Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, ne lâche pas la pression des laiteries. "Nous sommes devenus leur cauchemar", a-t-il lâché dans des déclarations à la presse, sur la gestion de la crise liée à la distribution du lait en sachet. Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, ne lâche pas la pression des laiteries. "Nous sommes devenus leur cauchemar", a-t-il lâché dans des déclarations à la presse, sur la gestion de la crise liée à la distribution du lait en sachet. Il a dit que plus de 400 communes "n'étaient pas concernées par la distribution du lait", en précisant que l'Etat débourse chaque année, 34 milliards de dinars pour subventionner ce produit de large consommation. M. Rezig a fait état de "résistance", de la part de laiteries qui ne veulent pas "rentrer dans les rangs", après le délai accordé qu'il leur a accordé, pour se conformer aux nouvelles instructions concernant la distribution du lait. "Nous allons les contrôler à toute heure de la journée", a-t-il averti, en affirmant qu'"il n'est pas le ministre du lait". "Mais, je ne peux pas accepter que le citoyen algérien, au lieu de vivreune vie décente, va passerson temps à courir derrière le sachet de lait", a-t-il soutenu. Il a dit que plus de 400 communes "n'étaient pas concernées par la distribution du lait", en précisant que l'Etat débourse chaque année, 34 milliards de dinars pour subventionner ce produit de large consommation. M. Rezig a fait état de "résistance", de la part de laiteries qui ne veulent pas "rentrer dans les rangs", après le délai accordé qu'il leur a accordé, pour se conformer aux nouvelles instructions concernant la distribution du lait. "Nous allons les contrôler à toute heure de la journée", a-t-il averti, en affirmant qu'"il n'est pas le ministre du lait". "Mais, je ne peux pas accepter que le citoyen algérien, au lieu de vivreune vie décente, va passerson temps à courir derrière le sachet de lait", a-t-il soutenu.