Le ministre de la Santé a évoqué, avanthier lundi, un protocole pour le traitement des malades atteints de coronavirus (Covid-19). Le ministre de la Santé a évoqué, avanthier lundi, un protocole pour le traitement des malades atteints de coronavirus (Covid-19). De quoi s'agit-il au juste ? Le Dr Bekkat Berkani, président du Conseil de l'ordre des médecins et membre du comité scientifique de veille et de suivi de l'évolution de l'épidémie du coronavirus (COVID-19) en Algérie : Il s'agit d'administrer de la chloroquine et de l'hydroxychloroquine pour certains types de malades, en particulier ceux qui sont dans un état, je ne dirais pas en réanimation, mais dans un état avec une charge virale importante. Pour l moment, les conclusions ne sont pas encore établies. C'est un grand espoir pour le traitement du virus. Est-ce qu'on a commencé le traitement ? A l'hôpital d'El Kettar, on a déjà commencé à administrer le traitement. Il ne faut pas perdre de vue les dispositions de prévention, qui ont apporté un véritable plus dans certains pays. Cela ne veut pas dire que, ça y est, nous avons le traitement, qu'on laisse tout tomber. C'est pour quand les résultats ? Il faudra attendre quelques jours pour avoir les résultats. Le traitement a soulevé une polémique, notamment en France. Qu'en dites-vous ? Justement, c'est la raison pour laquelle il faudrait que nous ayons des travaux locaux et nationaux, parce qu'effectivement il y a une grande polémique par rapport à celui qui l'a utilisé. Il y a des protocoles européens qui sont utilisés dans plusieurs pays européens. De quoi s'agit-il au juste ? Le Dr Bekkat Berkani, président du Conseil de l'ordre des médecins et membre du comité scientifique de veille et de suivi de l'évolution de l'épidémie du coronavirus (COVID-19) en Algérie : Il s'agit d'administrer de la chloroquine et de l'hydroxychloroquine pour certains types de malades, en particulier ceux qui sont dans un état, je ne dirais pas en réanimation, mais dans un état avec une charge virale importante. Pour l moment, les conclusions ne sont pas encore établies. C'est un grand espoir pour le traitement du virus. Est-ce qu'on a commencé le traitement ? A l'hôpital d'El Kettar, on a déjà commencé à administrer le traitement. Il ne faut pas perdre de vue les dispositions de prévention, qui ont apporté un véritable plus dans certains pays. Cela ne veut pas dire que, ça y est, nous avons le traitement, qu'on laisse tout tomber. C'est pour quand les résultats ? Il faudra attendre quelques jours pour avoir les résultats. Le traitement a soulevé une polémique, notamment en France. Qu'en dites-vous ? Justement, c'est la raison pour laquelle il faudrait que nous ayons des travaux locaux et nationaux, parce qu'effectivement il y a une grande polémique par rapport à celui qui l'a utilisé. Il y a des protocoles européens qui sont utilisés dans plusieurs pays européens.