Le vice-président de l'Agence mondiale antidopage (AMA), M. Jean-François Lamour, a appelé mercredi à Alger les dirigeants du sport africain à engager une réflexion pour une "révision" et une "amélioration" du Code international antidopage. "Je vous invite à la révision du Code international antidopage et à l'améliorer. Pour cela, je vous donne rendez-vous à Madrid, en novembre prochain, pour la 3è conférence mondiale sur la lutte antidopage", a indiqué M. Lamour dans un message lu devant les membres de l'Assemblée générale du Conseil supérieur du sport en Afrique (CSSA), réunis en session extraordinaire à l'hôtel Sheraton. "Ce n'est qu'ensemble que nous renforcerons l'efficacité de la lutte antidopage dans tous les continents (...) en offrant les moyens de lutte contre ce fléau et contre le trafic des produits dopants", a estimé le vice-président de l'AMA qui a appelé à conjuguer les efforts pour "conserver au sport toutes ses valeurs". "Il y a peine 7 ans, seuls deux pays africains disposaient d'un programme antidopage. Maintenant, ils sont au nombre de 37 pays, même si le niveau d'intervention diffère d'un pays à un autre" a-t-il ajouté. L'AMA, qui est partenaire des gouvernements et du mouvement sportif, a appelé à la nécessité de "relever le défi qui consiste à pouvoir appliquer le Code international antidopage". Il a exhorté, dans ce sens, les pays signataires de la convention en 2003 à procéder à son application. "13 pays africains ont signé ce document, mais il faut que nous allons plus loin encore", a-t-il souhaité. Des experts de l'AMA se trouvent actuellement à Alger pour accompagner le Comité d'organisation des Jeux africains (COJA) dans la mise en place du dispositif de contrôle antidopage pendant et en dehors de la compétition", pendant les Jeux africains (11-23 juillet). "Ces jeux seront aussi une opportunité de faire de la formation et de la sensibilisation auprès des jeunes athlètes africains qui seront réunis à Alger à l'occasion de ces jeux". L'AMA, créée en 1999, est basée à Montréal (Canada) Le vice-président de l'Agence mondiale antidopage (AMA), M. Jean-François Lamour, a appelé mercredi à Alger les dirigeants du sport africain à engager une réflexion pour une "révision" et une "amélioration" du Code international antidopage. "Je vous invite à la révision du Code international antidopage et à l'améliorer. Pour cela, je vous donne rendez-vous à Madrid, en novembre prochain, pour la 3è conférence mondiale sur la lutte antidopage", a indiqué M. Lamour dans un message lu devant les membres de l'Assemblée générale du Conseil supérieur du sport en Afrique (CSSA), réunis en session extraordinaire à l'hôtel Sheraton. "Ce n'est qu'ensemble que nous renforcerons l'efficacité de la lutte antidopage dans tous les continents (...) en offrant les moyens de lutte contre ce fléau et contre le trafic des produits dopants", a estimé le vice-président de l'AMA qui a appelé à conjuguer les efforts pour "conserver au sport toutes ses valeurs". "Il y a peine 7 ans, seuls deux pays africains disposaient d'un programme antidopage. Maintenant, ils sont au nombre de 37 pays, même si le niveau d'intervention diffère d'un pays à un autre" a-t-il ajouté. L'AMA, qui est partenaire des gouvernements et du mouvement sportif, a appelé à la nécessité de "relever le défi qui consiste à pouvoir appliquer le Code international antidopage". Il a exhorté, dans ce sens, les pays signataires de la convention en 2003 à procéder à son application. "13 pays africains ont signé ce document, mais il faut que nous allons plus loin encore", a-t-il souhaité. Des experts de l'AMA se trouvent actuellement à Alger pour accompagner le Comité d'organisation des Jeux africains (COJA) dans la mise en place du dispositif de contrôle antidopage pendant et en dehors de la compétition", pendant les Jeux africains (11-23 juillet). "Ces jeux seront aussi une opportunité de faire de la formation et de la sensibilisation auprès des jeunes athlètes africains qui seront réunis à Alger à l'occasion de ces jeux". L'AMA, créée en 1999, est basée à Montréal (Canada)