Le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale oeuvre à mettre en place un code de travail intégré qui sert l'économie nationale et préserve les droits des travailleurs et des employeurs... Le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale oeuvre à mettre en place un code de travail intégré qui sert l'économie nationale et préserve les droits des travailleurs et des employeurs... C'est ce qu'a indiqué jeudi le ministre,Mourad Zemali, enmarge de sa visite d'inspectionet de travail dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès.Soulignant que "la précipitationdans cette oeuvre n'est pas utile" le ministredu Travail, de l'Emploi etde la Sécurité sociale a expliqué que le code du travail ne concerne pas uniquement le gouvernement,déclarant qu'"il doit yavoir un consensus des employeurs, des syndicats des travailleurs et du gouvernement.Ce à quoi nous oeuvrons actuellement". M. Zemali a affirmé, enoutre, que "l'Algérie n'apas de vide juridique dans ce domaine, rappelant qu'elle (l'Algérie) possède un arsenal juridique qui a permis la mise en place d'une pluralité syndicalequi comprend 101 associationssyndicales, 65 associations des travailleurs et36 autres concernant les employeurs". "La question qui se poseactuellement est de réfléchirsur la manière d'adapterles lois actuellesaudéveloppement que connaît actuellement le monde du travail avec l'avènement du numérique et autres", a-t-il souligné dans ce contexte. Au sujet d'une éventuellereconversion du Forum des chefs d'entreprises en uneinstance syndicale,le ministre a déclaré "cetteassociation est en contact avec nous et nous leur avons expliqué les lois. Les choses se déroulent de manière normaleet quiconquerespecte les lois est protégé par la Constitution". Pour ce qui est de l'élaboration de la liste des travaux pénibles, M. Zemali a indiqué qu'un comité technique composéd'experts planche sur la question pour déterminer les modalités de classementdes travaux pénibles. "Une fois son travail achevé, lesdifférents partenairessociaux et les instances, concernées seront consultés à ce sujet", a-t-il ajouté. Le ministre a visité le chantier deréalisation d'un centred'appareillages. Centred'envergure régionale qui devra satisfaire les besoinsde six wilayas dans le domaine. Il a insisté, surplace, sur la nécessité derespecter les délais delivraison du projet, en raisonde l'importance de cettestructure.M. Zemali a également inspecté la direction de la Cnasoù il a, à l'occasion, procédéà la remise de fauteuils roulants électriques à despersonnes aux besoins spécifiques.L'agence de la Caisse nationalederetraite a constituéla dernière étape de la visite ministérielle où M. Zemalia rappelé le "déficit financier,dont souffre la Caisseet la situation critique qui en résulte (pour la caisse)". Le ministre a estimé, à ce propos, qu'"il est inconcevablede revenir au mode de retraite à moins de 60 ans", insistant sur la nécessité desensibiliser les citoyens sur cette question et, en premierlieu, les travailleurs. C'est ce qu'a indiqué jeudi le ministre,Mourad Zemali, enmarge de sa visite d'inspectionet de travail dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès.Soulignant que "la précipitationdans cette oeuvre n'est pas utile" le ministredu Travail, de l'Emploi etde la Sécurité sociale a expliqué que le code du travail ne concerne pas uniquement le gouvernement,déclarant qu'"il doit yavoir un consensus des employeurs, des syndicats des travailleurs et du gouvernement.Ce à quoi nous oeuvrons actuellement". M. Zemali a affirmé, enoutre, que "l'Algérie n'apas de vide juridique dans ce domaine, rappelant qu'elle (l'Algérie) possède un arsenal juridique qui a permis la mise en place d'une pluralité syndicalequi comprend 101 associationssyndicales, 65 associations des travailleurs et36 autres concernant les employeurs". "La question qui se poseactuellement est de réfléchirsur la manière d'adapterles lois actuellesaudéveloppement que connaît actuellement le monde du travail avec l'avènement du numérique et autres", a-t-il souligné dans ce contexte. Au sujet d'une éventuellereconversion du Forum des chefs d'entreprises en uneinstance syndicale,le ministre a déclaré "cetteassociation est en contact avec nous et nous leur avons expliqué les lois. Les choses se déroulent de manière normaleet quiconquerespecte les lois est protégé par la Constitution". Pour ce qui est de l'élaboration de la liste des travaux pénibles, M. Zemali a indiqué qu'un comité technique composéd'experts planche sur la question pour déterminer les modalités de classementdes travaux pénibles. "Une fois son travail achevé, lesdifférents partenairessociaux et les instances, concernées seront consultés à ce sujet", a-t-il ajouté. Le ministre a visité le chantier deréalisation d'un centred'appareillages. Centred'envergure régionale qui devra satisfaire les besoinsde six wilayas dans le domaine. Il a insisté, surplace, sur la nécessité derespecter les délais delivraison du projet, en raisonde l'importance de cettestructure.M. Zemali a également inspecté la direction de la Cnasoù il a, à l'occasion, procédéà la remise de fauteuils roulants électriques à despersonnes aux besoins spécifiques.L'agence de la Caisse nationalederetraite a constituéla dernière étape de la visite ministérielle où M. Zemalia rappelé le "déficit financier,dont souffre la Caisseet la situation critique qui en résulte (pour la caisse)". Le ministre a estimé, à ce propos, qu'"il est inconcevablede revenir au mode de retraite à moins de 60 ans", insistant sur la nécessité desensibiliser les citoyens sur cette question et, en premierlieu, les travailleurs.