Le chef de l'Etat Abdelkader Bensalah a affirmé, lundi, que les efforts consentis par l'Instance nationale de dialogue et de médiation sont à même de permettre à l'Algérie d'engager le processus électoral dans un climat national consensuel menant à un scrutin libre et régulier. Le chef de l'Etat Abdelkader Bensalah a affirmé, lundi, que les efforts consentis par l'Instance nationale de dialogue et de médiation sont à même de permettre à l'Algérie d'engager le processus électoral dans un climat national consensuel menant à un scrutin libre et régulier. Je me suis engagé, "depuis la prise de mes fonctions à la tête de l'Etat, et dans des conditions connues de tous, à travailler conformément à la Constitution, privilégiant, par conviction, la voie du dialogue inclusif et constructif, avec toutes les forces et les acteurs de la société pour dépasser la situation actuelle", a déclaré le chef de l'Etat dans son allocution d'ouverture de la réunion du Conseil des ministres. Notons que lors de cette réunion, la première que dirige Bensalah, le Conseil des ministres a examiné et adopté le projet de loi organique relatif à l'Autorité électorale nationale indépendante, présenté par le ministre de la Justice, garde des Sceaux. Le Conseil des ministres a aussi, par la suite, examiné et adopté le projet de loi organique modifiant et complétant la loi organique 16-10 du 22 dhou el kaâda 1437, correspondant au 25 août 2016 relative au régime électoral. "J'ai interpellé l'intelligence collective et le patriotisme des Algériens et des Algériennes afin d'adhérer à cette approche tendant à réunir les conditions pour accélérer l'organisation d'une élection présidentielle libre, transparente et crédible, en tant que seule et unique solution à même de consacrer l'autorité de l'Etat et de ses institutions, en lui permettant ainsi de faire face aux difficultés économiques, aux défis sociaux et aux menaces qui guettent notre sécurité nationale dans un environnement régional et international complexe et instable", a indiqué Bensalah lors de son allocution d'ouverture.. Dans ce cadre, le chef de l'Etat a souligné que c'est ainsi que le processus de dialogue, supervisé par une instance nationale indépendante composée de personnalités "loyales à leur patrie", sous la direction de M. Karim Younes, a abouti à "de fructueux résultats et d'importantes propositions, traduites en un rapport qui m'a été transmis hier". Ce rapport, à-t-il précisé, "comprend leconclusions des rencontres menées par l'Instance avec 23 partis politiques et 5.670 représentants d'associations nationales et locales, outre des personnalités et des compétences nationales". "Je tiens à saluer ici l'immense effort consenti par l'Instance nationale de dialogue et de médiation, et qui constitue, à mes yeux, une étape charnière dans le processus politique de notre pays à même de permettre à l'Algérie d'engager le processus électoral dans un climat national consensuel menant, avec l'aided'Allah, à un scrutin libre et intègre en concrétisation des aspirations et attentes du peuple algérien, aspirant au changement et à l'édification d'un pays par l'ensemble de Algériennes et Algériens", a-t-il soutenu."Cette évolution positive n'aurait pu se concrétiser sans une parfaite coordination et des consultations soutenues au sein des directions et des institutions de l'Etat, ayant permis d'asseoir les bases appropriés pour l'organisation de la présidentielle", a-t-il ajouté. Il a souligné, à ce propos, que "les plus importantes conclusions auxquelles a abouti l'Instance, et qui contribuent aux efforts de l'Etat en vue de réunir les conditions pour l'organisation de l'élection présidentielle, sont les recommandations, contenues dans son rapport, et relatives à l'amendement de la loi organique relative au régime électoral et la création d'une Autorité nationale indépendante chargée de l'organisation des élections, des textes élaborés en prenant en compte les points communs ayant fait l'unanimité des acteurs politiques et associatifs". Dans le même contexte, le chef de l'Etat a tenu également à saluer "la vigilance et le sens élevé de patriotisme de notre brave Armée nationale populaire (ANP), digne héritière de la glorieuse Armée de libération nationale (ALN) et à lui rendre hommage pour ses efforts soutenus en vue de préserver la voie constitutionnelle et le bon fonctionnement des institutions de l'Etat, et d'assurer la sécurité et la stabilité, soutenu dans ses nobles missions, par les différents corps et services de sécurité". Bensalah a adressé se salutations et sa considération au haut commandement de l'Armée, à sa tête le général de corps d'Armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'ANP, pour "la clarté de ses engagements, son positionnement aux côtés de notre peuple en cette étape décisive de son histoire, et sa détermination à garantir le caractère pacifique des manifestations et à faire face, fermement et résolument, aux agissements attentatoires à notre intégrité territoriale et aux tentatives visant la sécurité et à la cohésion nationales". Il a salué, en outre, "l'engament du commandement de l'Armée à accompagner et à soutenir les efforts de la Justice dans la lutte contre la corruption et la dilapidation des deniers publics, qui étaient au coeur de revendications populaires. Un processus qui aura un impact significatif sur l'économie nationale, qui finira par s'affranchir, graduellement et résolument, des pratiques qui ont tant entravé son fonctionnement". Je me suis engagé, "depuis la prise de mes fonctions à la tête de l'Etat, et dans des conditions connues de tous, à travailler conformément à la Constitution, privilégiant, par conviction, la voie du dialogue inclusif et constructif, avec toutes les forces et les acteurs de la société pour dépasser la situation actuelle", a déclaré le chef de l'Etat dans son allocution d'ouverture de la réunion du Conseil des ministres. Notons que lors de cette réunion, la première que dirige Bensalah, le Conseil des ministres a examiné et adopté le projet de loi organique relatif à l'Autorité électorale nationale indépendante, présenté par le ministre de la Justice, garde des Sceaux. Le Conseil des ministres a aussi, par la suite, examiné et adopté le projet de loi organique modifiant et complétant la loi organique 16-10 du 22 dhou el kaâda 1437, correspondant au 25 août 2016 relative au régime électoral. "J'ai interpellé l'intelligence collective et le patriotisme des Algériens et des Algériennes afin d'adhérer à cette approche tendant à réunir les conditions pour accélérer l'organisation d'une élection présidentielle libre, transparente et crédible, en tant que seule et unique solution à même de consacrer l'autorité de l'Etat et de ses institutions, en lui permettant ainsi de faire face aux difficultés économiques, aux défis sociaux et aux menaces qui guettent notre sécurité nationale dans un environnement régional et international complexe et instable", a indiqué Bensalah lors de son allocution d'ouverture.. Dans ce cadre, le chef de l'Etat a souligné que c'est ainsi que le processus de dialogue, supervisé par une instance nationale indépendante composée de personnalités "loyales à leur patrie", sous la direction de M. Karim Younes, a abouti à "de fructueux résultats et d'importantes propositions, traduites en un rapport qui m'a été transmis hier". Ce rapport, à-t-il précisé, "comprend leconclusions des rencontres menées par l'Instance avec 23 partis politiques et 5.670 représentants d'associations nationales et locales, outre des personnalités et des compétences nationales". "Je tiens à saluer ici l'immense effort consenti par l'Instance nationale de dialogue et de médiation, et qui constitue, à mes yeux, une étape charnière dans le processus politique de notre pays à même de permettre à l'Algérie d'engager le processus électoral dans un climat national consensuel menant, avec l'aided'Allah, à un scrutin libre et intègre en concrétisation des aspirations et attentes du peuple algérien, aspirant au changement et à l'édification d'un pays par l'ensemble de Algériennes et Algériens", a-t-il soutenu."Cette évolution positive n'aurait pu se concrétiser sans une parfaite coordination et des consultations soutenues au sein des directions et des institutions de l'Etat, ayant permis d'asseoir les bases appropriés pour l'organisation de la présidentielle", a-t-il ajouté. Il a souligné, à ce propos, que "les plus importantes conclusions auxquelles a abouti l'Instance, et qui contribuent aux efforts de l'Etat en vue de réunir les conditions pour l'organisation de l'élection présidentielle, sont les recommandations, contenues dans son rapport, et relatives à l'amendement de la loi organique relative au régime électoral et la création d'une Autorité nationale indépendante chargée de l'organisation des élections, des textes élaborés en prenant en compte les points communs ayant fait l'unanimité des acteurs politiques et associatifs". Dans le même contexte, le chef de l'Etat a tenu également à saluer "la vigilance et le sens élevé de patriotisme de notre brave Armée nationale populaire (ANP), digne héritière de la glorieuse Armée de libération nationale (ALN) et à lui rendre hommage pour ses efforts soutenus en vue de préserver la voie constitutionnelle et le bon fonctionnement des institutions de l'Etat, et d'assurer la sécurité et la stabilité, soutenu dans ses nobles missions, par les différents corps et services de sécurité". Bensalah a adressé se salutations et sa considération au haut commandement de l'Armée, à sa tête le général de corps d'Armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'ANP, pour "la clarté de ses engagements, son positionnement aux côtés de notre peuple en cette étape décisive de son histoire, et sa détermination à garantir le caractère pacifique des manifestations et à faire face, fermement et résolument, aux agissements attentatoires à notre intégrité territoriale et aux tentatives visant la sécurité et à la cohésion nationales". Il a salué, en outre, "l'engament du commandement de l'Armée à accompagner et à soutenir les efforts de la Justice dans la lutte contre la corruption et la dilapidation des deniers publics, qui étaient au coeur de revendications populaires. Un processus qui aura un impact significatif sur l'économie nationale, qui finira par s'affranchir, graduellement et résolument, des pratiques qui ont tant entravé son fonctionnement".