Au coup de sifflet final de Mohamed Zekrini qui officiait pour la circonstance la 43e édition, en finale de la Coupe d'Algérie — copie conforme de celle de l'année dernière, puisqu'elle invitait pour la seconde fois consécutive les deux éternels frères ennemis, en l'occurrence le Mouloudia et son rival de toujours l'USMA —, Dame Coupe a finalement succombé pour la quatrième fois aux avances du doyen des clubs algériens. Au coup de sifflet final de Mohamed Zekrini qui officiait pour la circonstance la 43e édition, en finale de la Coupe d'Algérie — copie conforme de celle de l'année dernière, puisqu'elle invitait pour la seconde fois consécutive les deux éternels frères ennemis, en l'occurrence le Mouloudia et son rival de toujours l'USMA —, Dame Coupe a finalement succombé pour la quatrième fois aux avances du doyen des clubs algériens. Une édition finale 2006-2007 au terme de laquelle les gars de Soustara auront bu le calice jusqu'à la lie et surtout pleuré à chaudes larmes une seizième finale, qui leur tendait pourtant les bras, avant le coup d'envoi de cette quatrième empoignade finale MCA-USMA. Pour preuve, à la veille de cet énième big match cher au cœur des Algérois, les données d'avant-match plaidaient cette fois-ci en faveur des Rouge et Noir, d'autant plus que ces derniers s'étaient «royalement » frayé le chemin qui menait droit au stade suprême de cette année, alors que les Vert et Rouge du Mouloudia obtenaient une miraculeuse qualification en demi-finale, devant de très malchanceux blidéens de l'USMB. Deux dernières demi-finales qui contrastaient fortement entre elles, sur tous les plans, à telle enseigne que dans le camp usmiste on croyait comme jamais auparavant, à une première victoire, revanche des siens, face à un club rival voisin devenu sa bête noire par trois fois. Mais au grand dam des milliers de fans usmistes, cette journée du jeudi 28 juin n'a finalement pas du tout souri à cette formation rouge et noir, version Belhout, un coach à son tour mis devant le fait accompli de se rendre à l'évidence. C'est au bout d'une mi-temps seulement que le onze rentrant qu'il avait choisi pour la circonstance était tombé de nouveau dans des travers que rien ne laissaient à présager. Une formation usmiste au sein de laquelle il rayonnait comme il pouvait pendant que son coéquipier Abouta était redevenu ce très pâle et inexistant attaquant qu'il est depuis son arrivée récente à l'USM Alger. Et pour ajouter à la désillusion qui devenait de plus en plus évidente pour les Rouge et Noir, au fil des minutes, le jeu usmiste a laissé place aux approximations d'une équipe qui avait perdu toute sa joie de jouer devant un Mouloudia qui n'en demandait pas moins que de réussir de son côté à aller à l'essentiel d'un match terne sur tous les plans. Mais sorti de la torpeur par le seul tir cadré enregistré tout au long de ce dernier derby final, grâce à un Hadjadj lui-même surpris par ce tir victorieux réussi comme à l'entraînement, devant des Usmistes complètement tétanisés, une fois de plus. Cela a largement suffi pour faire le bonheur de l'ancestral Mouloudia et renvoyer une fois de plus dans leurs chaumières des gars de Soustara de nouveau bredouilles comme ils ne l'avaient jamais imaginé, au terme de cette saison 2006-2007. Comme quoi, le boss Allik devra maintenant regarder la réalité en face, au lieu de miser éternellement sur des choix qui ont montré toutes leurs limites aujourd'hui. Une édition finale 2006-2007 au terme de laquelle les gars de Soustara auront bu le calice jusqu'à la lie et surtout pleuré à chaudes larmes une seizième finale, qui leur tendait pourtant les bras, avant le coup d'envoi de cette quatrième empoignade finale MCA-USMA. Pour preuve, à la veille de cet énième big match cher au cœur des Algérois, les données d'avant-match plaidaient cette fois-ci en faveur des Rouge et Noir, d'autant plus que ces derniers s'étaient «royalement » frayé le chemin qui menait droit au stade suprême de cette année, alors que les Vert et Rouge du Mouloudia obtenaient une miraculeuse qualification en demi-finale, devant de très malchanceux blidéens de l'USMB. Deux dernières demi-finales qui contrastaient fortement entre elles, sur tous les plans, à telle enseigne que dans le camp usmiste on croyait comme jamais auparavant, à une première victoire, revanche des siens, face à un club rival voisin devenu sa bête noire par trois fois. Mais au grand dam des milliers de fans usmistes, cette journée du jeudi 28 juin n'a finalement pas du tout souri à cette formation rouge et noir, version Belhout, un coach à son tour mis devant le fait accompli de se rendre à l'évidence. C'est au bout d'une mi-temps seulement que le onze rentrant qu'il avait choisi pour la circonstance était tombé de nouveau dans des travers que rien ne laissaient à présager. Une formation usmiste au sein de laquelle il rayonnait comme il pouvait pendant que son coéquipier Abouta était redevenu ce très pâle et inexistant attaquant qu'il est depuis son arrivée récente à l'USM Alger. Et pour ajouter à la désillusion qui devenait de plus en plus évidente pour les Rouge et Noir, au fil des minutes, le jeu usmiste a laissé place aux approximations d'une équipe qui avait perdu toute sa joie de jouer devant un Mouloudia qui n'en demandait pas moins que de réussir de son côté à aller à l'essentiel d'un match terne sur tous les plans. Mais sorti de la torpeur par le seul tir cadré enregistré tout au long de ce dernier derby final, grâce à un Hadjadj lui-même surpris par ce tir victorieux réussi comme à l'entraînement, devant des Usmistes complètement tétanisés, une fois de plus. Cela a largement suffi pour faire le bonheur de l'ancestral Mouloudia et renvoyer une fois de plus dans leurs chaumières des gars de Soustara de nouveau bredouilles comme ils ne l'avaient jamais imaginé, au terme de cette saison 2006-2007. Comme quoi, le boss Allik devra maintenant regarder la réalité en face, au lieu de miser éternellement sur des choix qui ont montré toutes leurs limites aujourd'hui.