La liaison ferroviaire reliant Alger-Tunis, sera mise en service des le mois de juillet prochain et les préparatifs vont bon train pour son lancement imminent étant donné que les essais ont déjà, été effectués ces derniers jours pour s'assurer de sa faisabilité dans des conditions de sécurité totale, apprend-on de sources bien informées. La liaison ferroviaire reliant Alger-Tunis, sera mise en service des le mois de juillet prochain et les préparatifs vont bon train pour son lancement imminent étant donné que les essais ont déjà, été effectués ces derniers jours pour s'assurer de sa faisabilité dans des conditions de sécurité totale, apprend-on de sources bien informées. Comme nous l'avons déjà annoncée dans notre précédente édition, la réouverture etait prévue initialement pour le 2 mai dernier, malheureusement en raison de tests techniques effectués, la réouverture de la ligne ferroviaire Alger-Tunis avait été reportée à une date ultérieure. D'ailleurs, à cet effet, la direction générale de la SNTF, pour sa part, a publié un communiqué le 8 mai dans lequel elle informe sa clientèle qu'«en raison de commodités techniques, la réouverture de la ligne ferroviaire Alger- Tunis est reportée à une date ultérieure». «Les conditions techniques requises n'étant pas réunies (...) nous avons constaté à la dernière minute l'existence de lacunes et nous avons décidé de reporter la réouverture de cette ligne pour régler ces points négatifs», avait révélé le directeur général de la SNTF, Yacine Bendjaballah, sur la Chaîne I de la Radio nationale. Le premier responsable de la SNTF a cité des problèmes qui relèvent de la non-conformité des infrastructures ferroviaires tunisiennes aux trains algériens, qualifiés de «plus modernes». Parmi ces problèmes figure la charge des autorails algériens, dont «le poids de la roue dépasse la capacité de support des ouvrages d'art tunisiens», ou encore «la climatisation». «On a trouvé une solution à ce problème de climatisation. En revanche, on a trouvé d'autres problèmes techniques qui nous dépassent», avait encore indiqué Yacine Bendjaballah sur les ondes de la Radio nationale. Rappelant que suite à l'accord de coopération entre l'Algérie et la Tunisie pour le développement du transport ferroviaire, il a été décidé de reprendre la ligne Alger-Tunis qui était à l'arrêt depuis 15 ans. L'exploitation commerciale de la ligne, qui débutera en juillet, se fera à raison de trois dessertes par semaine entre Annaba et Tunis, ajoute-t-on de même source, avec l'ouverture de trois points de vente de billets à Alger, Oran et Annaba. L'apport touristique ne sera pas négligeable après l'ouverture de cette ligne, très attendue par les citoyens, qui coûtera au voyageur allant d' Alger à Tunis avec une correspondance à Annaba, à quelque 5 000 DA pour un trajet parcouru en six heures. Le marché du transport en Algérie prend ainsi une importance croissante dans toutes les entreprises et dans tous les secteurs de l'économie. C'est donc un secteur en plein développement. Et surement, il sera d'un apport très important. Cependant, ce secteur sera directement lié à l'activité économique des deux pays. Outre le fret sur lequel mise la compagnie publique algérienne pour renflouer ses caisses, la liaison ferroviaire ne manquera pas de faire le bonheur des milliers d'Algériens habitués à passer leurs vacances sur les plages tunisiennes. Et pourquoi pas le retour de l'ascenseur de la part de nos voisins ? Comme nous l'avons déjà annoncée dans notre précédente édition, la réouverture etait prévue initialement pour le 2 mai dernier, malheureusement en raison de tests techniques effectués, la réouverture de la ligne ferroviaire Alger-Tunis avait été reportée à une date ultérieure. D'ailleurs, à cet effet, la direction générale de la SNTF, pour sa part, a publié un communiqué le 8 mai dans lequel elle informe sa clientèle qu'«en raison de commodités techniques, la réouverture de la ligne ferroviaire Alger- Tunis est reportée à une date ultérieure». «Les conditions techniques requises n'étant pas réunies (...) nous avons constaté à la dernière minute l'existence de lacunes et nous avons décidé de reporter la réouverture de cette ligne pour régler ces points négatifs», avait révélé le directeur général de la SNTF, Yacine Bendjaballah, sur la Chaîne I de la Radio nationale. Le premier responsable de la SNTF a cité des problèmes qui relèvent de la non-conformité des infrastructures ferroviaires tunisiennes aux trains algériens, qualifiés de «plus modernes». Parmi ces problèmes figure la charge des autorails algériens, dont «le poids de la roue dépasse la capacité de support des ouvrages d'art tunisiens», ou encore «la climatisation». «On a trouvé une solution à ce problème de climatisation. En revanche, on a trouvé d'autres problèmes techniques qui nous dépassent», avait encore indiqué Yacine Bendjaballah sur les ondes de la Radio nationale. Rappelant que suite à l'accord de coopération entre l'Algérie et la Tunisie pour le développement du transport ferroviaire, il a été décidé de reprendre la ligne Alger-Tunis qui était à l'arrêt depuis 15 ans. L'exploitation commerciale de la ligne, qui débutera en juillet, se fera à raison de trois dessertes par semaine entre Annaba et Tunis, ajoute-t-on de même source, avec l'ouverture de trois points de vente de billets à Alger, Oran et Annaba. L'apport touristique ne sera pas négligeable après l'ouverture de cette ligne, très attendue par les citoyens, qui coûtera au voyageur allant d' Alger à Tunis avec une correspondance à Annaba, à quelque 5 000 DA pour un trajet parcouru en six heures. Le marché du transport en Algérie prend ainsi une importance croissante dans toutes les entreprises et dans tous les secteurs de l'économie. C'est donc un secteur en plein développement. Et surement, il sera d'un apport très important. Cependant, ce secteur sera directement lié à l'activité économique des deux pays. Outre le fret sur lequel mise la compagnie publique algérienne pour renflouer ses caisses, la liaison ferroviaire ne manquera pas de faire le bonheur des milliers d'Algériens habitués à passer leurs vacances sur les plages tunisiennes. Et pourquoi pas le retour de l'ascenseur de la part de nos voisins ?