Le président de la Fédération allemande de cyclisme (BDR), Rudold Scharping, a écarté dimanche toute éventualité de démission alors qu'il est sous le feu des critiques après une série d'affaires de dopage et de controverses. "Je vais poursuivre mon travail, j'ai été élu en 2005 avec un programme à réaliser lors des quatre prochaines années et malgré l'effet négatif des histoires de dopage, nous avons déjà réalisé 70% de ce programme," a expliqué l'ancien ministre allemand, au journal Tagesspiegel, paru dimanche. Scharping a été vivement critiqué après la décision de la BDR d'inclure le sprinteur Erik Zabel, qui a admis avoir eu recours au dopage en 1996, dans la liste des 12 coureurs présélectionnés pour les Championnats du monde de Stuttgart fin septembre. Pour protester contre cette décision adoptée par le comité directeur de la fédération par six voix contre deux, l'un des vice-présidents de la BDR , Dieter Kühnle, avait aussitôt présenté sa démission. "Si tout le monde démissionne après une défaite, il n'y aura bientôt plus de fédération, de club ou même de parti politique", a critiqué Scharping. Scharping a également fait part de son incompréhension à l'égard de la décision des trois membres de la commission antidopage de sa fédération de démissionner pour protester contre la sélection de Zabel et son manque d'indépendance. Cette commission avait été mise en place au printemps après l'affaire Telekom pour faire la lumière sur le fonctionnement de la fédération dont certains cadres ont été mis en cause dans des affaires de dopage. Le président de la Fédération allemande de cyclisme (BDR), Rudold Scharping, a écarté dimanche toute éventualité de démission alors qu'il est sous le feu des critiques après une série d'affaires de dopage et de controverses. "Je vais poursuivre mon travail, j'ai été élu en 2005 avec un programme à réaliser lors des quatre prochaines années et malgré l'effet négatif des histoires de dopage, nous avons déjà réalisé 70% de ce programme," a expliqué l'ancien ministre allemand, au journal Tagesspiegel, paru dimanche. Scharping a été vivement critiqué après la décision de la BDR d'inclure le sprinteur Erik Zabel, qui a admis avoir eu recours au dopage en 1996, dans la liste des 12 coureurs présélectionnés pour les Championnats du monde de Stuttgart fin septembre. Pour protester contre cette décision adoptée par le comité directeur de la fédération par six voix contre deux, l'un des vice-présidents de la BDR , Dieter Kühnle, avait aussitôt présenté sa démission. "Si tout le monde démissionne après une défaite, il n'y aura bientôt plus de fédération, de club ou même de parti politique", a critiqué Scharping. Scharping a également fait part de son incompréhension à l'égard de la décision des trois membres de la commission antidopage de sa fédération de démissionner pour protester contre la sélection de Zabel et son manque d'indépendance. Cette commission avait été mise en place au printemps après l'affaire Telekom pour faire la lumière sur le fonctionnement de la fédération dont certains cadres ont été mis en cause dans des affaires de dopage.