les personnes dont les dossiers de candidature ont été rejetés et se sont inscrites sur les listes d'un autre parti seront exclues du parti définitivement", précisant que des "modifications ont été opérées légalement sur certaines listes du parti à l'issue du rejet de certains noms par la direction". S'agissant du recours aux pots-de-vin pour les candidatures, le SG du parti du FLN "s'est dit confiant quant au travail accompli par les services de sûreté", soulignant qu'il auditionnerait les membres du bureau politique lors d'une réunion prévu mardi dont Salima Otmani. Par ailleurs, Djamel Ould Abbès a salué la "qualité" des relations algéro-allemandes qui ont connu un développement durant les trois dernières années, notamment dans le volet économique et les énergies renouvelables, rappelant que 30.000 Algériens résidaient légalement en Allemagne et 200 entreprises allemandes activaient en Algérie. Pour sa part, l'ambassadeur d'Allemagne a qualifié de "bonnes" les relations algéro-allemandes comme en témoignent les nombreux projets communs entrepris dans plusieurs secteurs tels que les hydrocarbures, l'industrie automobile, les énergies renouvelables, la formation professionnelle et la culture. Pire, 342 d'entre eux n'ont même pas le niveau moyen et 1.099 autres n'ont pas décroché leur Brevet d'enseignement moyen. On notera également que plus d'un quart des candidats à la députation, soit 3,819 personnes ont effectué des études secondaires, mais n'ont pas décroché le Bac. Il faut dire que les données présentées par le ministre de l'Intérieur ont fait resurgir des inquiétudes maintes fois exprimées. Le manque d'instruction de ces députés potentiels peut constituer un obstacle au bon fonctionnement d'une APN souffrant déjà d'une capacité d'action très limité. Il y a eu par le passé des cas où des députés étaient incapables d'intervenir sur des projets de loi proposés par l'exécutif en raison de leur complexité. Ils les ont votés sans pour autant mesurer leur impact. Mais contrairement aux déclarations de Bedoui, le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, a de son côté affirmé que 70 % des candidats des listes de sa formation politique étaient des universitaires, soulignant que toutes les têtes de liste de son parti étaient des "militants du FLN". "Nous n'avons exclu aucun candidat parmi ceux ayant présenté des dossiers de candidature au nom du parti estimés à 6.294 dossiers", a précisé le SG du FLN lors d'une conférence de presse animée à l'issue de sa rencontre avec l'ambassadeur allemand, Michael Zenner. Il a indiqué dans ce sens que "462 candidats ont été choisis en fonction de critères objectifs dont l'adhésion au programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika et le niveau universitaire", faisant remarquer que "70 % des candidats sont des diplômés universitaires outre l'ancienneté au sein du parti". "Toutes les têtes de listes du parti, y compris celle d'Alger, représentée par Sid Ahmed Ferroukhi, sont des militants du parti", a soutenu M. Ould Abbès, ajoutant que "toutes les tentatives visant à inscrire certains personnes sur les listes du parti du FLN parmi ceux qui planifiaient de semer l'anarchie ont été vouées à l'échec". Ould Abbès a soutenu en sa qualité de SG du parti, "qu'aucun candidat ne lui a été imposé et qu'aucune personne n'est intervenue dans l'élaboration des listes en dehors de la commission des candidatures". Le SG du parti du FLN a indiqué par ailleurs que son parti a renouvelé sa confiance en 74 députés sur 217 et choisi 183 femmes candidates outre 37 secrétaires de mouhafada sur 41 et 6 membres du bureau politique. A une question sur le destin des candidats du parti qui se sont inscrits sur les listes d'autres partis, M. Ould Abbès a souligné : "Toutes les personnes dont les dossiers de candidature ont été rejetés et se sont inscrites sur les listes d'un autre parti seront exclues du parti définitivement", précisant que des "modifications ont été opérées légalement sur certaines listes du parti à l'issue du rejet de certains noms par la direction". S'agissant du recours aux pots-de-vin pour les candidatures, le SG du parti du FLN "s'est dit confiant quant au travail accompli par les services de sûreté", soulignant qu'il auditionnerait les membres du bureau politique lors d'une réunion prévu mardi dont Salima Otmani. Par ailleurs, Djamel Ould Abbès a salué la "qualité" des relations algéro-allemandes qui ont connu un développement durant les trois dernières années, notamment dans le volet économique et les énergies renouvelables, rappelant que 30.000 Algériens résidaient légalement en Allemagne et 200 entreprises allemandes activaient en Algérie. Pour sa part, l'ambassadeur d'Allemagne a qualifié de "bonnes" les relations algéro-allemandes comme en témoignent les nombreux projets communs entrepris dans plusieurs secteurs tels que les hydrocarbures, l'industrie automobile, les énergies renouvelables, la formation professionnelle et la culture.