Le compte à rebours pourl'élection présidentielle est certes lancé, mais l'actualitémarque de manièreincontestable un tournantdécisif pour plusieurs partispolitiques pour annoncer leurintention de disputer le scrutin ou non lors de la tenue de leurs congrès. Le compte à rebours pourl'élection présidentielle est certes lancé, mais l'actualitémarque de manièreincontestable un tournantdécisif pour plusieurs partispolitiques pour annoncer leurintention de disputer le scrutin ou non lors de la tenue de leurs congrès. C'est le cas du Front El Moustakbal qui s'apprête à tenir le sien, lesecond du genre, durant les journéesdes 28 et 29 septembre à Alger, a-tonappris auprès de Raouf Maâmri."L'occasion, dira-t-il, avant tout, vise à instaurer de nouvelles traditions pour une pratique réelle de la démocratie au sein dela formation". Les préparatifs s'accélèrent et les réunions se multiplient au niveau du siège du parti situé à Kouba(Alger), pour réussir l'accueil, le jour "J", descongressistes et invités de marque, pour laséance d'ouverture du 2e congrès national duparti. Selon toujours le chargé de communicationdu parti, un des principaux points inscrits à l'ordre du jour porte sur laparticipation ou non du parti d'Abdelaziz Belaïdà la prochaine élection présidentielle de 2019. Cette question sera ainsisoumise à l'appréciation des congressistes dont le nombre avoisine les 1.200. Ilfautsouligner, au passage, que le parti de Belaïd Abdelaziz qui n'a pas pris part auxprécédentesinitiatives de l'opposition fait généralement, cavalier seul. En effet, parmi lesderniers arrivés sur la scène politique, ce parti a, néanmoins réussi la gageure deplacer plusieurs députés à l'Assemblée populaire nationale, lors des dernières électionslégislatives. D'ailleurs, la famille duFront El Moustakbel, s'est félicitée de ces résultats obtenus, estimant que "cesderniers sont dus au discours réaliste adoptépar le parti et à son programme qui répondaux espérances et aspirations des catégoriessociales, notamment les jeunes, étant la première force de la société". Il est à rappeler que le président du partiEl-Moustakbal a été parmi les six candidats ayant participé à la présidentielle de 2014.À l'issue de ce même scrutin, le président de la jeune formation s'en est sorti avec un score plutôt honorable, pour ne pasdire qu'il a créé la surprise, puisqu'il a occupé la troisième place en matière desuffragesobtenus, devançant la candidate du PT,ceux d'Ahd 54 et du FNA. À rappeler aussique la participation d'AbdelazizBelaïd à la présidentielle de 2014 a été validée, à l'issue d'un congrès extraordinaire du parti tenu en décembre 2013. Àpropos du prochain congrès qu'abriteral'école supérieure d'hôtellerie d'Aïn-Benian à Alger, en sus de la question liéeà la présidentielle de 2019, il sera procédé à la présentation du nouveau programme du parti, l'oeuvre d'experts et despécialistes dans divers domaines de laviepublique. Ce deuxième congrès s'annonce comme une véritable métamorphose pource jeune parti qui nourrit l'ambition de revoir de fond en comble tout l'aspect lié au chapitre organisationnel, mais aussi en termes de programmed'action vraisemblablement complément révisé. C'est le cas du Front El Moustakbal qui s'apprête à tenir le sien, lesecond du genre, durant les journéesdes 28 et 29 septembre à Alger, a-tonappris auprès de Raouf Maâmri."L'occasion, dira-t-il, avant tout, vise à instaurer de nouvelles traditions pour une pratique réelle de la démocratie au sein dela formation". Les préparatifs s'accélèrent et les réunions se multiplient au niveau du siège du parti situé à Kouba(Alger), pour réussir l'accueil, le jour "J", descongressistes et invités de marque, pour laséance d'ouverture du 2e congrès national duparti. Selon toujours le chargé de communicationdu parti, un des principaux points inscrits à l'ordre du jour porte sur laparticipation ou non du parti d'Abdelaziz Belaïdà la prochaine élection présidentielle de 2019. Cette question sera ainsisoumise à l'appréciation des congressistes dont le nombre avoisine les 1.200. Ilfautsouligner, au passage, que le parti de Belaïd Abdelaziz qui n'a pas pris part auxprécédentesinitiatives de l'opposition fait généralement, cavalier seul. En effet, parmi lesderniers arrivés sur la scène politique, ce parti a, néanmoins réussi la gageure deplacer plusieurs députés à l'Assemblée populaire nationale, lors des dernières électionslégislatives. D'ailleurs, la famille duFront El Moustakbel, s'est félicitée de ces résultats obtenus, estimant que "cesderniers sont dus au discours réaliste adoptépar le parti et à son programme qui répondaux espérances et aspirations des catégoriessociales, notamment les jeunes, étant la première force de la société". Il est à rappeler que le président du partiEl-Moustakbal a été parmi les six candidats ayant participé à la présidentielle de 2014.À l'issue de ce même scrutin, le président de la jeune formation s'en est sorti avec un score plutôt honorable, pour ne pasdire qu'il a créé la surprise, puisqu'il a occupé la troisième place en matière desuffragesobtenus, devançant la candidate du PT,ceux d'Ahd 54 et du FNA. À rappeler aussique la participation d'AbdelazizBelaïd à la présidentielle de 2014 a été validée, à l'issue d'un congrès extraordinaire du parti tenu en décembre 2013. Àpropos du prochain congrès qu'abriteral'école supérieure d'hôtellerie d'Aïn-Benian à Alger, en sus de la question liéeà la présidentielle de 2019, il sera procédé à la présentation du nouveau programme du parti, l'oeuvre d'experts et despécialistes dans divers domaines de laviepublique. Ce deuxième congrès s'annonce comme une véritable métamorphose pource jeune parti qui nourrit l'ambition de revoir de fond en comble tout l'aspect lié au chapitre organisationnel, mais aussi en termes de programmed'action vraisemblablement complément révisé.