Le ministre de l'Intérieur espagnol, Juan Zoido, est revenu sur le décès de l'Algérien Mohammed Bouderbala dans le centre de migrants d'Archidona, rapportent plusieurs médias espagnols. Le ministre de l'Intérieur espagnol, Juan Zoido, est revenu sur le décès de l'Algérien Mohammed Bouderbala dans le centre de migrants d'Archidona, rapportent plusieurs médias espagnols. Juan Zoido a ainsi reconnu la détention de 11 mineurs dans le centre d'Archidona. Après avoir vérifié leur âge, ils ont été remis aux autorités compétentes, précise- t-il dans une déclaration rapportée par Politico.es. Sur l'affaire du migrant algérien, Mohamed Bouderbala, mort dans des conditions suspectes dans ce même centre, il s'en tient à la version du suicide, écartant toute autre allégation, notamment celle selon laquelle il aurait été tué par des policiers. Juan Zoido a accusé, dans ce sens, le défunt d'avoir mené la mutinerie qui a précédé sa mort. Pour le ministre de l'Intérieur espagnol, Archidona n'est pas un centre pénitencier. "Je comprends la colère de sa famille, mais il ne faut pas chercher les coupables là ou il n'y en a pas" a-t-il déclaré. Juan Zoido a ainsi reconnu la détention de 11 mineurs dans le centre d'Archidona. Après avoir vérifié leur âge, ils ont été remis aux autorités compétentes, précise- t-il dans une déclaration rapportée par Politico.es. Sur l'affaire du migrant algérien, Mohamed Bouderbala, mort dans des conditions suspectes dans ce même centre, il s'en tient à la version du suicide, écartant toute autre allégation, notamment celle selon laquelle il aurait été tué par des policiers. Juan Zoido a accusé, dans ce sens, le défunt d'avoir mené la mutinerie qui a précédé sa mort. Pour le ministre de l'Intérieur espagnol, Archidona n'est pas un centre pénitencier. "Je comprends la colère de sa famille, mais il ne faut pas chercher les coupables là ou il n'y en a pas" a-t-il déclaré.