Au Front des forces socialistes (FFS) il semble fort bien qu'on estloin du discours rassembleur qui aété prêché après la fin des travauxdu dernier congrès extraordinairequi a vu la liste conduite par AliLaskri pour le renouvellement de l'Instance présidentielle (IP) l'emporter largement devant le camp adverse Au Front des forces socialistes (FFS) il semble fort bien qu'on estloin du discours rassembleur qui aété prêché après la fin des travauxdu dernier congrès extraordinairequi a vu la liste conduite par AliLaskri pour le renouvellement de l'Instance présidentielle (IP) l'emporter largement devant le camp adverse Après la fin des travaux, en effet, les deux camps protagonistes de cettegrande crise interne qui a failli faireimploser le plus vieux parti de l'oppositionont tenu des discours où le principalleitmotiv était l'unité des rangs. Maisforce est de constater que les choses ne sepassent pas comme annoncé. Preuve en estle discours tenu par le premier secrétaire duFFS, Hadj Djilani, dans lequel il a implicitementfustigé le camp adverse, et ce unpeu plus d'un mois après le dernierconclave. De plus, le changement opéré àla tête du groupe parlementaire du parti àl'APN a aussi révélé que les tiraillementsinternes persistent encore. "Le FFS a étésoumis à toutes sortes de manipulations etde complots destinés à le réduire à un simpleappareil contrôlable et récupérable" aen effet indiqué Mohamed hadj Djilani. Pour tous les observateurs il était évident que le propos du premier secrétaire du parti visait le camp adverse, que d'aucuns appellent le "cabinet noir" et qui est animé par les Baloul. La tirade du premier secrétaire du FFS est lourde de sens dans la mesure où il est reproché à ceux qui étaientaux commandes d'avoir voulu instrumentaliser le parti à des fins étroites très loin des aspirations des militants. En utilisant le mot "complot" Hadj Djilani, dont l discours reflétait incontestablement la position d'Ai Laskri, le nouvel homme fort du parti, est allé encore très loin car c'est là une accusation très lourde de sens. En d'autres mots le "cabinet noir" n'était pas au service du parti mais oeuvrait, au contraire, contre ses intérêts. "Mais, grâce à la vigilance et à la solidarité de sa base militante responsable et à son crédit auprès de la population, il a pu prendre des décisions salvatrices et préserver son autonomie, sa vision et ses principes" dira encore Hadj Djilani. Un clin d'oeil aux militants fait certainement pour préserver l'avenir, le parti tiendra normalement son prochain congrès ordinaire en 2019. Cette pique de Hadj Djilani est révélatrice de la situation qui prévaut au FFS. D'ailleurs la nouvelle direction incarnée par l'IP a procédé il y a quelques jours à la nomination d'un nouveau chef du groupe parlementaire duparti à l'APN en remplacement de Chaffa Bouaiche qui occupait ce poste depuis plusieurs années. "Je viens de l'apprendre par Facebook" a alors écrit Bouaiche sur son compte. Comme quoi ce que vient de faire l'IP est immoral. Cela traduit incontestablementl'existence d'un climat délétère au sein de ce parti. Les tiraillements internes persistent encore et seront le lot du FFS dans les prochains mois et certainement jusqu'au prochain congrès ordinaire. Des tiraillements qui menaceraient même son unité. Après la fin des travaux, en effet, les deux camps protagonistes de cettegrande crise interne qui a failli faireimploser le plus vieux parti de l'oppositionont tenu des discours où le principalleitmotiv était l'unité des rangs. Maisforce est de constater que les choses ne sepassent pas comme annoncé. Preuve en estle discours tenu par le premier secrétaire duFFS, Hadj Djilani, dans lequel il a implicitementfustigé le camp adverse, et ce unpeu plus d'un mois après le dernierconclave. De plus, le changement opéré àla tête du groupe parlementaire du parti àl'APN a aussi révélé que les tiraillementsinternes persistent encore. "Le FFS a étésoumis à toutes sortes de manipulations etde complots destinés à le réduire à un simpleappareil contrôlable et récupérable" aen effet indiqué Mohamed hadj Djilani. Pour tous les observateurs il était évident que le propos du premier secrétaire du parti visait le camp adverse, que d'aucuns appellent le "cabinet noir" et qui est animé par les Baloul. La tirade du premier secrétaire du FFS est lourde de sens dans la mesure où il est reproché à ceux qui étaientaux commandes d'avoir voulu instrumentaliser le parti à des fins étroites très loin des aspirations des militants. En utilisant le mot "complot" Hadj Djilani, dont l discours reflétait incontestablement la position d'Ai Laskri, le nouvel homme fort du parti, est allé encore très loin car c'est là une accusation très lourde de sens. En d'autres mots le "cabinet noir" n'était pas au service du parti mais oeuvrait, au contraire, contre ses intérêts. "Mais, grâce à la vigilance et à la solidarité de sa base militante responsable et à son crédit auprès de la population, il a pu prendre des décisions salvatrices et préserver son autonomie, sa vision et ses principes" dira encore Hadj Djilani. Un clin d'oeil aux militants fait certainement pour préserver l'avenir, le parti tiendra normalement son prochain congrès ordinaire en 2019. Cette pique de Hadj Djilani est révélatrice de la situation qui prévaut au FFS. D'ailleurs la nouvelle direction incarnée par l'IP a procédé il y a quelques jours à la nomination d'un nouveau chef du groupe parlementaire duparti à l'APN en remplacement de Chaffa Bouaiche qui occupait ce poste depuis plusieurs années. "Je viens de l'apprendre par Facebook" a alors écrit Bouaiche sur son compte. Comme quoi ce que vient de faire l'IP est immoral. Cela traduit incontestablementl'existence d'un climat délétère au sein de ce parti. Les tiraillements internes persistent encore et seront le lot du FFS dans les prochains mois et certainement jusqu'au prochain congrès ordinaire. Des tiraillements qui menaceraient même son unité.