La journaliste bulgare Dilyana Gaitandzhieva,connue pour sonenquête sur des livraisons d'armes occidentales auxterroristes en Syrie, a fait une autre révélationmajeure, cette fois-ciconcernant des laboratoiressecrets américains opérantsous le couvert de centres médicaux dans 25 pays du monde. Les faits exposés dans lerapport confirment le développementd'armes biologiquespar l'armée américaine. La journaliste bulgare Dilyana Gaitandzhieva,connue pour sonenquête sur des livraisons d'armes occidentales auxterroristes en Syrie, a fait une autre révélationmajeure, cette fois-ciconcernant des laboratoiressecrets américains opérantsous le couvert de centres médicaux dans 25 pays du monde. Les faits exposés dans lerapport confirment le développementd'armes biologiquespar l'armée américaine. Des experts militaires présents dans ceslaboratoires sous statutdiplomatique sont impliquésdans les études sur lesvirus les plus dangereux. Il est remarqué aussi que la plus forte concentration de ces "institutions médicales" est localisée aux frontièresavec la Chine et la Russie.Seul le territoire ukrainienabrite 11 laboratoires dont l'accès est strictement limité. Même le gouvernementdu pays ne disposepas d'informations complètessur les activités deslaboratoires, alors que Kievest obligé de transférer des copies de ses développements et des souches bactériennes pathogènes au Pentagone, selon des accords bilatéraux. Ce n'est pas étonnant qu'un taux de mortalité en raison des maladies virales telles que l'hépatite A, le choléra ou la grippe porcine soit le plus élevé dans les régions où se trouvent ces laboratoires biologiques. Pour rappel, en 2016, pendant quelques mois seulement, un virus inconnu similaire à la grippe a tué plus de 300 personnes en Ukraine. Outre des virus mortels, les spécialistes américains élaborent des méthodes de leur propagation et livraison. Ainsi, au printemps 2017, les habitants de la Tchétchénie ont vu un drone disperser de la poudre blanche à la frontière avec la Géorgie. De plus, les chercheurs libèrent des insectes infectés qui provoquent ensuite des maladies contagieuses, voire mortelles parmi la population locale. Plusieurs cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo ont été signalés, en effet, en Géorgie bien que cette maladie ne soit typique que pour des pays d'Afrique centrale.Les laboratoires biologiques sont parrainés par l'Agence de réduction des menaces (Defense threat reduction agency, DTRA). Les entrepreneurs principauxqui assurent la construction et l'équipement des installations sontdes entreprises américaines privées comme Southern Research Institute, CH2M Hill, Battelle et Metabiota.Malheureusement, le rapport de Dilyana Gaitandzhieva est passé inaperçu. De surcroît, les participants à la conférence sur la biosécurité, tenue début mars au Parlementeuropéen, ont ignoré cesujet sensible. Le porteparole du Département américain de la santé, Robert Kadlec, a été incapable de répondre aux questions épineuses de la journaliste et a semblé extrêmement confus. Il est difficile d'imaginer que dans quelques années, des scènes de films hollywoodiens sur la mutationdes gens et de terribles épidémies virales soient une réalité. Des experts militaires présents dans ceslaboratoires sous statutdiplomatique sont impliquésdans les études sur lesvirus les plus dangereux. Il est remarqué aussi que la plus forte concentration de ces "institutions médicales" est localisée aux frontièresavec la Chine et la Russie.Seul le territoire ukrainienabrite 11 laboratoires dont l'accès est strictement limité. Même le gouvernementdu pays ne disposepas d'informations complètessur les activités deslaboratoires, alors que Kievest obligé de transférer des copies de ses développements et des souches bactériennes pathogènes au Pentagone, selon des accords bilatéraux. Ce n'est pas étonnant qu'un taux de mortalité en raison des maladies virales telles que l'hépatite A, le choléra ou la grippe porcine soit le plus élevé dans les régions où se trouvent ces laboratoires biologiques. Pour rappel, en 2016, pendant quelques mois seulement, un virus inconnu similaire à la grippe a tué plus de 300 personnes en Ukraine. Outre des virus mortels, les spécialistes américains élaborent des méthodes de leur propagation et livraison. Ainsi, au printemps 2017, les habitants de la Tchétchénie ont vu un drone disperser de la poudre blanche à la frontière avec la Géorgie. De plus, les chercheurs libèrent des insectes infectés qui provoquent ensuite des maladies contagieuses, voire mortelles parmi la population locale. Plusieurs cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo ont été signalés, en effet, en Géorgie bien que cette maladie ne soit typique que pour des pays d'Afrique centrale.Les laboratoires biologiques sont parrainés par l'Agence de réduction des menaces (Defense threat reduction agency, DTRA). Les entrepreneurs principauxqui assurent la construction et l'équipement des installations sontdes entreprises américaines privées comme Southern Research Institute, CH2M Hill, Battelle et Metabiota.Malheureusement, le rapport de Dilyana Gaitandzhieva est passé inaperçu. De surcroît, les participants à la conférence sur la biosécurité, tenue début mars au Parlementeuropéen, ont ignoré cesujet sensible. Le porteparole du Département américain de la santé, Robert Kadlec, a été incapable de répondre aux questions épineuses de la journaliste et a semblé extrêmement confus. Il est difficile d'imaginer que dans quelques années, des scènes de films hollywoodiens sur la mutationdes gens et de terribles épidémies virales soient une réalité.